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Nous conversons maintenant sur le net depuis de longs mois après une rencontre sur le fameux site pour infidèles. Nous avons échangé nos envies et puis nos fantasmes et enfin quelques photos et vidéos de plus en plus coquines. Après de longues tergiversations peuplées de culpabilité et de désir nous nous donnons enfin rendez vous pour une première rencontre.
Il fait bon ce soir d’été, le ciel est teinté d’une belle couleur orange. Nous avons rendez-vous à la terrasse d’un café restaurant pas loin des bords de Garonne. Le genre d’établissement où l’on dîne d’une salade de pays ou de plancha (pas de la grande gastronomie) mais où le vin est bon. Tu es en retard, je t’attends impatient, vêtu d’un pantalon de toile jaune ajusté, d’une chemise bleu pâle et d’une veste de costume bleu que j’ai posé négligemment sur le dossier de ma chaise. Soudain je t’aperçois, tu avances d’un pas décidé, enveloppée dans une petite robe bleue à bretelles, simple mais classe, les talons de tes escarpins noirs claquent sur les pavés. Tu t’assieds en face de moi, non sans m’avoir déposé un baiser appuyé au coin des lèvres. Je t’observe en souriant, tu as souligné tes yeux de noirs, un soupçon de rouge sur tes lèvres, tes yeux verts pétillent d’un air espiègle. Nous nous dévorons enfin du regard après de longs mois d’échanges virtuels, hésitant à parler.


Nous commandons une bouteille de Sancerre blanc et une salade et commençons enfin à deviser joyeusement en dégustant le vin. Je te couvre des yeux, m’attarde sur tes cuisses découvertes par ta robe quand tu t’es assise, ma main effleure la tienne, nos jambes se frôlent, j’ai envie de toi et je te le dis. Tu rougis un peu et m’intime d’être sage alors que nos salades arrivent. Nous mangeons d’un bel appétit pendant qu’un orchestre s’installe au rez-de-chaussée du restaurant et commence à jouer des airs connus pour faire danser les clients du bar ou du restaurant. Tu me demandes de te faire danser, ça tombe bien je n’ai qu’une envie c’est de te faire virevolter dans tous les sens. Nous dansons un Rock, puis une salsa, mes mains s’égarent sur ton corps, tes joues sont rougies. Le zouk achève de nous mettre dans l’ambiance, ma jambe entre tes cuisses a fait remonter ta robe, ma main caresse tes fesses sent le dessin d’un string sous la robe.


Tu sens mon excitation et te serres contre moi, tu ne perds rien pour attendre. Nous reprenons notre souffle en reprenant un verre, nous sommes un peu ivres, ma bouche attrape la tienne, puis un autre baiser voit ma langue caresser doucement la tienne. Ma main s’égare sur la peau douce de tes cuisses, et remonte doucement sous la robe ; je te demande quel string tu as mis, tu me réponds que c’est une surprise. J’espère que c’est le string noir en dentelles que tu as acheté rien que pour moi et que j’ai découvert au gré d’une vidéo torride. Tu poses ta main presque distraitement sur mon entrejambe et palpes la grosseur qui marque mon excitation. Je te propose de danser encore mais tu préfères aller marcher, nous voilà donc main dans la main au bord de la Garonne. A un moment je t’entraîne entre les buissons contre un arbre, je t’embrasse, mes mains caressent tes fesses sous ta robe en te serrant contre mon érection, je descends jusqu’à ton entrejambe et découvre une zone humide, que je caresse du bout des doigts, l’humidité se transforme rapidement en inondation et ton souffle s’accélère. Tu te frottes contre mon sexe et ta main caresse mes fesses. Nous arrêtons là avant d’être arrêté pour attentat à la pudeur et filons dans un petit hôtel dans lequel j’ai réservé une chambre.
A peine arrivés dans la chambre tu me pousses sur le lit défait mon pantalon et baisse mon boxer, découvrant mon sexe dressé et décalotté. Tes yeux me fixent pendant que tu me lèches de bas en haut puis m’enfournes le plus loin possible au fond de ta gorge. Tu alternes les vas et viens avec ta bouche brulante et la masturbation avec ta main. Je suis trop excité pour tenir plus longtemps, je te préviens que je vais jouir, je sais par nos échanges que tu adores ça, je t’attrape par les cheveux et dans un râle je me vide au fond de ta bouche. Tu me regardes fièrement en avalant ma semence et me nettoies avec application. Je te relève et t’embrasse goulument sur la bouche, je sens le goût de ma jouissance dans la tienne. Je te retire ta robe et découvre le magnifique string noir en dentelle évanescente, je te retourne pour me délecter de la vue de tes fesses sensuellement séparées par le string. Je te demande te t’allonger sur le lit sur le ventre, pendant ce temps je sors de l’huile de massage. Je finis de me déshabiller et me chauffe les mains avec l’huile puis je commence à te masser les épaules. Je sens tes muscles se dénouer sous mes doigts, je descends sur le dos, puis je passe rapidement sur les fesses pour m’attaquer à tes cuisses. Tu écartes langoureusement les jambes, mes doigts effleurent ton intimité encore couverte du string, mais sans plus. Je descends sur les mollets, effleurent tes pieds encore chaussés des escarpins, puis remontent de nouveau jusqu’aux cuisses. Je t’enlève ton string, et recommence à masser tes fesses de plus en plus près de ton sexe béant que je vois suinter de ton excitation.


