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Cette première journée aura été vraiment inoubliable ! D’accord, je me doutais un petit peu qu’en invitant ce masseur dans notre chambre, après un passage dans le jacuzzi, le champagne et le fait que nous avions ce fantasme du trio depuis longtemps, il était fort probable que la situation dérape… ou glisse… enfin bref, qu’il ne reparte pas juste après t’avoir massé…
Ce qui n’était pas prévu, c’était la tournure que prendrait la suite de ce week-end…
En particulier la rencontre avec Richard Gere comme tu l’as surnommé, bon, Bruno en pratique, mais pour le principe, je vais continuer à l’appeler Richard.
Tout a vraiment commencé au restaurant, lorsque Richard et sa collègue, ou amie, ou femme, ou maitresse, bref lorsqu’ils se sont assis à la table à côté de nous. Sur le coup, nous en avons rigolé, c’est vrai que la ressemblance était frappante… Mais à dire vrai, je n’y ai pas prêté plus attention que cela.
Et puis nous sommes retournés à notre chambre, et pour ce qui est de la nuit, je n’ai pas vraiment besoin de t’en dire plus, j’imagine que tu as encore en tête la chaleur de la chambre, ou plutôt de nos ébats, la manière dont j’ai attrapé tes hanches, mes mains qui ont agrippées ta peau, tes fesses…
Surement as-tu encore la sensation de mon sexe se posant contre ta peau, la chaleur, la douceur...
Puis lorsque tu m’as senti glisser entre tes lèvres humides, que tu as senti mon sexe te pénétrer, s’enfoncer en toi, repoussant les parois gonflées de ton sexe, jusqu’au au fond… alors que tu sentais mes doigts agripper et serrer la peau de tes hanches, de tes fesses, que j’intensifiais mes coups de reins, que ma queue te bousculait, te pénétrait que mon bassin venait taper contre tes fesses… Surement as-tu encore en mémoire tes gémissements, la tête coincée dans l’oreiller alors que je gémissais aussi de plaisir, jusqu’à ce que je bloque ma queue en toi, plaquant brutalement mes hanches contre les tiennes, libérant mon jus chaud en toi, envahissant ton corps, tes hanches, ta chatte !
Et puis nous voilà le dimanche matin. Trop heureux de notre week-end, je m’en vais discrètement réserver une nuit de plus dans cet hôtel.
Nous finissons le petit-déjeuner, et alors que tu t’apprêtes à faire les valises pour le départ, je t’annonce que nous restons une nuit de plus et que j’ai réservé l’espace spa pour cette fin de matinée. Nous ne serons que 4 car il y a assez peu de monde pour ce dimanche matin.
10h50, nous descendons en peignoir, l’ascenseur, le hall, les escaliers, puis les vestiaires.
Nous sommes les premiers. Comme la veille, nous posons nos peignoirs sur les transats puis filons dans le hammam. 10 minutes plus tard, toujours seuls, tu vas t’allonger sur le transat alors que je vais de mon côté me détendre dans la piscine et profiter des jets massant.
Tu t’es assoupie et n’a pas vu rentrer le second couple. Richard et sa partenaire, appelons la S, ce sera plus simple. Ils filent s’installer sur les transats de l’autre côté, elle près du mur, lui plus près de toi.
De mon côté, discrètement installé dans un coin de la piscine, j’observe amusé la situation.
C’est alors qu’elle entreprend de lui enduire le corps d’huile de massage. Il est sur le dos et elle commence à faire couler cette huile, sur son torse, son ventre, ses jambes, sans pour autant arrêter le filet alors que ses mains passent au-dessus de son boxer…
Je me rends compte que tu as discrètement tournée la tête vers eux, et que tu ne perds pas une miette de la scène. Je retrouve d’ailleurs tes commentaires de la veille : je remarque à quel point ton attention se porte sur ses mains lorsqu’elle lui masse, les veines légèrement saillantes, ses ongles bien entretenus, on devine une poigne ferme. Puis ton regard parcourt son torse, ses pectoraux dessinés, son torse légèrement poilu, semble-t-il tondu court comme le mien. Ses abdos sont bien dessinés, sa peau légèrement marquée par le temps laisse à penser qu’il se situe probablement entre 45 et 50 ans. L’huile qui coule, ruissèle sur le dessin de ses muscles et fait ressortir les reliefs tant de la peau que de ses fibres légèrement bandées.
Les mains de S glissent le long de ses jambes, faisant ressortir également des cuisses et des mollets musclés. C’est lorsque ses mains remontent, qui tu t’aperçois dans un premier temps que son sexe est gonflé dans son boxer, mais aussi que depuis le début que tu le dévores des yeux, eux deux te regardent également…
De mon côté, je reste en retrait, intrigué et en parti excité par la situation…
Malgré le faible éclairage des lieux, je perçois tes joues qui rougissent, une gène dans ton regard. Mais S te regarde tellement fixement que tu n’oses plus tourner les yeux… tu remarques alors que sa main est en train de caresser le sexe de Richard par-dessus son boxer. Ce dernier semble plutôt bien membré car les 2 mètres qui vous séparent te permettent d’admirer le dessin de sa verge se dressant sous ce tissu huilé, remontant jusqu’à l’élastique allant presque jusqu’à le soulever…
Sa main poursuit ses mouvements de va et vient, puis glissent sur son ventre avant de se faufiler sous le tissu. Tu entre-aperçois le bout de son gland, luisant aussi de l’huile versée… alors que de sa main elle empoigne son sexe, tu arrives à voir son gland se couvrir puis se découvrir, la peau montant et descendant sur sa verge tendue…
S te fait signe d’en faire de même avec ta main… tu ne comprends pas tout de suite sa demande. Elle laisse alors retomber le tissu, te faisant comprendre que si tu veux profiter du spectacle, il va te falloir glisser ta main entre tes cuisses également…
L’intensité est telle que tu en oublies ma présence. De mon côté, je suis toujours dans le coin de la piscine, les jets sont tous éteints, et j’ai déjà mon sexe en érection dans mon maillot de bain… Mais je n’ose pas bouger ou faire le moindre bruit, de peur d’interrompre cette scène.
Tu finis par t’exécuter, faisant remontant ta main droite, qui, moite de ton excitation cramponnait la serviette sur laquelle tu étais couchée. Tes doigts glissent de ton ventre à ton sexe, soulevant l’élastique de ta culotte de bain. La sensation de ta main sur ta peau, ton ventre puis ton sexe, te révèle à quel point tu étais déjà très excitée par la situation. Tu ressens des frissons parcourir tout ton corps, de légères chatouilles envahir ton bassin, ton cœur s’accélérer… Alors que tu ralentis le mouvement de ta main en effleurant ton clitoris, elle te fait signe te plonger plus encore tes doigts entre tes cuisses…
Tu sens alors ton sexe trempé, tes lèvres gonflées, ton clitoris gonflé également frotte doucement contre la paume de ta main… Tes doigts écartent doucement tes grandes lèvres pour s’enfoncer, puis se replier et sentir l’intérieur de ton sexe, entièrement gorgé de sang, signe d’une excitation intense, déjà prête à éclater… les poils courts de ton pubis caressent l’intérieur de ta main, l’appuie de ta paume les font piquer légèrement et chatouiller ton clitoris gorgé de sang. Du bout de tes doigts, tu ressens la texture chaude et douce de la peau de tes grandes lèvres puis de l’intérieur bien lubrifié de l’entrée de ton sexe avant qu’ils ne se retrouvent à écarter et s’enfoncer dans le petit trou doux et sensible de ta chatte…
Satisfaite de ton obéissance, S reprend ses mouvements, découvrant alors la queue de Richard, la sortant du boxer et la dressant vers le plafond. Elle ajuste alors les mouvements de sa main sur son sexe au rythme de tes doigts dans ta culotte… ses mouvements sont amples, couvrant puis découvrant entièrement son gland. Les veines de sa verge ressortent plus encore avec les reflets de lumière sur l’huile versée, tu peux observer les détails de ses boules, de sa peau luisante, de la forme droite de son sexe, de col de son gland…
Sans t’en rendre compte, tu t’enfonces les doigts à chaque fois que sa main s’enfonce et découvre son sexe. Elle poursuit ainsi jusqu’à ce que Richard jouisse enfin, faisant gicler son sperme sur la main de S, allant jusqu’à éclabousser sa poitrine et couler entre ses seins… Quelques secondes plus tard, emportée par cette image, sa queue raide, brillante, son jus giclant puis dégoulinant le long de sa main puis sur son ventre, te voilà gémissant à ton tour, accélérant les mouvements de tes doigts, pressant plus fort ta paume sur ton clitoris, crispant et resserrant tes cuisses, tout ton corps se refermant, empêchant presque ta main de bouger, l’enfonçant entre tes grandes lèvres…
L’excitation est si intense que tu restes crispée durant plusieurs secondes, tout ton corps envahit par un orgasme profond.
