Par le

Adam et Eve Satisfyer Pro 2 and Kegel Balls Set

Satisfyer Pro 2 and Kegel Balls Set pas cher prix Sextoys Adam et Eve 49.99 € TTC au lieu de 127.96 €. >Satisfyer Pro 2 et Kegel Balls Set sont deux produits conçus pour renforcer votre plancher pelvien et intensifier vos plaisirs intimes. Ensemble, ils offrent une approche complète du bien-être sexuel et physique.

Acheter le Satisfyer Pro 2 and Kegel Balls Set sur Adameteve.fr

Satisfyer Pro 2 and Kegel Balls Set

Le calendrier est un excellent moyen de pimenter votre vie sexuelle pendant la période des fêtes. Il est également un excellent cadeau pour un ami ou un partenaire.

Satisfyer Pro 2 est un stimulateur clitoridien doté de 11 niveaux d'intensité et de 10 programmes de vibrations. Sa tête flexible en silicone s'adapte parfaitement à l'anatomie féminine et permet de stimuler précisément le clitoris. Le stimulateur est également résistant à l'eau, ce qui vous permet de l'utiliser sous la douche ou dans le bain.

Kegel Balls Set est un ensemble de trois boules de Kegel en silicone de tailles différentes. Les boules de Kegel sont des poids insérés dans le vagin pour renforcer les muscles du plancher pelvien. Ce renforcement musculaire peut améliorer la continence urinaire, intensifier les orgasmes et faciliter la récupération post-partum.

Utilisés ensemble, Satisfyer Pro 2 et Kegel Balls Set peuvent vous aider à :

  • Renforcer votre plancher pelvien
  • Améliorer la continence urinaire
  • Intensifier vos orgasmes
  • Augmenter votre libido
  • Améliorer votre plaisir sexuel
  • Récupérer après un accouchement

Avis des utilisateurs Satisfyer Pro 2 and Kegel Balls Set

Les utilisateurs de Satisfyer Pro 2 et Kegel Balls Set sont généralement très satisfaits de ces produits. Ils apprécient leur efficacité, leur facilité d'utilisation et leur design discret.

Voici quelques exemples d'avis :

  • "Je suis très contente de cet achat ! Le Satisfyer Pro 2 est très puissant et les boules de Kegel m'ont permis de renforcer mon plancher pelvien. Je recommande vivement ces produits à toutes les femmes !" - Marie, 32 ans
  • "J'ai utilisé le Satisfyer Pro 2 et les boules de Kegel pendant quelques semaines maintenant et je suis vraiment impressionnée par les résultats. Mon plancher pelvien est beaucoup plus fort et mes orgasmes sont beaucoup plus intenses." - Sarah, 28 ans
  • "Je suis une nouvelle maman et j'ai utilisé les boules de Kegel pour me remettre en forme après l'accouchement. Elles ont vraiment fait la différence !" - Emily, 35 ans

Si vous cherchez à améliorer votre bien-être sexuel et physique, Satisfyer Pro 2 et Kegel Balls Set sont une excellente option. Ces produits sont efficaces, faciles à utiliser et abordables.

Ce vibromasseur clitoris innovant vous fait découvrir une toute nouvelle facette du plaisir ! Le Satisfyer Pro 2 stimule le clitoris sans contact grâce à une technologie innovante de pression d'air. Les ondes de pression d'air pulsées délivrées par le Satisfyer Pro 2 vous permettent de profiter des plaisirs de la stimulation sans contact et de stimuler votre clitoris sans contact direct avec votre peau.

Quelle est la particularité du Satisfyer Pro 2 ?

Avec 11 modes de stimulation excitants et puissants, le Satisfyer Pro 2 Next Generation est un jouet spécial que vous ne pouvez ignorer ! Ce stimulateur clitoridien est étanche, ce qui vous permet d'emporter votre jouet avec vous pour une douche extra longue ou un bain rempli de plaisir ; et grâce à son niveau sonore silencieux, personne n'y verra que du feu.

En quoi le Satisfyer Pro 2 est-il différent des autres vibrateurs à pression d’air ?

Les 11 modes de vibration et la stimulation qu'ils procurent font que le Satisfyer Pro 2 se démarque. De plus, le prix délicieusement bas de ce sex-toy le distingue de ses homologues. Ce jouet est parfait pour les femmes qui cherchent à explorer de nouvelles formes de stimulation sexuelle tout en respectant leur budget ! Le Satisfyer Pro 2 est doux sur la peau, de sorte que toutes les expériences avec le jouet sont confortables et agréables. Grâce à la stimulation sans contact, vous êtes initiée à une nouvelle sensation orgasmique tout en minimisant le risque de surstimulation.