Tu ondules pendant que mes doigts massent de part et d’autre de ta vulve en l’écartant doucement dans un délicieux bruit humide. J’écarte enfin ton sexe luisant de deux doigts et caressent tes lèvres, tes gémissement se font de plus en plus fort. Je te pénètres alors d’un doigt, rapidement rejoint par un second que je fais onduler en toi. Mon sexe redurcis devant le spectacle de ton sexe béant et de tes lèvres gonflées de désir. Tu inondes ma main de sécrétions qui coule sur le lit, je n’ai jamais connu une femme qui mouille autant que toi.
Je me penche vers toi et ma bouche prend le relais de mes doigts, je te lèche de haut en bas, consciencieusement aspire tes lèvres une à une, délicatement. Tu râles de plaisir et je crois comprendre qu’il ne faut pas que je m’arrête. J’écarte bien ton sexe pour te pénétrer avec ma langue, je sais que tu adores ça, tu te cambres pour aller à la rencontre de ma langue que je fais aller et venir en toi. Je la remue, un long moment en toi en buvant avec plaisirs tes sécrétions. Je remets deux doigts, puis un troisième dans ton sexe bouillant pendant que ma langue s’aventure doucement plus haut sur ta corolle, je sais que tu n’es pas commune de cette caresse tu te raidis, je pense que tu vas renâcler mais au petit cri que tu pousses je comprends que tu viens de jouir. Tu ondules des hanches en gémissant et tu me demandes de te prendre. J’enfile le préservatif sur mon sexe douloureux d’excitation et l’approche de ta vulve que je caresse de mon gland sur toute la longueur, allant même titillé ton œillet et te pénètres enfin d’une longue poussée savoureuse. Je commence des vas et viens profonds de toute la longueur de mon sexe qui ne tarde pas à être trempé de ton plaisir. Tu es tellement humide qu’une tache se forme sur le lit, tu te redresses à quatre pattes et j’accélère mes mouvements, accompagné par le bruit humide et terriblement excitant de ma queue te fouaillant. Je te dis que j’adore te prendre comme ça, que tes fesses sont trop excitantes. Je sens mon sexe durcir je gémis en cœur avec toi. Tu jouis dans un râle mais je continue à te pilonner, puis je te retourne pose tes jambes sur mes épaules et te pénètres doucement de nouveau. Je me penche et saisis un de tes tétons entre mes lèvres et l’aspire pour le caresser du bout de la langue pendant que mon sexe va et vient doucement en toi. Mes mouvements se font plus rapides, je sens le plaisir qui monte, je me fais plus animal, te pénétrant rapidement et avec force. Je me retire au moment final, tu m’attrapes par le sexe et me tire vers toi et je jouis enfin dans ta bouche éclaboussant au passage ton visage. Ce n’est que le début d’une longue nuit.     

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Il faut rentrer du Séminaire - Histoire Erotique