Richard attend que tu te relâches pour se relever puis, à ma grande surprise, se dirige vers la piscine, puis vers moi… de mon côté, j’étais tellement excité que j’avais fini par sortir mon sexe de mon boxer, je me retrouve donc là, dans mon coin, le sexe dressé dans l’eau. Le voilà qui plonge la main dans l’eau, m’attrape par la queue puis m’entraine en dehors du bassin.
Sans dire un mot, il m’amène jusqu’à toi puis présente mon sexe en face toi… tout aussi surprise que moi, tu restes sans bouger, jusqu’à ce qu’il glisse sa main sur tes cheveux pour déplacer ta tête jusqu’à moi.
Le contact de sa main déclenche chez toi un frisson démarrant de tes cheveux, descendant tout le long de ta colonne vertébrale, pénétrant puis irradiant ton bassin comme s’il venait de te pénétrer… Il pousse ainsi doucement ta tête jusqu’à ce que tes lèvres se posent sur le bout de mon gland, puis attrape ta main pour la poser sur mon sexe. Tu ressens alors au contact de tes lèvres la peau douce, lisse et chaude de mon gland. Glissant le bout de ta langue pour essuyer l’humidité ramenée par mon sexe, tu perçois le goût un peu salé de ma première goutte de sperme, pressée de sortir à cause de l’excitation. Te voyant toujours immobile, il initie le mouvement, posant sa main par-dessus la tienne, pour démarrer la masturbation. Libérant ta main, il pousse une dernière fois ta tête jusqu’à ce que tu commences à me sucer…
Mon excitation était telle, au regard de la scène invraisemblable que je venais de voir, qu’il ne me fallut que quelques coups de langues, de bouches, de main pour exploser et libérer mon jus chaud dans ta bouche. Les contractions de mon sexe dans ta bouche, s’appuyant sur ta langue, ton palet, mon sperme giclant et remplissant ta bouche, dégoulinant au bord de tes lèvres déclenchent chez toi une explosion de sensation faisant presque gicler ta chatte tout autant que ma queue, tout ton corps se crispant, ta main entre tes cuisses, alors que mon corps se tend également comme pris de spasmes de plaisir. Sa main tenant toujours ta tête, ma queue reste enfoncée dans ta bouche jusqu’à ce que mes dernières gouttes de spermes ne finissent de couler de mon gland sur ta langue et que ta main enfouie entre tes cuisses ne se relâche également.
S, restée en retrait pour admirer le spectacle, se lève alors, vient vers nous, puis nous glisse le petit carton avec l’une des clés de leur chambre… Elle nous glisse alors : 19h ce soir, vous viendrez nus dans vos peignoirs, pas un mot, ni avant, ni pendant, ni après…
Nous les regardons alors s’en aller aux vestiaires, et restons là quelques instants, encore sidérés par ce que nous venons de vivre, moi debout, le sexe retombé, la goutte de sperme au bout du gland, toi, assise sur ton transat, la culotte encore trempée, le gout de sexe dans la bouche, et l’impression de sentir encore sa main sur ta tête, te touchant presque jusqu’à ton entre-jambes…
Les voix dans les vestiaires nous réveillent et nous rappellent que nous sommes arrivés à expiration de notre temps de présence dans les lieux, et que d’ici quelques secondes les portes vont s’ouvrir à nouveau pour laisser entrer d’autres personnes dans les lieux… Je m’empresse de ranger mon attirail, toi de t’essuyer la bouche et le corps avec la serviette… Puis nous retournons, sans dire un mot à notre chambre pour prendre une douche…
Le reste de la journée se déroule finalement presque comme une journée normale, balade en ville, visite et longues marches dans les rues commerçantes, vieille ville, cathédrale.
Nous profitons de cet après-midi ensoleillé pour nous poser au soleil dans un parc une partie de l’après-midi.
Les yeux fermés, le soleil caressant et réchauffant nos visages et nos peaux, je suis le premier à ouvrir la bouche :
- Penses-tu que nous devons y aller ?
- Je ne sais pas…
- En as-tu envie ?
- Je ne sais pas…
- C’était tellement intense…
- Oui…
- Au point où on en est, après tout, je ne pense pas que nous ayons l’occasion de vivre un truc pareil à nouveau…
- Tu as envie toi ?
- Ma raison me dit oublie, mais c’était tellement intense de te voir jouir comme ça, c’était tellement bon, que rien que d’en parler, je sens déjà que je recommence à bander…
- Sérieux ? (Tu poses alors ta main sur mon pantalon et sens mon sexe qui se gonfle déjà sous mon jean). Moi aussi en fait…
- Alors on y va ?
- Ok, rentrons alors, il va bientôt être l’heure, il faut nous mettre en tenue…
- Tu penses qu’on doit vraiment y aller comme ils ont demandé ? prendre l’ascenseur et traverser les couloirs, nus sous nos peignoirs ?
- Quitte à jouer le jeu, allons jusqu’au bout après tout.
Nous retournons donc à l’hôtel.
Un petit peu anxieux tout de même, nous nous préparons, il est 18h50, nous sommes prêts, nus dans nos peignoirs, la clé de leur chambre en main.
Alors que nous nous dirigeons vers leur chambre, un étage au-dessus du nôtre, tu te rends compte que, probablement à cause de l’excitation qui monte, tout ton corps ressent en amplifié les frottements du peignoir sur ta peau. Le tissu qui glisse sur la peau de tes fesses, sur tes cuisses, sur les courbes de tes seins, faisant se dresser tes tétons…
De même, malgré moi, je sens mon sexe se dresser. Mes mains plongées dans les poches de la robe de chambre me permettent de le plaquer contre ma cuisse, accentuant également les frottements légers de mes poils sur mon gland déjà bien excité…
Nous arrivons à leur porte, hésitons quelques instants, nos regards se croisent, s’interrogent :
- Tu es vraiment sûr que nous devons y aller ?
- Au point où nous en sommes, ne nous posons plus de questions
Et c’est sur ces derniers mots que je passe la carte pour déverrouiller la porte. La lumière passe au vert, le cliquetis de la serrure résonne puis je pousse la porte vers l’intérieure de la chambre.
A l’intérieur, les lumières sont tamisées, sombres, je ne distingue pas bien l’agencement de la pièce.
La porte se referme, je sens une présence se faufiler derrière nous, fermer la serrure puis tirer un épais rideau.
Richard revient alors vers nous puis se positionne à côté de S. Elle est habillée, pantalon en toile, un haut près du corps, elle pourrait aller boire un verre au bar du coin ainsi habillée sans éveiller le moindre soupçon de l’ambiance qu’il règne réellement dans la pièce.
Lui est habillé d’un jean un petit peu ample et d’une chemise dont les boutons sont ouverts jusqu’au niveau de ses pectoraux.
La vue de sa peau à la base de son cou puis du dessin de ses muscles te plonge instantanément à la piscine, je vois à ton regard que tu le vois déjà quasi nu, allongé sur ce transat, la peau brillante, les abdos saillants, les muscles de ses cuisses bandés, ses mains fermes posées sur tes cheveux…
S te sort de tes images en te présentant un ensemble de sous-vêtements, rouges, en dentelle.
La culotte est quasi transparente, fendue entre les jambes, laissant ainsi tes lèvres complètement libres à tous types de jeux sexuels possibles. De même que le soutien-gorge qui laisse tes tétons libres de pointer droit devant toi et de se faire lécher ou mordiller à volonté.
Tu me jettes un regard pour savoir ce que tu dois faire, je te fais signe de poursuivre le jeu.
Alors que tu t’apprêtes à aller te changer dans la salle de bain, un claquement de langue te fais comprendre que tu te changeras ici, devant nous. Richard s’avance alors vers toi, détache le nœud de ta robe de chambre, glisse ses mains au niveau de tes épaules, effleurant la peau de tes seins, jusqu’à faire glisser le tissu à tes pieds.
Ce bref contact, cette caresse te fait trembler de tout ton corps, tu sens la peau de tes seins vibrer, tes tétons se dresser, le creux de ton ventre te fais signe que tu brules déjà d’envie, et tu sens une goutte de jus dégouliner de tes lèvres le long de ta cuisse, signe que ton sexe est déjà très largement prêt et même désireux de se faire prendre… Tu sens alors cette goutte glisser doucement le long de ta cuisse jusqu’à ton genou, se faufilant entre les fins et petits poils et terminaisons nerveuses de l’intérieure de ta cuisse. Ton niveau d’excitation est tel que cela rend ta peau beaucoup plus sensible à ces sensations.
Il te tend alors les sous-vêtements que tu enfiles tout en le regardant… Alors que tu te baisses pour mettre ta culotte, tu remarques à quel point son pantalon est tendu et son sexe bombé à l’intérieur, ce qui déclenche au creux de tes reins une nouvelle décharge de plaisir. La sensation te surprend tellement que tu manques de tomber en resserrant tes cuisses et te rattrapes à son bras.
Une fois enfilée, les bords de la culotte effleurent tes lèvres mouillées et les quelques poils de ton sexe.