Comparer le prix des Sextoys sur Adam et Eve

Par le

Image de rawpixel.com sur Freepik

Image de rawpixel.com sur Freepik

Nos dernières vacances sur la cote méditerranéen, nous arrivons dans le club ambiance sympa grand piscine bordée de transat, Audrey décide d aller profiter du soleil au bord de l eau moi je vais faire le tour des lieux voir ce qu’ il y a faire, ma promenade terminer je vais rejoindre ma femme j arrive a la piscine je regarde les transat je ne la vois pas je m installe en me disant je vais la retrouver ,je la voie enfin de l autre cote de la piscine plus de place a coté d elle je reste la je l observe et je constate que je ne suis pas le seul des hommes a cote de moi flatte les formes généreuse de ma femme « regarde comme elle est bonne elle la bas » au départ un peu surpris mais après fier de voir ma femme plaire je me tourne vers eux et constate qu’ ils sont jeune 18/20ans. Audrey se lève, j'entends les deux jeunes dire viens, on la suit pour voir ou elle va, j'envoie un message à ma femme et lui dit va prendre une douche, mais ne ferme pas la porte et le rideau.

Je me lève a mon tour je suis le petit groupe de loin je sais très bien ou il vont aller, arriver devant le bungalow je vois les deux jeunes regarder par la fenêtre Audrey se mettre nue je distingue deux boss dans leurs short, je m approche d eux et je les surprend en train de regarder ma femme sous la douche un des deux s échappe en courant je rattrape l autre je lui demande si il veut rentrer voir de plus prés il bredouille un oui mais sa bite bien gonfler me fait dire qu’ il en as beaucoup envie je rentre avec lui et je l accompagne dans la salle de bain Audrey est nue sous la douche elle touche les seins ne nous as pas encore vue, je prend la bite du jeune homme dans ma mains a travers son short je commence a le caresser comme ça ,je passe ma mains dans son short je sent son sexe bien raide, je sent les secousse dut a l’excitation, Audrey nous regarde je baisse le short de notre invité je m assoie devant lui et je commence à lécher se sexe bien raide des p‘tit coup de langues devant ma femme qui commence a se caresser et as pousser des p’tits gémissement, je le suce je ne peux pas le prendre entièrement dans ma bouche il est très bien monté, je sens ces mains sur ma tête, il me baise la bouche, j adore sortir sentir son gland dans ma gorge, j’adore qu’ il baise ma bouche je commence moi aussi a bander et Audrey s approche de nous notre hôte commence a lui caresser les seins « ils te plaisent mes gros seins? Hein ? » il me lâche la tête et s occupe des gros seins de ma femme il les prend fort, les sers Audrey pousse des cris elle adore.Je me pousse je laisse notre hôte s occuper de ma femme après ces seins il commence a caresser sa chatte un doigt pour commencer puis deux et trois et oui elle aime ça je vois sa chatte qui s ouvre et qui commence a devenir humide sous les vas et viens de ces doigts elle lui demande « Vas y encore plus fort ,plus de doigts, défonce moi » aussi tôt dits aussi tôt fais je vois quatre, et la mains entière entrée dans ma femme il la prend fort comme ça, elle est en transe je la sens prendre du plaisir comme elle aime je m approche d elle et je lui murmure « tu aime ça ma p’tite salope, être offerte comme ça comme ma petite pute ».

Audrey se cambre contre le mur je jeune homme derrière elle « allez vas y prends la bien fort avec ta grosse queue elle aime ça cette petite salope » en disant ça, je mets une claque sur son cul qui rougit et qui la fait frémir de plaisir.

Je regarde sa grosse bite effleurer ces lèvres, il joue autour de ça chatte, il tourne autour ,il commence a entrer le gland doucement puis il rentre entièrement en elle elle gémis il la prend fort ces va et viens sont puissant rapide Audrey lui demande encore plus fort de la prendre fort elle adore ça ,moi je suis la je regarde je me branle devant le plaisir de ma femme je caresse les fesses de notre hôte je lui touche les couilles pendant qu’ il baise ma femme j adore sentir ces mouvement et voir le corps les seins de ma femme sous le rythme de ce jeunes étalons je m autorise a le retirer de ma femme et le sucer me faire baiser la bouche par ce jeune homme mais Audrey en redemande encore ,après quelque minute il nous dits qu’il veut jouir et la Audrey lui dits jouis sur lui sur son visage je prend son sexe dans ma mains je le suce et je sens sur mon visage le sperme arriver mes yeux ma bouche sont recouverte de sa semence chaude j’adore je me sers de sa bite pour étaler tout ça sur mon visage j’adore je le suce je sens les dernières goutte sur ma langue Audrey se caresse et se fait jouir en nous regardant et elle viens lécher mon visage pour me récompenser de ce cadeau que je lui ais laisser on s enlace tout les trois et elle lance la prochaine viens avec ton copain se seras plus marrant le jeune homme se rhabille et repars.

Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Première Vacances

 

Par le

Image de Freepik

Image de freestockcenter sur Freepik

Arrivée sur le palier de l'appartement, je ne me donne pas le temps de réfléchir et je sonne tout de suite à la porte. Je sens les battements de mon coeur s'accélérer malgré moi, bien que j'essaie de contrôler ma respiration. Je ne sais pas trop s'il s'agit d'embarras à l'idée de ce que je suis en train de faire ou d'excitation pure. En tout cas, je ne peux plus reculer.

J'entends des pas lents et lourds s'approcher de l'autre côté de la porte mais rien ne se passe.. c'est peut-être mon imagination mais j'ai l'impression que l'homme s'est arrêté et attend devant sa porte au lieu de l'ouvrir tout de suite. Il veut me faire attendre, j'en suis sûre... il aimait déjà jouer avec moi en ligne mais évidemment là, face à face (ou presque), le jeu semble déjà plus intense... je baisse les yeux et prend l'air soumis qu'il aime voir sur mon visage ; je me dis qu'il regarde peut-être à travers le judas et qu'il se délecte de savoir que je suis là à attendre qu'il m'autorise à entrer... et pour quoi ? Pour me faire traiter comme une cochonne.

Il me laisse là encore un instant, comme si je n'avais pas qu'il menait le jeu dès le début. Je me force à ne pas bouger, je suis là pour être sa chose, s'il veut me faire attendre sur le pas de sa porte, je dois l'accepter et attendre.
Finalement, il décide d'ouvrir la porte, il me toise comme il sait si bien le faire, mais le voir me regarder de haut comme ça, "en réel" comme on dit, et plus par écran interposé, c'est autre chose. Même encore entièrement habillée, je me sens déjà exposée, et je sens ma chatte qui réagit déjà.

"Te voilà, cochonne. Tu as fini par céder, tu vois ? Je t'avais dit que tu finirais par vouloir t'offrir à moi pour de bon."
"Oui", je réponds, la voix un peu étranglée par la honte de m'entendre appeler de cette manière autant que par l'excitation que ça me procure toujours, malgré moi.

Il lève un sourcil "Oui, qui ? Tu te crois où ?"

Je réalise mon erreur et je la rectifie tout de suite "Oui, monsieur."

Il recule d'un pas pour me laisser entrer et puis se retourne et avance dans le couloir sans me regarder, il n'a pas besoin de vérifier ; je ferme la porte derrière moi, et je le suis immédiatement. "On va commencer par une bonne fessée déculottée, hein ? Histoire que tu comprennes que j'ai pas attendu aussi longtemps pour t'avoir chez moi et te voir te comporter comme une simple invitée. T'as là pour être ma salope, pigé ? On va pas boire un coup ensemble ou se faire une petite bouffe."

"Pardon monsieur, je n'ai pas oublié," je m'empresse de répondre, déjà imprégnée par l'ambiance. Je sais qu'il attend ce moment depuis longtemps. Je me suis promis de laisser de côté ma personnalité et mon ego et d'être humble et docile pour lui. Il a réussi à me soumettre et me faire faire bien plus de choses que je ne l'aurais jamais imaginé avant, quand nous communiquions uniquement en ligne, mais de franchir le cap et me retrouver là aujourd'hui me demande encore plus de lâcher prise... je veux le satisfaire.

Il s'arrête et claque ses doigts pour que je me place devant lui, près de la table de son salon. "On n'a pas longtemps, en plus, il faut que tu retournes chez toi, en bonne petite bourgeoise pour t'occuper de ton petit mari, hein ?"

"Oui, je suis désolée monsieur."

"Tu peux l'être. Mais si tu me satisfais, on s'arrangera différemment quand il partira en déplacement pro. Tu aimerais ça, ma salope ?"

"Ouii", je gémis déjà. L'idée d'être à lui toute une soirée, voire plus, m'excite tellement.

Il sourit, satisfait de l'effet produit. "Regarde-moi ça, déjà excitée et j'ai encore strictement rien fait. Quelle vilaine. T'as besoin d'une bonne correction, toi." Il attend.

"Oui, s'il-vous-plaît, corrigez-moi."

Il pose sa main sur ma nuque et me penche sans rien ajouter d'autre sur la table de son salon. "On peut pas commencer gentiment avec les cochonnes dans ton genre, faut tout de suite passer par la case punition, sinon tu prends tes aises et des airs, hein ? Excuse-toi."

Je sens la pression de sa main sur ma nuque qui me colle contre la table. "Pardon, monsieur."