J'ai rendu ma chambre d'hôtel le lendemain matin. Je n'ai pas eu l'occasion de revoir mon voisin de palier et je n'ai pas pris son numéro de téléphone.
Je voulais que cette occasion unique où je me suis faite prendre dans la douche le reste.
11h50 je me dirige vers mon train sur le quai de la gare.
Une voix derrière moi m'interpelle et j'entends un pas de course.
Un collègue étant au même séminaire que moi me rattrape et me demande dans quelle voiture je suis. Heureuse coïncidence nous sommes dans la même voiture et côte à côte.
Nous nous installons à nos places. Je gesticule pour enlever mon manteau sans éborgner mon voisin. Ce faisant ma jupe remonte juste sous les fesses. En me retournant je surprend mon collègue en train de mater ouvertement mes cuisses et mes fesses. Ce petit coquin se rince l'œil et ça me plait.
Je ne remet pas ma jupe en place et m'installe à côté de lui.
Je pose mon manteau sur la tablette que j'ai descendue.
Mon collègue se trémousse sur sa place. Il ne sait plus où placer son regard. Ma jupe qui dévoile le haut de mes bas, ou  mon décolleté pigeonnant?
Forte de mon expérience de la veille et mon collègue étant plutôt agréable à regarder je décide d'attaquer sans préambule.
Thibault,  tu sais que tu me plais? Et à en juger par tes regards je ne te laisse pas indifférent.
Sans lui laisser le temps de répondre je me rapproche de lui et lui susurre dans le cou:
J'aime me faire baiser n'importe où et n'importe quand. Et aujourd'hui je veux que ce soit par toi.
Sa réaction ne se fait pas attendre, il plaque ses lèvres sur les miennes et m'embrasse sans ménagement. Il fait glisser un de ses mains le long de mes bas et caresse la lisière de mes bas.
Je pose ma main sur son entrejambe. Il bandait dur l'animal.
Il remonte ma jupe et commence à me doigter vigoureusement. Je met ma tête dans son cou pour étouffer les bruits que m'inspire son doigtage.
Je sors sa queue bien dure de son pantalon et je la branle doucement. J'accélère progressivement et lui arrache un grognement sourd.
Il murmure: moins fort salope tu vas me faire jouir.
Il sort ses doigts trempés de ma chatte et les approche de ma bouche. Je les lèche et suce un à un.
Son regard fiévreux ne me quitte pas. Je sais qu'il rêve de me défoncer.
Je m'écarte et lui chuchote : dans 5 minutes aux toilettes.
Je m'éloigne dans l'allée en ondulant des hanches. Je savais qu'il mattais mon cul de salope. Peut-être n'était il pas le seul.
Je sentais que ma chatte était en feu. J'avais besoin de me faire prendre.
Arrivée aux toilettes je remonte ma jupe et commence à me doigter rapidement et fortement.  Je ne tarde pas à jouir, seule dans les toilettes.
Un léger toc-toc se fait entendre.
Mon collègue me rejoins et me plaque contre le lavabo. Sans attendre il soulève ma jupe et m'enfonce ses doigts dans la chatte.
Putain tu es mouillée comme une chienne.
Sans attendre il retire ses doigts et me plonge sa grosse verge. Je crie de surprise et de plaisir. Il plaque sa main sur ma bouche et me chuchote:
Sois une bonne chienne et ferme là.
Je hoche la tête et il continue de me pilonner avec force tout en me caressait le clitoris.
Je sens la jouissance monter à nouveau. Je ferme les yeux et me laisse aller.
Mon orgasme est tellement fort que je sens un liquide chaud couler le long de mes cuisses.
Merde, j'ai fait une fontaine.
Mon collègue se retire et je me retourne. Il m'approche ses doigts pleins de mouille de mon visage et m'ordonne durement de les nettoyer.
Je m'applique à lécher et sucer ses doigts puis je m'accroupis dans ce petit espace pour le sucer. Je le suce avec application pendant qu'il me caresse les seins.
Il me fait me lever et me reprend la chatte d'un grand coup de bite.
Il saisis à poitrine à deux mains et me susurre:
Ce soir ma petite salope, tu vas rentrer avec la chatte pleine de foutre.
Je panique et lui demande d'arrêter car je suis mariée et je ne peux pas rentrer comme ça chez moi.
Il rit et me dis que c'est justement ça le plus amusant.
Ses coups de reins redoublant d'ardeur et mes seins malaxés me refont jouir. 3 orgasmes en peu de temps... quelle salope...
Il me rejoint dans l'orgasme et se vide complètement en moi.
Il se retire et me demande de nettoyer correctement queue.
Je m'accroupis et obéis en sentant son sperme couler le long de mes bas.
Seigneur... comment j'allais expliquer ça à mon mari...

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« La femme en colère se tait toujours, d'abord... On a le temps de passer par tous les états de la terreur... On ne sait par où, ni comment ça va éclater, si ce sera en mots, si ce sera en cris, si ce sera en coups. » Raphaëlle Billetdoux

Louise attendait Paul dans son déshabillé noir, de satin et de dentelle finement travaillée.
Mais ce soir-là, il la fit attendre trop longtemps. Il avait formulé une excuse pour justifier son retard, excuse qui lui avait semblé à elle, tellement peu crédible qu’elle décida de lui faire savoir son mécontentement.

Une fois rentré, elle ne dit rien. Il alla se coucher. Quand elle le vit allongé sur le ventre, nu et prêt déjà à s’endormir, le drap relevé jusque sur les hanches, ne lui prêtant pas d’intérêt, elle se posta agenouillée à son côté, droite, la cravache à la main. Il allait délicatement mais sûrement déguster la punition qu’il méritait. Il l’avait énervée. Elle avait besoin de se calmer.