Tu enfiles ensuite le soutien-gorge, puis les regardes à nouveau en attente des prochaines instructions.
S te fait signe de regarder vers le lit sur lequel tu notes quatre attaches. Les sangles sont en cuir, mais l’intérieur est recouvert d’un tissu plus confortable. Après une petite hésitation, commençant déjà à penser à tout ce qu’il pourrait t’arriver une fois attachée et à la merci de leurs désirs, de nos désirs, tu commences à te rapprocher du lit.
Un nouveau claquement de langue te fait comprendre que les liens ne sont pas pour toi. Tu te retournes vers eux, le regard interrogatif, et d’un petit signe de tête, elle te fait comprendre qu’il va te falloir m’attacher sur ce lit…
Me prêtant au jeu, je me prépare à détacher la ceinture, mais un nouveau claquement m’interrompt, et d’un signe de tête à nouveau, elle te fait comprendre que ça va être à toi de m’ôter ce seul et unique vêtement qui couvre ma nudité.
Je retire alors mes mains de mes poches, libérant mon sexe, bien raide, et repoussant les pans de tissu. Tes doigts viennent détacher le nœud de la ceinture, libérant le tissu et découvrant mon torse. Un frisson parcourt mon corps, dressant les poils courts, récemment tondus, sur mes pectoraux et durcissant mes tétons.
Tu glisses alors tes mains sur mes pectoraux, puis les remontent à mes épaules avant de faire tomber le peignoir à mes pieds.
Tu es là, debout devant moi, à quelques centimètres seulement. Mon sexe dressé vient comme un ressort tout juste libéré cogner le long de ta cuisse pour se glisser contre ta vulve gonflée. Le contact avec ton clitoris te fait réagir, ton doux bouton gonflé à fleur de peau, déclenche au creux de tes reins une courte décharge électrique provoquant une contraction de plaisir…
Nous restons ainsi quelques secondes, moi nu, toi en sous-vêtements, presque collés l’un à l’autre, au milieu de la pièce, avec nos 2 spectateurs impassibles.
Un nouveau claquement nous sort de cet instant et je me dirige alors vers le lit.
Je m’allonge sur le dos, puis te laisse me chevaucher, frottant ta chatte humide sur les poils de mon ventre, puis attachant mes poignets. Alors que tu avances ton buste pour prendre ma première main, je sens ton bassin se frotter sur moi, je sens le jus et la chaleur de ton sexe contre moi, je sens tes lèvres gonflées et ton clitoris glisser sur ma peau… Mon sexe raide remonte jusqu’à effleurer la peau douce de tes fesses. Mon gland humide caresse à peine la peau irriguée et sensible de ton anus…
Tu profites de chaque attache pour te frotter un peu plus, faisant monter plus encore mon excitation et accélérant plus encore ton rythme cardiaque, partagée entre l’excitation de ton bassin et celle de démarrer le jeu sans en avoir reçu la consigne…
Une fois mes mains attachées, tu t’abaisses vers moi, poses tes lèvres sur les miennes, sentant ma bouche brulante, ma langue tournant sur la tienne, la chaleur de nos bouches équilibrant la chaleur de mon sexe posé en appuie entre tes lèvres. Tu ressens sur tes lèvres le col de mon gland dont la peau est tendue a tout rompre, les battements de mon cœur qui font gonfler les veines le long de ma verge…
Tu quittes enfin ma bouche, pour te laisser glisser le long de ma jambe, effleurant la peau de mon torse avec tes tétons durcis, profitant de mes jambes pour frotter doucement ton sexe sur ma peau, sentant mes poils venir caresser, chatouiller et écarter tes lèvres trempées…
Alors que ton visage passe au niveau de mes hanches, je sens ton souffle chaud caresser la peau sensible de mon sexe, je sens l’excitation exploser au creux de mon bas ventre, ma verge se tend allant presque au contact de tes joues… tu me regardes, complices et jouissant du pouvoir que tu as sur moi en cet instant, de décider si tu vas ou non toucher mon sexe…
Tu n’en fais rien, me laissant jouir de ce désir inaccessible et tu descends jusqu’à pouvoir m’attacher les chevilles…
Alors que tu finis de fixer la dernière sangle, tu sens Richard venir au contact de tes fesses. Tu tressautes de surprise car, tellement concentrée sur mon corps, tu avais fini par en oublier leur présence… il est toujours habillé, mais tu sens la bosse de son pantalon se plaquer entre tes fesses, le tissu venant de frotter sur ta peau, le jus de ton sexe venant humidifier sa bosse… tu te cambres alors légèrement pour tenter de frotter ton sexe contre les coutures, écartant doucement tes lèvres au contact de son sexe bandé…
Tu sens alors couler au creux de ton dos, un filet d’huile chaude… le premier contact provoque un immense frisson qui dresse l’ensemble des poils de ton corps, accentuant la cambrure de ton dos… tu sens alors le filet remonter le long de ta colonne, avant de redescendre jusqu’à la raie des tes fesses…
Le liquide s’écoule alors le long de ton anus, puis le long de tes cuisses, tout doucement, s’arrêtant et faisant réagir chacun de tes poils, te faisant ressentir l’excitation de ce liquide, comme une caresse qui effleurerait ta peau, de ton dos à tes cuisses et passant par tes zones sensibles et intimes…
A la sensation de ce liquide se joint alors le contact de ses doigts sur tes fesses, puis entre tes fesses, puis autour de ton anus… il commence à tourner autour, doucement, sensuellement… le premier contact provoque un petit repli de ta part, mais ses doigts tournants doucement, appuyant parfois un petit peu plus à l’entrée te détendent et tu finis par lui donner à nouveau le plein accès à ton corps…
Je suis là, allongé, spectateur, ne voyant pas précisément ce qu’il fait avec ses mains, mais savourant ton corps allongé le long de ma jambe, tes cheveux effleurant mon sexe, tes seins posés sur ma cuisse, ton visage posé à l’intérieur de ma cuisse, là où la peau sensible me transmet toutes les sensations possibles provoquées par ton souffle et tes lèvres…
Tu gémis doucement alors qu’il enfonce son premier doigt… il poursuit ainsi ses caresses durant quelques minutes, entrant puis sortant son doigt, passant sur ton petit trou, le pénétrant pour te faire sentir sa chaleur, la rugosité de sa peau en toi… puis vient un second doigt et un troisième… profitant de ton muscle qui se détend, de tes gémissements étouffés contre ma cuisse, de ton bassin qui ondule au rythme de ses caresses… ton sexe continue de dégouliner en partie de ton jus, en partie de l’huile qu’il continue de verser…
Alors qu’il retire ses doigts, tu gémis en réclamant de nouvelles caresses. Tu sens alors entrer, glisser en toi un petit plug qu’il enfonce dans ton anus… Tu ressens la forme à l’intérieur de tes fesses déclencher à ta surprise une première vague d’excitation lorsque l’objet s’insère en toi et rempli ton trou, puis une seconde alors que la forme appuie de l’intérieur sur ton vagin, comprimant les parois gonflées d’excitation…
Il se relève enfin, te laissant ainsi à quatre pattes au-dessus de ma jambe, les fesses relevées, montrant fièrement le brillant de cet objet enfoncé en toi, masquant la peau brune de ton petit trou… Tu relèves alors la tête pour connaitre la suite, interrogeant du regard alternativement Richard et S.
Il retourne alors s’asseoir dans le fauteuil, toujours habillé, mais la bosse de son pantalon trempé de ton jus d’excitation…
S te fait signe de te relever, puis de venir près de lui, devant lui. Tu comprends qu’il va maintenant falloir t’occuper de lui, déboutonner sa chemise, puis son pantalon…
Tu jettes un coup d’œil vers moi, comme pour obtenir mon approbation, que je te donne d’un sourire et d’un regard complice. Mon sexe toujours bandé, couché sur mon ventre te fait comprendre à quel point toute cette scène m’excite. Mes mains attachées m’empêchent d’y toucher, m’empêchent de me masturber, m’empêchent de jouir déjà…
Tu t’inclines alors vers lui, posant tes mains sur ses pectoraux, profitant de l’occasion pour caresser sa peau, la sentir sous tes doigts alors que tu ôtes les boutons lentement, un par un…
Tu sens du bout des doigts que le contact de ta peau sur la sienne lui fait bander les muscles, tu ressens chaque fibre se tendre et trembler doucement.
Arrivée au dernier bouton, tu entames le retrait de sa ceinture puis de son bouton de jean. Tes poignets effleurent la bosse de son sexe, ce qui provoque au creux de tes reins une nouvelle vague d’excitation, d’envie, de désir. Tu sens cette chaleur remonter de ton sexe, irradier ton ventre, remonter jusqu’à ce que même tes tétons te chatouillent de plaisir juste au contact de l’air…
Alors que tu te penches, puis t’agenouilles devant lui, j’admire depuis le lit ton corps sublime, tes hanches, tes fesses… Je découvre enfin, alors que tes genoux se posent au sol, et que tes fesses s’écartent légèrement, l’objet qui trône au milieu de tes fesses. La vague d’excitation provoquée par cette vision est telle que je sens monter en moi, au creux de mon bassin, une décharge provoquant un premier jet de sperme… je sens mon jus couler de mon gland sur mon ventre, puis ruisseler sur mes hanches…
Mon sexe reste tendu, excité, mon gland toujours couvert coule doucement…Mais tu ne vois pas cela… Sa chemise ouverte offre à toi une vue, de près cette fois-ci, de son torse viril. Tes mains glissent sur sa peau, descendent sur son ventre, ouvrent sa ceinture, déboutonnent son jean, sa fermeture éclair… l’image de ce matin te revient, alors que S plongeait sa main sous son boxer, pour toucher, puis caresser, puis sortir son sexe… Cette fois-ci, c’est toi qui plonges ta main dans son boxer pour libérer ce sexe, gonflé et bien trop serré dans son emplacement… le contact d’un autre sexe que le mien te perturbe… le temps d’une seconde, vite oubliée, remplacée par l’excitation et le désir intense de le prendre, de le sentir dans ta main, de sentir les reliefs, les veines, la chaleur entre tes doigts, de sentir la peau glisser dans ta main, de voir puis toucher ce sexe excité par ton corps, excité par ta présence, signe du désir de cet homme pour toi, signe que lui aussi, cet inconnu brule de désir pour ton corps…
Une fois son sexe libéré, ta main s’y pose, libère ses testicules, commence à monter puis descendre, découvrant son gland rouge et gonflé… Ton visage est à quelques centimètres, ton souffle chaud, saccadé par ton excitation vient glisser et faire monter son excitation également. Tes mouvements un peu hésitants au début prennent de l’assurance, s’intensifient en vitesse comme en amplitude… Masturber ce sexe t’excite tellement que tu glisses ta main en même temps entre tes cuisses, écartant cette culotte fendue pour poser ta main d’abord puis tes doigts sur tes lèvres gonflées, puis appuyer sur ton clitoris, enfoncer tes doigts et mimer cet organe qui te pénètrerait…
Sentant l’intensité de ton excitation monter, les mouvements de ta main s’intensifient, ta main sur son sexe ralenti, et s’agrippe à sa queue comme si tu allais tomber sans elle, tu inclines ton corps penchant doucement la tête vers sa cuisse… c’est cet instant que S choisit pour te fesser, à en faire rougir tes belles fesses blanches, te faisant te redresser brutalement… Elle te fait alors signe de te concentrer sur sa queue, que tu décides finalement de prendre dans ta bouche… Le contact de son gland sur tes lèvres te fait saliver encore plus, te donne encore plus envie de l’engloutir, de l’amener jusqu’à ta langue, de le lécher, le prendre entièrement au chaud dans ta bouche, d’agiter ta langue sur son frein, de faire le tour de son gland, de la glisser sur toute la longueur de son sexe… Tu sens sa forme, la texture de sa peau, de ses veines… tu l’enfonces presque jusqu’au fond de ta gorge pour ne pas en perdre une miette, tes mains caressent tout autour comme si tu voulais ne rien gâcher de cet objet du désir, cette queue que tu avais tant désirée ce matin…
Après quelques instants de fellation intense, Richard relève ton visage et te fais signe de venir t’occuper de moi… tu te relèves alors, abandonnant ce sexe pour un autre, le mien… Le fait de passer d’un sexe à l’autre, de sentir 2 sexes différents, de pouvoir profiter de ces corps pour ton plaisir te procure un sentiment de domination qui t’excite plus encore… Presque dominatrice, tu remontes sur le lit, viens à quatre pattes jusqu’à mon entre jambes, te saisies de ma queue toujours aussi raide… Alors que tu lèves le visage vers moi, je lis dans tes yeux que tu brules de désir, que tout ton corps boue de l’intérieur, que tu sens ton sang brûler de plaisir dans tes veines, dans tous tes membres…
Tu sens ton bassin qui irradie, traversé et chargé comme une pile électrique sur le point d’éclater… ta main entoure alors ma queue, ton premier coup de langue vient lécher mon jus qui avait déjà réussi à s’échapper tellement mon excitation était intense… Tes doigts parcourent mon sexe, mes testicules, tu sens comme mon corps est brulant… Tu commences à lécher mon sexe, de la base jusqu’au bout de mon gland, puis de le prendre entièrement en bouche… Sentant à nouveau cette forme que tu connais si bien, cette courbure qui remplit ta bouche, tape sur ton palet, sur le côté de ta langue… Tu ressens à nouveau la forme de mon gland venir buter contre tes lèvres, ta langue qui glisse sur sa fente, le goût un peu salé de mon jus… Ta main glisse entre mes cuisses pour venir agripper mes fesses, caresser mon anus, tourner autour avant d’y enfoncer ton doigt… L’huile, la transpiration, l’excitation le font rentrer facilement et entièrement… Alors que ta bouche et ta langue s’activent sur mon sexe, de ton doigt tu sens l’intérieur de mon corps, jusqu’à cette zone gonflée quelques centimètres plus au fond… Le simple contact de cette zone déclenche chez moi des tremblements et des gémissements… Ma réaction te fait redoubler d’intensité, tant de ta bouche que de ton doigt… Tu me pénètres et sens la chaleur et la douceur de mon corps du bout sur ta peau, tout comme sur tes lèvres et ta langue… Quelques secondes suffisent pour que je pousse des cris de jouissance, tout mon corps se crispe aussi violement que tes orgasmes, mon anus se resserre sur ton doigt alors que tu poursuis tes caresses internes comme je te caresse le sexe d’habitude… Mon sperme te remplit la bouche, coulant par la commissure de tes lèvres… Tu gardes mon sexe en bouche, continuant à aspirer, à sucer, à me branler et à me doigter jusqu’à sentir ton doigt se libérer, mon bassin retomber, mon sexe commencer à se relâcher…
A ce moment-là, je te vois creuser tes joues une dernière fois, aspirant ce qu’il reste de mon sexe, puis tu relèves ton visage, avalant mon sperme tout en me fixant du regard…
Alors que tu finis à peine de sentir mon jus te couler dans la gorge, tu ressens des mains se poser sur tes hanches. Le contact de ses doigts, de ses mains qui se posent puis agrippent tes fesses déclenchent un nouvel arc électrique dans tout ton corps, une main se pose sur ton dos, l’inclinant jusqu’à ce que tu couches ton visage sur mon ventre, au milieu des restes de sperme qui avaient coulé plus tôt, ou de ce qui avait coulé de ta bouche… Puis tu sens ton sexe se poser à l’entrée de tes lèvres, gonflées et écartées… Son gland dur s’enfonce presque immédiatement en toi, suivi du reste de sa queue… Tu le sens rentrer en toi, écarter les parois de ton sexe, se frotter à l’intérieur de toi jusqu’à venir buter au fond, presque jusqu’au col… Au moment où sa queue arrive au fond de ta chatte, tu cris de plaisir, tes mains posées sur mes hanches se cramponnent, enfonçant tes ongles dans ma chair…
Mes mains sont toujours attachées, tout comme mes chevilles, tu es là, à quatre pattes entre mes jambes, ton visage sur mon ventre, ma queue pour l’instant ramollie contre ton cou, mon sperme étalé sur ton visage, sur ton cou, ce qui ressort de mon gland s’écoule doucement le long de mon ventre près de tes lèvres… tu ressens encore le gout de mon jus sur ta langue, cette odeur de sexe et de plaisir t’envahit… Et tu es là, avec Richard, l’homme du restaurant, derrière toi, te pénétrant de son sexe, écartant tes grandes lèvres, enfonçant son gland et toute sa queue entre tes cuisses… Tu ressens ce sexe te pénétrer, envahir ton corps, allumant chaque terminaison nerveuse de ton corps intérieur comme extérieur…
Le plug que tu as dans ton anus intensifie les sensations, sa forme appuyant sur l’intérieur de ton sexe augmentant le contact et le frottement avec sa verge et le passage de son gland… Chaque butée au fond de ton corps te faire gémir encore un peu plus fort… Tout ton corps transpire, tout ton corps ressent ce plaisir t’envahir, te posséder…
Alors que tu te sens prête à exploser, à hurler, à jouir plus fort que jamais, il ralenti son mouvement, s’enfonce entièrement, puis s’arrête…
De ses doigts, il commence à bouger doucement ton plug, puis de le retirer avant de se retirer lui-même…
Voyant qu’il ne bouge plus, tu te retournes, tes yeux vont de l’un à l’autre, tu les supplies du regard de poursuivre, de finir, tu étais si proche d’exploser…
S te fait signe de te retourner, puis de me chevaucher à nouveau… La scène précédente, et ton état d’excitation était telle que je m’étais déjà remis à bander…
Tu prends alors mon sexe avec ta main, pour le glisser entre tes cuisses… Mais alors que mon gland commence à peine effleurer puis à rentrer entre tes lèvres dégoulinant de jus, de mouille… Un nouveau claquement de langue t’interrompt…