Elle repoussa le drap laissant apparaître son corps nu qu’elle aimait habituellement admirer, et caresser sans jamais se lasser. Les premiers coups furent donnés sur les fesses, comme un signal de ce qui s’annonçait. Sous le coup de la surprise, Il réagit immédiatement en sursautant et gémissant.
Elle s’approcha de lui et lui susurra à l’oreille de ne pas riposter.

Il ne riposta pas.

Quelques autres claquements distribués laissèrent s’échapper de petits cris l’incitant elle, à ne pas baisser d’intensité, des rougeurs assez marquées apparurent sur sa peau. Cela la fit sourire en silence.
Elle s’arrêta un temps, pour admirer son œuvre, puis y déposa, si doucement, ses lèvres, qu’il sursauta autant que si un nouveau coup venait d’être donné. Ce premier baiser n’était qu’un effleurement.

Alors, elle ouvrit un coffret qu’elle avait posé à côté d’elle, en sortit un collier large, en cuir avec une grosse boucle comme accroche, auquel elle avait auparavant fixé une laisse, pour être sûre que l’infidèle amant ne lui échappe et n’ait en tête que son plaisir à satisfaire.

Il se recroquevilla alors, touché dans son orgueil de mâle, émoustillé aussi sûrement, sans doute, de cette humiliation, laissant apparaître à Louise son gland déjà brillant, qu’elle frôla, avec le bout en caoutchouc de son objet de sévices. Cette queue raidie et bien dressée et déjà luisante, ne manqua pas d’éveiller chez elle une certaine satisfaction.

Le voyant ainsi recroquevillé comme un faible, elle tira sur la laisse afin qu’il se redresse. Ce soir, ce serait lui  son objet de désir. Elle souhaitait qu’il obéisse.
Et qu’il obtienne ce qu’il méritait encore.

La douce punition.

Elle entendait les gémissements de Paul, lui indiquant son plaisir à être dominé ainsi. Ils l’excitèrent également.
Le voyant ainsi à quatre pattes, comme un petit chien à présenter servilement à sa maîtresse son fessier, elle se mit à glisser sa main sous lui et à lui caresser les tétons en les pinçant de temps en temps pour le faire frémir, lui titilla le petit orifice avec l’extrémité caoutchoutée de la cravache, en donnant également de petits coups secs sur ses testicules pendantes. Un râle langoureux continu l’incitait à poursuivre.

Elle posa pourtant son ustensile et porta ses doigts à son intimité de femme. S’apercevant qu’elle-même, n’était pas restée insensible à cette mise en scène, elle lui partagea, en portant ses doigts trempés à ses lèvres soumises qui dégustèrent cette récompense avec délectation. La sensation de cette langue infidèle léchant ses doigts était exquise. Elle lui en donna encore, se ravissant de le voir ainsi la savourer sans être jamais rassasié.

Le jugeant prêt à recevoir le supplice attendu, elle prit un gode, de taille moyenne, de couleur noire, qu’elle avait soigneusement préparé dans le coffret, prit grand plaisir à se l’introduire en elle-même et l’activa au rythme qu’elle estimait être le bon, une petite secousse sur la laisse indiqua à Paul qu’il devait tourner la tête pour la regarder. Elle vit ses yeux posés sur elle, et elle ferma les yeux, un temps, pour ne penser qu’à cette sensation divine qu’elle se procurait elle-même jusqu’à se libérer d’un long soupir de jouissance. Sentir son regard sur elle, l’interdire de la toucher sans son accord, maîtriser son plaisir et le sien, Louise se délectait de cela. Quand ce jouet fut rempli de sa liqueur de femme, elle le retira et l’approcha du petit trou de son amant obéissant.

Il n’apporta aucune opposition à son introduction. Elle s’enfonça en lui doucement guidée par ses gémissements languissants.
Elle activa un mouvement régulier de va et vient lent, régulier puis plus appuyé. Et plus profond.
Son sexe commençait à couler sur le drap.
Voyant l’effet de cette queue factice sur son soumis, elle prit conscience, en même temps, des limites de son corps de femme. Cela la frustra. Elle s’approcha de son oreille, y déposa sa langue, le fit frissonner et susurra : « Tu aimes te faire baiser ? » Il acquiesça.
Elle retira alors délicatement le gode, et le réinséra plus profondément toujours guidée par la langueur de son timbre vocal.