Tu ne comprends pas tout de suite, puis, voyant le plug dans la main de Richard, tu te relèves légèrement, tenant toujours mon sexe dans ta main… Tu l’approches de ton anus, puis te pose doucement dessus, sentant d’abord juste la douceur de mon gland sur ta peau, sur l’entrée de ton petit trou…
Tu bouges alors doucement ton bassin, montant et descendant légèrement, le laissant à chaque mouvement s’avancer un petit peu plus…
La présence de ce jouet, de l’huile et ton excitation, font que mon sexe rentre encore un petit peu plus… Tu sens mon gland commencer à écarter ton muscle, encore un peu, un peu plus, ta main tenant ma verge pour la guider, la garder au contact de ton corps… Jusqu’à ce que le col de mon gland le dépasse, que tout mon gland se retrouve en toi et que ma queue, plus fine commence à glisser elle aussi…
Cette sensation, nouvelle, te surprend d’abord… Puis, la sensation de mon sexe chaud à l’intérieur, de te sentir rempli par cette queue, douce, gonflée, excitée te fait pousser un premier cri… Mais ce cri devient un nouveau gémissement, une nouvelle sensation, un nouveau plaisir… Mon gland glissant en toi appuie de l’intérieur sur les parois de ton sexe gonflé de sang et excité à tout rompre, le plaisir te pénètre et irradie de partout, devant comme derrière, envahissant tout ton bassin…
La sensation de bien être est telle que tu t’enfonces encore un peu plus sur moi, jusqu’à sentir mon sexe en entier au fond de ton cul… Tu te relèves alors, pour tester le plaisir du va et vient… Le léger frottement de ma peau sur ton anus réchauffe tout ton bassin, le creux de tes hanches, ton ventre… Tu commences à monter et descendre t’empalant sur ma queue et gémissant de plus en plus fort…
Alors que ton bassin redescend, la main de Richard t’interrompt. Lui qui était resté là, devant toi, son sexe dans sa main, dressé face à toi, se rapproche jusqu’à ce que tu sentes ses hanches cogner contre tes cuisses… Il guide son sexe jusqu’au tien, posant d’abord son gland sur ton clitoris, puis le faisant glisser entre tes lèvres avant de s’enfoncer en toi à nouveau…
Mon sexe enfoncé dans tes fesses prend déjà une partie de ton corps, et ce second vient repousser encore, comprimant toutes tes zones sensibles… Ces 2 queues se retrouvent serrées dans ton ventre, dans ta chatte, dans ton cul…
Tu ressens chaque mouvement, de la plus petite contraction jusqu’aux mouvements de va et vient de l’un ou de l’autre…
Ton cerveau ne sait plus où donner de la tête, tout ton bassin irradie de plaisir… Tes hanches bougent un peu pour faire avancer et reculer mon sexe, lui, amplifie avec ses mouvements de hanches, chaque coup de queue vient comprimer les parois de ta chatte… Il me suffit de contracter mon périnée pour faire bouger mon sexe et déclencher de nouveaux gémissements, de nouveaux hurlements…
Tout ton corps est pris de tremblements, tes mouvements deviennent de plus en plus amples, plus forts, plus intenses, tes cris encore plus fort, plus profonds, jusqu’à ce que tu hurles, ton sexe giclant de ton jus, dégoulinant autour de sa queue, le long de tes cuisses, des spasmes d’orgasmes font cambrer tout ton corps, tes mouvements faisant bouger nos deux sexes en toi décuplent encore plus ton plaisir, tes gémissements sont tellement forts, tellement intenses, les frottements de ton cul autour de ma queue tellement bons, que je jouie à nouveau, contractant mon sexe, gonflant mon gland encore plus, faisant gicler mon sperme au fond de ton cul, provoquant en toi une nouvelle sensation encore, ce jus chaud qui te pénètre, t’envahit, te remplit…
Alors que tu commences à te relâcher, Richard se retire, se relève, puis détache mes sangles…
Il retire la dernière attache, tu es toujours là, assise sur moi, mon sexe a ramolli, mais est encore en toi, lui et mon jus…
Tu bouges alors doucement, le sentant glisser, puis sorti, doucement, avant de te laisser retomber en arrière, contre moi, à côté de moi…
Mes mains étant détachées, je passe mon bras autour de tes épaules. Nous regardons alors Richard et S, posés tous les 2 debout près de la fenêtre, puis les interrogeons du regard…
S commence à prendre le sexe de Richard en main, nous regarde, puis nous fait signe de partir…
La voyant commencer à le masturber puis s’agenouiller devant lui, nous ne trainons pas, reprenons puis enfilons nos peignoirs, posons la clé de leur chambre sur le bureau, puis sortons, les laissant poursuivre leurs activités…
Sur le chemin du retour, de mon côté, je sens quelques gouttes de sperme couler le long de ma cuisse, se faufiler entre mes poils, puis descendre jusqu’à ma cheville… De ton côté, tu sens aussi mon sperme couler doucement, ruisseler le long de ta jambe, se mêlant à l’huile, ta transpiration…
Nous montons dans l’ascenseur, et, alors que la porte allait se refermer, un autre couple monte avec nous… Je vois sur le bas de ta jambe, comme sur la mienne ces petits filets, souvenirs et traces de ces instants… Nous ne disons rien, les portes s’ouvrent à nouveau, nous sortons pour rejoindre notre chambre…
Une fois à l’intérieur, nous nous effondrons sur le lit, nos peignoirs entre-ouverts.
Mon sexe épuisé reste encore légèrement gonflé, peut-être en souvenir de ces moments intenses…
De ton côté, tu sens encore ton cœur battre dans tes grandes lèvres, dans ton anus… L’orgasme était tellement intense que tout ton corps, tout ton bassin te laissent encore une sensation de flottement, de bien être, de plénitude.
Je me retourne alors vers toi, sentant mon désir pour toi monter, non plus pour réaliser un fantasme, mais juste parce que je t’aime, et parce que nous venons de vivre ensemble une expérience d’une intensité folle.
Mon sexe se redresse alors, se décollant de ma cuisse, ressortant de mon peignoir…
Je passe ma main dans tes cheveux, sur ton visage, puis détache la ceinture de ton peignoir…
Tu me regardes, les yeux brillants, amoureux… Le contact de mes doigts sur ta peau te fait frémir, je vois les poils se dresser sur ton corps, tes tétons se durcir à nouveau…
Ton sexe encore brulant, tes lèvres encore gonflées rougissent à nouveau et une immense chaleur envahit ton bassin…
Je ne lis plus dans tes yeux la bestialité sexuelle que tu avais lorsque tu m’avais chevauché tout à l’heure, mais l’intensité du désir de mon corps, de mon amour, de notre union…
Ma main glisse sur ta peau, ton cou, tes seins… De mes doigts je pince délicatement ton téton que ma bouche vient soulager de mes lèvres puis de ma langue… Cette sensation de chaleur et de douceur irradie le creux de ton ventre et ton buste se soulève doucement…
Ma main glisse alors le long de ton ventre jusqu’à ton bas ventre… Mes doigts rejoignent tes lèvres et s’enfoncent doucement en toi, je viens caresser l’intérieur chaud et humide de ton sexe, tu ressens cette pression en toi, appuyer sur les parois gonflées gorgées de sang de ton clitoris, ton corps se cabre et ta tête s’incline en arrière…
Je joue ainsi une minute ou deux, avant de me relever puis venir contre toi… Tes mains remontent le long de mes cuisses pour venir agripper mes fesses, les serrer, les griffer…
Mes doigts laissent alors place à mon sexe, durcit à nouveau, que je viens poser sur ton clitoris, puis tes lèvres avant de m’enfoncer… Je rentre doucement jusqu’au fond de ton corps, ton gémissement commence dès que mon gland écarte tes lèvres et s’intensifie au fur et à mesure que tu me sens glisser en toi… Tes mains se resserrent sur mes fesses contractées alors que je bande et gonfle mon sexe en poussant plus fort mes hanches entre tes cuisses…
Mon pubis frotte contre ton clitoris, mon sexe coulisse en toi, sa forme le faisant frotter et appuyer partout en toi, jusqu’au fond, jusqu’au col…
Je t’embrasse langoureusement, passionnément, chaudement, nos langues se lient et se délient, nos lèvres humides se caressent, mon torse frotte, appuie sur tes seins, excite tes tétons dressés et sensibles…
Je te pénètre ainsi quelques minutes, entrainé par tes gémissements, de plus en plus intenses, mes gémissements plus forts aussi, jusqu’à ce que tu sentes se durcir plus encore mon sexe en toi, mes fesses se contracter plus fort encore, un cri sortir de ma bouche, dents serrées… Cette sensation de mon jus qui glisse en toi, qui gicle… Ce jus chaud que tu sens envahir ton sexe, chatouiller et couler en toi…
Alors que mes muscles se relâchent, que je m’allonge sur toi, mon sexe dégonflant doucement, finissant par ressortir, laissant ainsi échapper ton jus, mon jus de ton corps… Tu sens ce liquide couler le long de ta cuisse, ton cœur ralenti… Mon oreille posée sur ta poitrine, sur ton sein…
On se chuchote ensemble : Je t’aime mon amour…

 

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Par le

Je suis un homme de 55 ans avec quelques kg de trop DUR D'ÊTRE CHEF DE CUISINE alors j'ai développé un cocktail avec une dose d'humour, une dose d'autodérision, de l'écoute et de la gentillesse. Voilà comment j'ai réussi à avoir une multitude de conquêtes et beaucoup de femmes mariée.
La première fois où j'ai eu une aventure avec une femme mariée remonte à mes 20 ans. Depuis mes 14 ans, je fantasme sur P. Elle est la femme d'un collègue de boulot de mon père nous nous voyons régulièrement soit chez eux ou chez nous.
Mon 1er émoi face à P.. C'est passer un jour que nous étions chez eux après les WC, je passe à la salle de bain quand je vois devant moi le panier a linges sales, je suis comme un robot et je fouille pour y trouver des dessous de P... je trouve une culotte en dentelle noire, je la porte à mon nez et direct j'ai une érection, comme je ne reste pas 2 h dans la salle de bain, je range mon trophée dans ma poche. Le soir et bien d'autres soirs, j'honorais P... par sa culotte.
Bien des années plus tard lors d'un repas chez mes parents, je revois P... et son mari, j'ai 20 ans et mon regard sur P... n'a pas vraiment changé sauf que maintenant, j'ai un peu plus d'expériences sexuelles et mes fantasmes sur P... sont bien plus hard . Mon œil ne regarde plus son 95 C de la même façon sont petit cul bien rond m'invite a plus de sexe hard sa bouche devient gourmande .
La soirée se passe tranquillement quand la discussion a dérivé sur les nouveaux groupes qui sont gnagnagna ;;;;;;;;;;;;; P.. me demandes: tu écoute quoi ? Je lui propose de venir dans ma chambre écouter mes disques. (j'étais et je suis fan des Cure.)
P... Ok, je te suis.
Nous arrivons, je mets un disque sur la platine.
P... Je peux te poser une question maintenant, tu es adulte donc je ne te choquerais pas.
MOI. Ok no problemo
P.. il y quelques années, tu m'a pris des culottes ?
Oui, car après la première que j'avais trouvée, j'en ai repris 2 en dentelle blanche et noire
MOI ROUGE COMME UN CHAMP DE PIVOINE Heu heu heu...............
P... Tu peux me le dire maintenant, il y a prescription.
MOI oui, je suis désolé, mais j'étais gosse et plein de vie a libéré.
P... Alors tu en faisais quoi de mes culottes ?
Là cela devient chaud pour moi
MOI. BREDOUILLANT UN HEU ba tu devines ?
P... Dit le moi
MOI. Je me masturbais.
P... Et je te faisais envie ?
MOI plus que ça, je t'ai fait l'amour comme un fou
P... Contente de t'avoir donné du plaisir
MOI. C'etais juste du plaisir en fantasme, j'aurais aimé le vivre en vrai
P... Tu me fantasmes encore.
MOI comme une femme que je n'aurais pas
P... Et surtout très mariée, mais je peux te faire un cadeau.
Avec un regard de coquine, elle lève sa jupe retire et me donne sa culotte.
P... Tu pourras encore jouer en rêvant de moi.
Je suis scotché, sans voix, le coeur qui fait BOUM BOUM
Elle retourne vers les autres, nature, comme de rien moi, je reste comme un con dans la chambre la culotte de P dans la main que je porte a mon nez EN PLUS elle est humide et sent la femme ma queue ne fait qu'un tour et me fait mal dans mon jean. Une furieuse envie de me branler, je ferme ma porte a clef et la culotte autour de ma bite, je me branle tel un ado en rut. Il ne faut pas 3 minutes pour que je remplisse la culotte de mon sperme.
Je laisse ma musique finir le temps que je redescende, je range la culotte de mon plaisir et retourne avec les autres.
P me regarde avec un sourire moqueur, me reparle du titre qu'elle a écoutée dans ma chambre bref des banalités
Puis il me vient une idée, je me dis voyons jusqu'ou je peux aller avec la miss ?
MOI. Si tu aimes il faut que je te fasse écouter un autre truc plus pour toi
P... Ok, je te suis.
Retour dans ma chambre un JOY DIVISION sur la platine
Je sors de ma cachette la culotte souillée lui montre.
P... Déjà!! Tu ne perds pas de temps grosse envie ?
MOI. Oui et j'aimerais te la rendre et que tu la passes maintenant
Je joue quitte ou double.
P... Mais elle est sale.
MOI. Juste remplie de mon plaisir
P... Ok, mais tu me la remets toi.
Je suis encore déstabilisé, elle n'a vraiment pas froid aux yeux la miss.
MOI. Et si quelqu'un vient ?
P... Dépêche-toi alors.
voila comment je me retrouve a genoux devant la miss a lui remettre la culotte, mes mains en douceur remonte le long des jambes a mi cuisse je ne peut pas m'empeché de me jeter sur sont puit d'amour ma langue vat directement a la rencontre de ces petites levres, j'aspire son clito qui gonfle je lui glisse un doigt dans la chatte puis 2 Elle mouille comme une folle un 3eme doigt dans la chatte mon pouce branle son clito, mon autre main lui caresse les seins au travers de son soutien gorge je lui pince les tetons elle mord sa main pour ne pas crier, elle me repousse, puis me dit
"non pas ici pas comme ca."
MOI alors quand et ou ? Puis regarde comment je suis, je lui montre la bosse de mon jean
P... Soit patient si tu veux jeudi, j'ai un jour de repos si tu es libre viens à la maison
MOI; 13 hr jeudi
P...Pourquoi pas 11 hr ?
.Mais elle a chaud la miss.
Avant de revenir au salon avec les autres et comme le disque n'est pas fini, j'en profite pour la collée au mur lui prendre la bouche nos langues se sont trouvé sans problème ma main passe sous la jupe, je remonte jusqu'à la lisière de sa culotte elle me laisse faire, je glisse vers sa petite chatte mouillée, j'enduis mes doigts de cyprine , j'introduis mon index dans son petit trou elle à un mouvement de recul, je la retiens puis pousse plus mon doigt dans son cul. P... Tu aimerais bien prendre mon cul ? MOI. Bien sûr, tu à un cul de rêve un cul à prendre. P... Alors sois le patient petit vicieux. Je retire ma main en passant sur son Clito, je lui fais lécher mes doigt plein de cyprine. La soirée fini j'ai hâte d'être à jeudi
JEUDI... Demande de journée au boss OK. Direction chez P... J'ai le cœur qui bat la chamade moi avec mes 20 piges, je vais me faire une femme de 43 ans que je fantasme depuis mes 14 ans. J'arrive chez P... Elle m'ouvre habillée d'une robe légère, je veux lui prendre la bouche-là maintenant, mais la garce me repousse. P... Attends mon petit vicieux.
Nous nous asseyons dans le canapé cote à cote, je pose ma main sur sa cuisse, elle écarte lentement les jambes, je remonte jusqu'à sa chatte la salope ne porte pas de culotte, je plonge ma tête entre ses cuisses à l'assaut de son minou.
P... Tu ne veux rien boire.
MOI. Non, j'ai déjà mon nectar.
Elle descend légèrement pour s'offrir plus à ma langue qui lui fouille la chatte, j'aspire son bouton qui gonfle entre mes lèvres. Je lui mets 1 puis 2 doigts bien profonds dans la chatte elle lâche un jet de cyprine que je récupère sur ma langue et je lui prendre la bouche pour lui donner le goût de sa chatte.
Elle se lève pour retirer sa robe, elle me fait un effeuillage rapide, car sous la robe, elle est nue. Je me retrouve aussi rapidement nue, ma bitte droite prête à en découdre avec la belle. Elle me prend le sexe dans sa main et me branle doucement, tendrement, elle leche le liquide qui coule de ma bitte puis la langue agile de la miss passe de mes bourse a mon glan pour m'engoufré au plus profond de sa bouche puis sa boucche embrasse mon ventre et remonte jusqu'a mordillé mes tetons je sens que je vais exploser, je la releve l'allonge sur le canapé pour repartir entre ses cuisse pour lui lecher la chatte elle ecarte les jambe que je puisse aller plus loin avec ma langue je titille son bouton je lui leche son petit trou elle soupire de bien etre j'en profite pour entré 3 doigts dans la chatte mon pouce lui branle le clito elle ce courbe la jouissance arrive j'arrete pour la frustrée un peu
P... Ne t'arrête pas s'il te plaît.
Comme je ne fais rien, elle veut se branler, mais je retiens sa main et lui interdit de se toucher.
P... Mais tu es pervers.
MOI. J'ai tellement attendu que je vais te faire vivre la même.
P... Aller fini moi salaud
Je lui présente ma bitte a l'entrée de son puis d'amour et je la branle avec ma bitte elle avance pour que je la pénètre. D'un coup, je m'enfonce en elle, c'est chaud doux et très humide, elle accroche les jambes derrière mon dos pour que j'aille plus loin, je suis à la limite de lui envoyer ma semence, mais je me retire encore, car je ne veux pas aller trop vite.
P... T'es chiant vas au bout, j'allais jouir et toi tu stop
Elle me dit cela avec de l'énervement dans la voix.
Je retourne au fond de sa chatte et après 2 minutes à peine, je me lâche à ce moment elle lâche un crie fort elle me laboure le dos me traite de salaud que j'aime bien baiser une salope. À ce moment, je sens qu'elle lâche un flot de cyprines qui inonde nos cuisses, je suis au ange.
Nous sommes pantelants enlacer repus de tant de jouissances.
P... Un petit café ?
MOI. Ok avec plaisir
Je la regarde partir vers la cuisine, son petit cul, qui bouge, me donne des idées. Je la suis dans la cuisine, elle s'affaire à préparer le café quand elle a fini, je me colle derrière elle, je recommence à bander, elle le sent et remue son cul contre ma queue, je la fais se pencher sur la table de la cuisine, je la prends en levrette comme ça, elle est encore chaude à l'intérieur avec ma bitte, je mets un peu de son jus de chatte sur son petit trou.
P... Non pas direct prépare moi sinon je vais avoir mal
MOI. Je veux que tu ai mal pour toutes les fois où j'avais mal à la queue en pensant à ton cul.
P... Mets-moi un ou 2 doigts ouvre moi mon petit trou.
Comme je ne suis pas un sauvage, je lui mets mon pouce dans le cul elle bouge, je lui remets ma bitte dans la chatte tout en lui ouvrant son petit avec 2 doigts maintenant.
P... Même avec tes doigts, j'ai un peu mal
MOI. Alors je vais te sodomiser, je veux t'entendre gueuler.
Pour la petite histoire, c'est la 1re fois que je fais une sodo.
Je pose mon gland a l'entrée de son cul elle se tend vers l'arrière je commence a la pénétrer à peine 2 cm dans le cul elle commence a crier de douleur je stop
P... Va doucement que mon trou se dilate attend avant de rentrer totalement.
J'en suis là quand elle prend l'initiative de venir elle-même se planter sur ma bitte allant doucement, il nous faut bien 3/4 minutes pour que je sois entièrement en elle
P... Maintenant, tu peux me défoncer le cul.
De sa main, elle branle son clito pour mouiller plus elle attrape ma bitte pour mettre le lubrifiant de sa chatte, je me cramponne à ces anches je martèle son cul faisant claquer mes couilles sur sa chatte. Mes mains parcours son corps, des seins que je triture en pinçant les tétons qui sont gros, a son clito et les petites lèvres de sa chatte, je ne laisse aucun endroit sans caresse. La miss souffle de plus en plus fort sa jouissance et proche d'un coup elle sert sont le petit trou ma queue est prise comme dans un étau je ne peu pas bouger elle se remet a crier de plaisir. P... Tu aimes baiser une salope, tu aimes mon cul oui baise moi fort. De lui répondre MOI. J'aime les salopes les putes qui trompent leurs mecs. P... Oui insulte moi encore. MOI. Tu es une chienne, une pute a sodomiser. je n'ai pas fini ma phrase qu'elle lâche un flot de cyprines je croyais qu'elle pissait sur le carrelage de la cuisine une marre de mouille je sort ma bitte de son cul et vais pour reprendre sa chatte mais elle se retourne et me dit joui sur mes seins MOI. Alors fait le branle moi suce moi Elle m'a branlé et ma fait, jouir sur sa poitrine a étalé mon foutre partout puis a léché ses doigts. Nous avons pris une douche, je lui passe le savon dans le dos et je rebandais certes mollement, mais il ne faudrait pas beaucoup pour être au top. Elle sent que je redémarre. P... Non mon petit vicieux laisse moi que je reprenne des forces toi, tu es jeunes pas moi. Nous avons mangé un bout pris notre café puis elle me dit sauve toi que je range avant que Mr rentre MAIS avant de partir j'ai eu droit à une fellation ou pour la 1re fois une femme ma mi un doigt dans le cul et j'ai pris un pied d'enfer. Notre relation a duré 2 mois seulement un jour, elle m'a dit. P... Nous allons arrêter de nous voir, j'ai plus le désire de l'interdit, notre relation, ce structure et je veux pas un autre mec je veux des sensations. MOI. Tu prends plus ton pied avec moi. P... Mais si mais je preferes la sensation de l'interdit Nous nous sommes lâchées sans prise de tête de temps en temps, je la croisais chez mes parents. Nous en avons déjà reparlé nous en rions aujourd'hui moi de mes 54 ans elle de ces 75 ans et toujours appétissante Mais elle m'a dit il y a un an que ce qui est passé reste dans le passé elle m'a dit ça la main sur mon sexe avec un clin d'œil Peu être un jour...
si vous avez aimé ma tranche de vie avec P... dite moi que je vous racconte Marie -Pierre ma rouquine tres tres salope marier et en manque de tendresses