Le plaisir que Louise ressentit à maitriser le plaisir de son amour n’a pas de nom.
D’un coup tiré sur la laisse, il comprit qu’elle souhaitait qu’il se retournât. Il obéit.
Une fois allongé sur le dos, le gode toujours en place en lui, elle reprit les petits mouvements de va et vient avec une intensité plus forte mais toujours contrôlée.
Prêt à exploser à tout moment, il se prit la queue dans les mains, l’offrant ainsi à la bouche de sa maîtresse qui ne se priva pas de venir l’engloutir d’un va et vient identique à celui que son assouvi ressentait déjà de l’intérieur.
Paul ne tint plus longtemps ainsi, elle lui ôta le collier, l’embrassa à pleine bouche. Toujours agenouillée à ses côtés, les jambes légèrement écartées, elle toléra que plusieurs doigts la pénètrent activement, intensément, et elle s’abandonna sans réticence, sans retenue, se sentant couler abondamment. Elle redescendit sur sa queue, et les lèvres de la belle reçurent enfin la semence qu’elles attendaient.

Ils s’embrassèrent encore, se partageant à pleine bouche, ce nectar qu’il lui avait offert. Leurs corps étaient à l’unisson, dans un lâcher prise fusionnel, total, d’un homme et d’une femme faits pour se donner du plaisir, avec force et passion.

Ils restèrent longtemps ainsi figés, au temps suspendus. Et quand les yeux se rouvrirent, ils se sourirent. Mais cette punition, eût-elle suffi à calmer la rage, si modérée fût-elle, de la femme en colère ?

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Le beau temps arrive et la saison de camping débuté. Cette année nous avons choisi de nous installer dans un petit camping privé pas très loin de la maison. De beaux week-end en famille, qui devraient laisser de merveilleux souvenirs dans la mémoire de nos enfants. Le terrain est tout de même assez grand, peu être une centaine de camping car, pour la plupart, ce  sont des petites familles. Dès le premier jours, les jeunes ce lièrent d'amitié avec quelques uns de ces enfants. La glace brisée, les matins qui ont suivi, à leurs réveilles, ils s'empressent de déjeuner et disparaissent pour s'évader dans leurs jeux imaginaires au parc ou dans la forêt. Ce qui nous laisse de bons moments de détente et de discutions entre nous. Nous en profitons, quelques fois par jour, pour nous balader sur le terrain, ce qui nous permet de faire connaissance et sympathiser avec les parents de ces nouveaux amis. Quelques uns d’entre eux sont très charmants, leurs bonne humeur et leurs aisance à discuté nous permet d'apprécier ces gens. Rapidement une complicité s'installe avec eux et les petits bavardages durant nos promenades deviennent un rituel.

Les journées passent et notre côté plutôt réserver et timide s’estompe peu à peu, nous permettant de nous lié d'une véritable amitié avec trois de ces couples.  Ils se mirent à nous accompagner dans nos promenades et quelques fois, durant les belles soirées, ils nous rejoignirent autour d’un bon feu. Nous discutons généralement de tout et de rien mais parfois, durant les soirées un peu plus arrosées, nos conversations dérapent et nous échangons sur nos moments d'intimité et sur nos fantasmes. Avec mon ouverture d'esprit et mon côté plutôt pervers qui m'obsède et me domine, j’avais déjà imaginé une panoplie de scénarios les plus excitant les uns aux autres. Quelques fois je m'imaginais te surprendre entre deux buissons avec un de ces hommes qui te martèle à grand coups de bassins et te fait gémir comme une véritable bête. D'autres fois j’imagine l'une de ces ravissantes femmes me fixant du regard en s'approchant de moi confortablement installer dans ma chaise, elle dépose sa main sur mon entre jambe pour y sortir ma verge et l'engloutir entre ces douces lèvres et tout ça sous ton regard et celui de son homme. J'imagine même des scènes où à ton tour tu t'amuse avec ces charmantes femmes. Bref, les scénarios qui me trottent dans la tête sont infini.  

Alors lorsqu'ils nous racontent leurs ébats, leurs préférences ou encore leurs fantasmes, je suis complètement obnubilé par leurs mots qui ajoutent des détails, des émotions et même des images aux scénarios que je me fait depuis déjà quelques jours. Les regards persans de ces hommes posé sur toi ou encore les petits sourires coquins et timides de ces dames lorsqu'elles nous racontent leurs escapades les plus débridées, me font littéralement fondre. Nous dévoilons, nous aussi  quelques parcelles de notre vie intime et à chaque fois, les yeux étincelants, ils s'abreuvent de nos histoires. Je réalise que je n’étais probablement pas le seul à avoir ces idées tordues en tête. Je réalise aussi que tu prend autant de plaisir que moi à raconté et à entendre ces histoires. Chacune de ces soirées, peu importe l'heure à laquelle elle se termine, lorsque nous rentrons nous couché, tu as ce besoin insoutenable et bestiale de baiser, qui me fait le plus grand plaisir d'assouvir!