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Par le

On est posé devant Netflix tranquille après une journée interminable. Et, franchement, j’apprécie ce moment. Je suis lovée contre ta poitrine. Je porte une nuisette légère rose pâle et des jarretières noires au dessus des genoux. Sans rien d'autre. C'est ma tenue quand je suis détendue à la maison.

Ça sonne. Tu te lèves pour aller ouvrir. J’en profite pour m’allonger plus à l’aise sur le canapé. Je regarde Murder, j’aime trop cette série. Je t'entend parler dans le couloir puis tu reviens dans le salon avec Olivier. Je suis surprise mais contente de le voir. Je me lève pour l'accueillir et lui faire la bise. Tout de suite je m'aperçois qu'il fixe avec insistance ma poitrine. Pourtant ce n’est pas son genre. C’est là que je remarque que mes tétons pointent indécemment à travers le satin de la nuisette. Nous sommes tous les deux embarrassés. On se connait depuis plus de six ans et il m’a toujours vu en tenue sobre, autant dire qu’il est extrêmement surpris de voir mes tétons aussi apparents et provocants.

Je m’esquive dans la chambre pour mettre une tenue moins aguichante. Sauf que dans le miroir je me rends compte, qu'avec la lumière des plafonniers orienté sur moi et le spot de cinéma braqué face à moi, c'est comme si j’étais toute nue. Ma nuisette rose est carrément transparente à contre-jour. Décidément, cette soirée prend une tournure « surprenante ». Ton ami reluque mon cul plantureux sans en perdre une miette. Je décide de faire la maligne pour cacher mon malaise et je roule des fesses jusqu’au couloir. De toute façon le mal est fait, ma silhouette n’a plus de secret pour lui alors autant que le spectacle lui plaise. En soit peu m’importe que des inconnus me voient en tenue d’Eve, je ne suis pas très pudique, mais lui je le croise souvent et cette situation me met très mal à l’aise. Certes Il nous arrivent d’être libertins avec mon mari mais nous cloisonnons parfaitement ces deux vies différentes et Olivier fait partie de notre vie de couple austère.

J’ai enfilé un kimono noir en soie qui tombe mi-jambes et cache avec pudeur mon corps. Olivier a apporté une bouteille de champagne. Il vient de signer un contrat mirobolant avec le département et voulait fêter ça avec nous. Alors disons que d’admirer mon derrière dénudé aura été son cadeau pour le féliciter de sa belle réussite. Nous trinquons à son succès puis je me cale dans le coin de la méridienne pour continuer de regarder Murder pendant que vous discutez des perspectives que ce contrat offre. A chaque fois que je finis ma coupe, tu me ressers, j’adore le champagne, c’est tout naturellement qu’une douce euphorie m’a agréablement empli les veines.

Tu continues de parler avec Olivier assis face à nous à l’angle de la télé. Au bout de quelques minutes, mon attention s'arrête sur ton pote. Il observe, comme obnubilé, un truc sur le canapé là où je suis assise. Du moins, c’est l’impression que ça donne. En fait le champagne m’a tourné la tête et je suis plus que détendue. Sans m’en rendre compte, je me suis mise à l’aise comme d’habitude quand je regarde la télé juste avec toi. J’ai replié les jambes contre ma poitrine, les pieds relevés, en croisant mes mains sur les genoux. Seul petit soucis, les pans de mon kimono se sont décroisés et pendent de chaque côté. Et le mouvement de mes jambes, forcément, a remonté ma nuisette au niveau de mon nombril. Punaise! Depuis tout à l’heure Olivier ne fixe quelque chose sur le canapé mais ma foufoune livrée à sa vue. Décidément c’est son jour de chance, c’est dingue ça. Je pique un fard de confusion. Il va finir par me prendre pour une dévergondée. Il se délecte tranquille de la vision de mon épilation intégrale et de ma vulve soyeuse et toute douce. Il s’aperçoit enfin que j’ai remarqué son petit manège mais reporte quand même son attention sur mon entre-jambes comme aimanté. Je réajuste tout doucement mon kimono sans le quitter des yeux par bravade. Mais la vérité c’est que je mouille comme une folle malgré la situation embarrassante.

Je pose doucement ma tête sur tes cuisses en m’allongeant, le visage tourné vers toi comme si la série ne m’intéressait plus. Mais mine de rien, en faisant semblant de chercher une position confortable, je m’arrange pour remonter mon kimono et ma nuisette au dessus de mes fesses sans même que tu le remarques. Maintenant Olivier a une vue sublime sur mon large cul offert, ses yeux doivent se régaler de ma petite fente dégoulinante et de mon trou du cul ouvert à tout. Je ne pense plus qu’à me faire prendre comme une femelle en chaleur. Toutes ces circonstances imprévues m’ont trop excitée. Je veux seulement sentir une bonne queue me pénétrer et combler cette sensation de vide en moi. Je me caresse doucement le clitoris avec mon majeur puis je commence à me doigter en sachant que Olivier est aux premières loges. De l’autre main, je défais ta braguette. Tu te brusques d’un coup et me demandes si j’ai craqué ou quoi. Puis tu te rends compte que j’ai le cul à l’air en connaissance de cause.