Les soirées autour du feu deviennent de plus en plus fréquentes et de plus en plus explicites. Nous savons tous très bien qu'avec nos enfants et le nombres de personnes sur le site, il serait plutôt difficile de prévoir des plans d'échangisme. Nous profitons donc tous de ces beaux moments pour nourrir nôtres imaginaire… même que quelques fois la pression devient insupportable, laissant place à quelques coquineries subtiles dans les couples.
Un soir très chaud et plutôt tranquille sur le camping. Une fois les enfants couchés, il n'y a que Nathalie et Vincent, qui nous rejoignirent autour du feu. La journée ayant été vraiment chaude, la majorité des campeurs, avaient décidés de profiter du confort de l'air conditionné dans leurs campeurs. Nous offrant une soirée plus intime, ce qui me plaisait bien. De plus, pour la première fois de la saison, la petite veste n'était pas requise. Je pouvais donc  profiter des courbes de la petite poitrine de Nathalie ainsi que de ses jolies cuisses découvertes. Je remarque que Vincent et même Nathalie semblaient apprécier tout autant ta tenue plus légère que tu portais, une simple camisole qui épouse  et moule ton imposante poitrine avec un décolleté en v plutôt échancré, qui offre une magnifique vu sur tes seins. Nathalie envoûté par la vue et la grosseur de ta poitrine la fixe sans retenue. Voyant son obsession tu lui offre de les toucher. Le regard pétillant et le sourire aux lèvres, elle se précipite et avec une douceur sans pareil, elle te caresse et te pétrie les seins pendant de longues minutes, puis elle termine pour te remercier en te déposant un doux baiser sur les lèvres et retourne s'asseoir auprès de son homme.  Celui-ci, installé juste à coté de toi affirme être un peu jaloux. Tu le regardes en riant, incertaine… et Nathalie te dit :
- Ils sont si plaisant à caressés, tu lui ferais un grand plaisir que je ne peux lui offrir avec ma petite poitrine!
Tu ne prend pas la peine de te retourner vers moi pour avoir mon approbation puisque tu sais déjà très bien que je n'aurais aucune objections à ce petit jeu, même que tu acceptes peux être pour me faire plaisir, sachant que c’est mon plus grand fantasme de voir un autre homme te donner du plaisir!
Tu déposes ta main sur celle à Vincent pour la prendre et la guider jusqu'à ta poitrine. Avec les yeux « d'un enfant qui vient recevoir un nouveau jouet" il malaxe, tripote et caresse tes superbes seins. Le sourire au lèvres il raffole et profite de cette instant, mon regard et celui de Nathalie l’intimide en rien. Pour ma part je prend autant mon pied que lui de le voir faire, bien qu'il soit beaucoup moins tendre que Nathalie je remarque que tu apprécie tout autant ses caresses. La tête vers l’arrière, les yeux fermés, entre tes lèvres, tu échappés quelques petits gémissements. Puis Vincent se lève de sa chaise, se penche par-dessus toi et t'embrasse langoureusement, un baiser beaucoup plus vicieux que celui de sa douce, tu l’embrasse tout aussi sauvagement je te sens si excité, tu as vraiment aimé ce petit jeu. Tu te ressaisis et un peu gêner tu reste en silence à siroter  ton verre, puis tu te lèves pour aller en chercher un autre puisqu'il est vide. Pendant ton escapade dans la roulotte Nathalie avoue à Vincent avoir adoré la scène que sa petite chatte était vraiment bien trempé…
Tu reviens nous rejoindre un nouveau verre à la main, à la lueur des flammes je remarque immédiatement ta poitrine plus tombante et tes tétons bien pointés au travers le tissus de ta camisole. Depuis le temps que je te demande sortir en public sans soutif, je suis vraiment comblé ce soir. Nos invités ont remarqué tout aussi rapidement que moi ta nouvelle tenue… Vincent se contente de rester en silence en te fixant la poitrine mais Nathalie, elle s'exclame :
- Wow!! Tu es magnifique ma chère, je suis franchement jalouse.
Tu te diriges vers elle, avec un regard décidé et pervers, à ton tour tu l’embrasses mais beaucoup plus bestialement que la première fois. En glissant ta main entre ses cuisses pour titiller sa chatte tu lui dit que tu l'as entendu et qu'il n'était pas question qu'ils nous quitte si tôt. Que c'est pour faire plaisir à son homme si tu as enlevé ton soutif et si elle le souhaite tu me laisses s'occuper de son problème d'humidité…
Je suis complètement abasourdi et impressionné par cette détermination. La situation et la simple idée de donner du plaisir à Nathalie, met le feu dans mon short, je souhaite de tout cœur qu'elle accepte ton offre! Nathalie jette un regard à son homme qui l'encourage à en profiter. Après les mots de Vincent, tu ne lui laisses même pas le temps de répondre, tu te penches sur elle, lui offrant une vue imprenable de ton décolleté, tu replonges ta main entre ses cuisses et tu lui dit qu'il faut absolument s'occuper de ce brasier… Sur ses lèvres tu lui déposes un autre baiser mais cette fois-ci beaucoup plus tendre mais tout aussi vicieux. Puis tu retourne auprès de Vincent. Avant de reprendre place sur ta chaise, bien dressé devant lui tu le regardes droit dans les yeux en empoignant et pétrissant fermement tes seins. Il ne manque pas une seconde de ce jolie manège. Tu saisis l'une de ses mains que tu glisses sous ton vêtement, de nouveau, il te caresse mais cette fois-ci il peut sentir la chaleur et la douceur de ta peau.  Puis il introduit son autre main. Ses mains parcourent ta poitrine, il te pince les tétons et te malaxe les seins, tu échappes quelques petites plaintes de plaisir. Il profite pleinement de ta majestueuse poitrine. Tu glisses tes doigts sur ce chapiteau qui c'est dressé dans son entre-jambe, tu chatouilles et enlace son gland avec tes doigts. Ce simple geste t'oblige à te rapprocher de lui, il profite de l'occasion pour enfoncer son visage entre tes boules et d'une main il t'agrippe le cul.
Pour ma part, toujours bien installer à siroter ma bière, je profite du spectacle que m'offre ton arrogance et ta prétention. Vincent est complètement désemparé et déconcerté par ta beauté et ton audace. Nathalie, elle tout comme moi semble apprécié de voir son homme prendre du plaisir avec toi, elle ne manque pas une seconde de vos coquineries. Mais au moment où tu défaits la ceinture et que extirpe l’impressionnante verge à Vincent de son short, elle saisi sa chaise la déposé à mes côtés et avec un regard des plus pervers me lance :
-J'en peu plus, ils me donnent tellement envie ces coquins! Aller occupé toi de moi!
J'attendais ce moment avec tellement d'impatience, je dépose ma main sur sa cuisse que je prend le temps de caresser, mais je sais très bien que ce n’est plus le temps pour la finesse. Je glisse mes doigts entre ses cuisses entre ouvertes, je sens son short imbibé par le désir et son sexe consumé par le plaisir, en effleurant sa petite fleur elle frémit systématiquement. Nathalie écarte ses jambes me laissant libre accès à son havre du bonheur. Puis elle bascule la tête vers l'arrière pour profiter pleinement de cette instant. En commençant les massages sur sa moule bien moite, je lui dépose quelques doux baisers dans le cou, elle m'agrippe la tête et m'embrasse à grande bouche. J'accélère le rythme de mes caresses, je la sens si excité, elle me mord les lèvres, elle se dandine sur sa chaise et elle s'accroche à son appuie-bras. Il ne lui faut que de quelques minutes pour atteindre l'orgasme. Elle se redresse et se lève de sa chaise... pensant que ça lui suffit, je suis un peu déçu…
Elle jette un coup d’œil dans votre direction, te surprenant agenouiller sur une serviette de plage, engloutissant entre tes lèvres l'immense sexe de Vincent. En laissant tomber son short au sol, elle s’exclame :
- Il se fait gâter ce soir mon homme! Moi aussi j'en veux plus!
Je suis soulagé et ravi par ces mots. Je lui propose de s'installer dans une chaise plus de confort. J'incline légèrement le dossier et elle s'installe dans la chaise. Je saisi une serviette qui était à sécher et à mon tour je m'agenouille devant elle. Nathalie remonte ses pieds contre le siège, m'offrant une jolie vue sur sa superbe chatte et tout juste assez de place pour y glisser la tête. Je commence par lui embrasser tendrement le cheville, puis je remonte légèrement, léchant ses mollets, pendant que ma main se faufile entre ses cuisses pour caresser sa jolie toison noir qui trône au sommet de son sexe. Nathalie déjà tellement excité se laisse tout de même guidé par la délicatesse de mes gestes. Sa peau se couvre de frissons, son corps valse et se cambre timidement, au rythme de mes baisés et entre ses lèvres son souffle s'amplifie. Ma bouche remonte, bécotant et mordillant l'intérieur de ses cuisses, pendant que ma main descend, effleurant et titillant son petit abricot. De la surface, je le caresse doucement, j'imprègne mes doigts de son doux nectar,  puis délicatement je laisse mes doigts se faufiler entre ses lèvres. Je peux sentir son petit bonbon gonflé de désir, j'y dépose les lèvres et du bout de la langue je l'embrasse langoureusement. Nathalie qui semble si sereine, commence à échapper quelques petites plaintes. Les doigts toujours au abords de son orifice, j’en introduit deux. Tout en continuant de lui lécher le clitoris, mes doigts la pénètre et parcoure les moindres recoins de sexe. Vu la taille de l'engin a Vincent, je tente le coup, je me retire et j'y retourne doucement à quatre doigts. La main complètement imbibé de son jus, je pénètre en elle mais cette fois-ci, elle est parfaitement comblé. Après quelques allers-retours elle se cramponne à ses appuis bras et les lèvres bien serrées pour éviter de réveiller tout le camping, elle gémit de plaisir. Au travers de ses plaintes j'entend aussi Vincent qui tente de contenir son bonheur. Tu es sur le point de le faire exploser. Toujours affairé à ma tâche je ne peux profiter de la scène mais je l'entend succomber à tes charmes. Bien que Nathalie étais déjà très excité et sur le point de jouir, d'entendre et de voir son homme atteindre l'extase entre tes mains, la pousse elle aussi à atteindre le septième ciel. Son dos se cambre, elle tremblote de tout son  corps, ses cuisses se resserrent sur ma tête et entre ses lèvres toujours bien serrées elle hurle de plaisir. Puis d'un coup elle s'écroule sur la chaise poussant quelques derniers gémissements au travers un lourd respire. Je retire mes doigts, dépose de derniers baisers et je lape délicatement les restes de cyprine. Nathalie reste allongé sans bouger, je lui caresse le ventre, je me relève et je lui dépose un doux baiser sur les lèvres.