Finalement tu cèdes à mon caprice en sachant de toute façon qu’il est trop tard pour faire machine arrière. Je prend en bouche avec délectation ta bite bien raide. Toi aussi la situation t’émoustille. J'entends ton ami baisser son pantalon et commencer à se branler. Je glisse du canapé pour me placer entre tes jambes à quatre pattes mes fesses cambrées bien tendues vers lui. Maintenant je t’aspire le gland comme une gourmande. Tu relèves mon kimono et ma nuisette pour bien agripper mon gros cul et écarter aux maximum ma croupe. Olivier savoure la vue de ma fente ouverte en grand et dégoulinante d’excitation. Je continue de te pomper le dard. Je tortille du fion pour bien lui faire comprendre que je veux qu’il me prenne sans attendre. Je ralentis ma pipe car j’ai senti un petit goût salé dans ma bouche et je veux pas que tu craches tout de suite. Olivier se plante derrière moi, il m’écarte les jambes pour me mettre à sa hauteur, il frotte son gland contre mon sexe détrempé, un râle de surprise m’échappe. Il vient de m’empaler d'un coup brusque. Putain il est membré comme un étalon. J'ai l'impression de me faire ouvrir le vagin en deux par un manche de pioche. Chacun de ses coups de queue tape trop au fond de ma chatte et me remonte l'estomac. J'essaie de le retenir en posant une main contre son abdomen mais ça ne change rien, il continue de me culbuter comme si de rien n’était, il m’arrache des cris rauques à chaque butée contre mon col de l’utérus. Je gémis sans retenue, entre douleur et plaisir intense. Mais mes beuglements excitent encore plus ton ami qui prend ça pour des encouragements et redouble la puissance de ses coups de butoir. Mon gros cul ondule à chaque pétée qu’il encaisse. Le bruit des claquées qu’il prend fait un bruit d’enfer tellement c’est vigoureux. C’est divin. J’en peux plus et hurle à réveiller tout le quartier.

De ton coté, tu as pris ma tête entre tes mains en m’agrippant les cheveux au niveau des tempes et tu me baises littéralement la bouche tant la situation te rend dingue. Tu es plusieurs fois à deux doigts de me faire régurgiter en t’enfonçant trop profondément. Je bave partout, je suis devenue votre petite poupée soumise, c’en est obscène tellement ça m’enflamme.

J’imagine ce que pourrait voir une personne extérieure nous épiant, moi à quatre pattes une queue au fond de la gorge et en train de me pilonner la chatte sans vergogne, je visionne si bien la scène que je suis au comble de l’excitation et là, sans le sentir venir, ça déclenche en moi un orgasme frénétique qui m’électrise tout le bas du ventre puis envahit tout mon corps en une multitude de soubresauts convulsifs. Mes jambes tremblent malgré moi, je suis tétanisée par la puissance de l’extase. Je crie encore et encore de délectation quand d’un coup ton foutre gicle par saccade au fond de ma gorge, je n’arrive pas à tout avaler et j’en recrache une partie qui coule sur mon menton avant de finir dans le décolleté de ma nuisette, de son côté Olivier a calé son énorme queue bien au fond de mon vagin et décharge à gros jets épais en moi en lâchant un râle de satisfaction.

Quand il se retire, je sens son jus dégouliner le longs de mes cuisses mais je n’ose pas encore bouger pour aller m'essuyer, mes jambes sont trop flageolantes, je reste là, perclus, essayant de reprendre mon souffle en vain. Ça faisait longtemps que je m’étais pas fait déboîter à ce point. je m’essuie un peu le menton avec l’avant-bras. Toi tu me caresses tendrement les cheveux satisfait de la tournure des événements et fière de moi je me dis. Olivier se relève en me mettant une petite claque sur le cul en guise de remerciements sans doute et s’adresse à toi comme si j’étais invisible: « J’ai toujours trouvé Marina magnifique, d’ailleurs tout le monde le dit. Ça fait quoi? Six ans que je vous connais? Et dire que j’étais certain que ta femme était un peu coincée et que tu devais t’emmerder au lit avec elle. Toujours habillée de façon sérieuse, jamais une allusion grivoise mais putain, en fait c’est une vraie garce. Ça faisait longtemps que j’avais pas pris autant de plaisir. Et puis on voit vraiment qu’elle aime se faire baiser cette salope. Pardon, je suis grossier mais elle m’excite trop ta femme. Rien que de repenser à ses cris quand elle a joui, j’en rebande, je te jure. Elle est trop addictive».

Non mais il est sérieux là? Il sort tout ça juste derrière moi comme si je n’existais pas alors que je suis toujours devant lui à quatre pattes, la chatte crépie de son sperme et saisie d’une furieuse pulsion de me faire prendre par le cul.

Je finis par craquer et murmure: « Encule-moi au lieu de parler».

Pas besoin de le répéter deux fois. Malgré son énorme queue, il s’est enfoncé sans problème dans mon trou du cul tellement il était déjà dilaté par le désir. Dix minutes plus tard j’avais l’anus distendu et large comme jamais et le rectum rempli de foutre. Et d’Olivier, et de mon mari, histoire d’être bien sûr que j’avais eu mon compte.

 

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FNAC Livre Les Mille et une Bibles du sexe, Yambo Ouologuem (Auteur)





Livre Les Mille et une Bibles du sexe, Yambo Ouologuem (Auteur) prix Livres FNAC 24.00 € TTC - Les Mille et une Bibles du sexe: Un «grand aristocrate parisien» apporte un jour à Yambo Ouologuem, qui se présente dans l'« Avertissement » comme un éditeur du Seuil, un manuscrit de 2?400 pages d'allure pornographique : 300 couples du monde des affaires, du spectacle et de professions libérales y racontent leurs ébats érotiques sous forme de « confessions-poker ». Chaque « parieur » choisit l'aventure la plus frappante qu'il a vécue, ainsi que la manière de la raconter : en la jouant, déguisé ou non, ou en la revivant. Le conteur qui gagne choisit un partenaire. S'il perd, il devient esclave.

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Faisant mine de n'être que le rewriter du manuscrit original, Yambo Ouologuem en retouche le texte, complète, affine, dit-il. Et ajoute aux « étonnantes confessions » les « arrière-mondes dont elles étaient lourdes ». Cela donne un texte audacieux, Les Mille et une Bibles du sexe, qui raconte, sans fard, une comédie érotique mais aussi sociale. Un portrait sans complaisance d'une société à la recherche de son seul plaisir. Une époque révolue des années insouciantes autour de 1968?? Pas sûr. On voit les personnages de cette société revivre sans cesse.

Yambo Ouologuem est né en 1940 à Bandagaria, dans le pays dogon, au Soudan français, actuel Mali. Son père, enseignant, le pousse dans ses études : il suit le collège et le lycée au Mali, avant de les poursuivre brillamment en France. Hypokhâgne au lycée Henri-IV à Paris, École normale supérieure de Saint-Cloud suivie d'une licence d'anglais.
Professeur au lycée de Charenton, en Val-de-Marne, il se met jeune à l'écriture. Son premier roman, Le Devoir de violence, entamé dès la fin de ses études, est publié en 1968 aux Éditions du Seuil : il dépeint, entre autres sujets, la collaboration des Africains noirs avec les négociants arabes dans la traite des esclaves. Le livre obtiendra le prix Renaudot en 1968. Yambo Ouologuem sera le premier Africain à obtenir ce prix, à une époque où la littérature africaine est loin d'avoir le vent en poupe.

Cette publication lui attira d'amères critiques de la part d'Africains, mais sera aussi l'objet d'accusations de plagiat. Aujourd'hui encore, cette affaire n'est pas résolue, faute d'avoir été étudiée en profondeur, sauf par une universitaire allemande, Sarah Burnautzki, dont la thèse doit être publiée prochainement.

L'année suivant le prix, Yambo Ouologuem publie, sous le pseudonyme de Utto Rudolf (mais présenté par lui, sous son propre nom), Les Mille et une Bibles du sexe aux éditions du Dauphin à Paris. Ce texte, véritable pépite littéraire érotique dans la grande tradition européenne, à l'écriture remarquable, refusée par Le Seuil, passera inaperçu à l'époque.
Deux autres textes suivront aux éditions du Dauphin, sous un pseudonyme féminin, Nelly Brigitta : Les Moissons de l'amour et Le Secret des Orchidées. Deux ouvrages jamais réédités.
Enfin, en 1969, sans doute sur la base des leçons apprises durant son parcours éditorial, il publie un recueil d'essais, Lettre à la France nègre (Paris, Éditions Nalis) : il y théorise en ironisant, la manière dont devraient écrire les auteurs africains.

La réception éditoriale et critique (bien qu'élogieuse au départ), les accusations de plagiat, la blessure ressentie dans ses rapports à la France que son père et lui-même portaient auparavant au pinacle l'amènent à rentrer définitivement au Mali (hormis un ou deux voyages en Europe dans les années 1970). Il vit depuis, en une sorte d'ermite misanthrope, dans la ville de Sévaré en pays dogon. Chaque année, un prix Yambo Ouologuem (prix Ahmed Baba à partir de 2015) est décerné au Mali, hors sa présence, à une ouvre publiée par un auteur africain.
Le Devoir de violence et Lettre à la France nègre ont été réédités par le Serpent à plumes respectivement en 2002 et 2003. La première «?nouvelle?» des Mille et une Bibles du sexe a été intégrée, en 2008, dans le recueil Nouvelles du Mali, chez Magellan & Cie dans la collection «?Miniatures?» dirigée par Pierre Astier.
Aujourd'hui, le public français, francophone en général, ignore presque tout de Yambo Ouologuem, un des plus grands et plus doués auteurs africains, dont le rêve de carrière littéraire s'est fracassé à la fin des années soixante, juste après avoir manqué de se réaliser dans toute sa splendeur. Il est temps de lui rendre hommage. Ou justice.