Je me retourne vers toi, je te vois t'essuyant les lèvres et te lécher les doigts. Je sais très bien que tu n'apprécie pas tellement le goût de la foutre mais ce soir, c'était la façon la plus simple de dissimuler la semence de Vincent. De plus, tu te doutes que tout comme moi, il doit adorer éjaculer au fond de la gorge de sa partenaire alors tu as décidé de lui offrir ce privilège. Le simple fait de t’imaginer avalant le sperme chaud de Vincent me rend complètement fou. J'ai besoin à mon tour de me vider le sac. Tu te diriges vers moi, tu empoignes mon sexe en érection depuis déjà un bon moment, tu m'embrasses à grande bouche, surprenamment, le goût amer de la foutre de Vincent sur tes lèvres me plait bien, tu prends appuis sur la chaise à coter de toi, le cul bien remonté et tu me dit :
- J'en peu plus, je veux te sentir en moi, aller baise moi!

Sans me faire prier, je descend nos short, m'installe derrière toi et je te saisi par les hanches. Je caresse mon gland contre ton sexe pour l’imprégner de ta cyprine. Ta petite escapade avec Vincent t'a vraiment donner envie, tu ruisselles déjà, je sens ton jus qui coule le long de ma queue. Puis mon gland s'engouffre entre tes lèvres, je pénètre tendrement en toi pour te laisser profiter de chaque centimètre, jusqu’à ce que je me bute à tes fesses. À ce moment précis tu cambre le dos, relève la tête vers l'arrière et pousse une plainte de satisfaction. Je m'agrippe à tes cheveux et sauvagement j’entame les mouvements de va-et-vient. Nos invités épuisés et rassasiés termine doucement leurs verres en profitant du spectacle que nous leurs offrons. Tout deux, très silencieux n'en manque pas un instant.  Je continue à te marteler avec entrain, à ce rythme je ne pourrais tenir longtemps mais à voir le mal que tu as à contenir tes plaintes, toi non plus je crois. Alors je continue a ce rythme, sans aucun délicatesse avec des coups de bassins vifs et puissants. Je laisse tomber ta crinière pour te prendre de nouveau par les hanches, je sens mes testicules s'enflammer, il ne me reste que quelques coups avant de sombrer dans l'extase. Je sens tes jambes fléchir et tes bras s'affaiblir. J'accentue la puissance de mes derniers coups, je sens mon urètre inondée par ma semence et je libère ce torrent de sperme au fond de ton vagin. Avec la sensation de ma foutre qui ce fracase sur ta paroi vaginale et la puissance de ces derniers coups, tu succombes à ton tour en poussant un dernier cri que tu es incapable de contenir. Je me retire et nous essuie avec la serviette puis lorsque tu te redresses, je te saisi pour t'embrasser et profiter de nouveau de cette nouvelle saveur sur tes lèvres.

Nathalie et Vincent nous remercie pour cette belle soirée, ils nous avouent que ça été un véritable plaisir pour eux de nous voir baiser aussi sauvagement. Ils nous promettent de remettre ça, mais que la prochaine fois ce sera à notre tour de nous faire dorloter. Ils nous font la bise et nous quitte pour profiter du peu de temps de sommeil qu'il nous reste. Le feu étant sur le point de mourir nous faisons de même, complètement épuisé, nous nous blottissons un contre l'autre et nous nous endormons en rêvant de cette prochaine fois…

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