Il se pose à côté de moi et pose sa main sur ma croupe cette fois, en me faisant attendre encore. Il sait à quel point je me sens toujours honteuse quand je suis en position d'attendre une fessée, mais - encore une fois - c'est une toute autre affaire de m'avoir sous sa main ce soir, que de me voir me mettre en position à travers un écran.

Il soulève ma jupe et la retrousse, il prend son temps pour la mettre en place, comme si ça nécessitait une attention particulière. Je pense qu'il va me déculotter lui-même mais, évidemment, il sait que m'obliger à le faire pour lui est bien plus humiliant pour moi. "Baisse ta culotte, vilaine. Fais le doucement pour exposer ton cul à claquer. Baisse là à mi-cuisses."

Je m'exécute en me contorsionnant un peu, ce qui est évidemment le résultat qu'il cherchait à obtenir. Bien que je ne puisse pas trop le voir, la tête penchée sur le côté, je sens son regard qui scrute chacun de mes mouvements et je me sens déjà exposée. Je finis de baisser ma culotte à mi-cuisses, comme ordonné. J'attends. Encore. Il s'éloigne un peu et me laisse dans cette position. Puis je l'entends qui revient et je devine plus que je ne vois les photos qu'il prend avec son portable.

"Pour faire profiter les potes de Voissa," ajoute-t-il, "ce serait dommage de garder ça uniquement pour moi." Je ferme les yeux en imaginant les photos qui vont circuler. Il m'avait prévenue qu'il avait parlé de cette soirée autour de lui et qu'il avait l'intention d'en faire profiter d'autres.

Quand il a pris les photos qu'il veut et, j'imagine au vu du temps qu'il prend, qu'il en a posté quelques unes, déjà, il pose son portable à côté de ma tête "pour les prochaines". Il se tient maintenant derrière moi, et je pousse un petit gémissement de surprise quand, sans me prévenir, il rentre un doigt dans ma chatte. "Tu mouilles déjà, salope." À son ton, je comprends bien qu'il n'est pas surpris. Il veut juste que je l'entende le dire. "T'es vraiment une gourmande, toi, un rien t'excite, hein ?"

Je sais que je dois lui répondre, je m'empresse de le faire, "Oui, monsieur, je mouille déjà pour vous."

"Et oui, tu peux pas t'en empêcher." Sans autre avertissement, il me frappe d'un grand coup. "Et c'est pour ça qu'une bonne fessée, ça va un peu te remettre à ta place, peut-être."

Parfois il me fait compter, d'autres il me fait m'excuser à chaque coup que je me donne pour lui à travers l'écran, le micro capturant le son de chaque claque sur mon cul de soumise. Cette fois il n'exige rien, il se contente de me claquer le cul sans me laisser le temps de rien dire. La fesse droite, la fesse gauche au début, puis il change de rythme et je n'arrive plus trop à suivre.

Je sens mon cul chauffer à chacune de ses claques, et je sens ma moule qui semble se tendre elle-même de plaisir coupable. Je ne sais pas pourquoi les fessées et l'humiliation qu'elles me procurent m'excitent autant mais c'est peine perdue d'essayer de me contrôler. Je gémis, je bouge ma croupe sans pouvoir rien y faire.

Il m'assène d'insultes en même temps qu'il m'assène de coups sur mon cul offert et exposée de vilaine. Le salaud (même si je n'oserais jamais, au grand jamais, le dire à haute voix) sait à quel point il fait mouiller sa cochonne en me traitant de cette manière. Puis il s'arrête d'un coup. Il se place derrière moi, et je sens sa queue déjà tendue à travers son pantalon. Il ne fait rien d'autre que me coller comme ça, comme pour m'indiquer ce qui m'attend tout à l'heure.

Je vois sa main passer devant mon visage, récupérer son portable. "Un cul rouge pareil, ça va plaire !" Il reprend quelques photos. "Tu iras répondre aux commentaires ce soir, quand ton mari dormira. J'irai vérifier, compris ?"

"Oui, monsieur, je le ferai," je reconnais à peine ma voix. Je déteste autant que j'aime ce sentiment de ne plus m'appartenir ou de ne plus tout à fait me reconnaître. J'aimerais pouvoir résister au plaisir honteux d'être traitée comme une cochonne, de résister plus longtemps aux hommes qui m'utilisent pour me rabaisser et se donner du plaisir à eux-mêmes grâce au spectacle que j'offre. Les faire travailler un peu plus pour m'amener à mouiller, à gémir, à me laisser aller, mais ma nature est telle qu'une simple série de claques sur le cul (et, ce soir, du partage de cette correction pourtant assez simple) suffit à me mettre en chaleur.

Il malaxe mes fesses rougies et déjà un peu sensibles. "Écarte un peu les cuisses, traînée". Je m'exécute, et il rentre deux doigts dans ma chatte et fait quelques vas et vient, il tire sur mon clito. Je couine. "Tu sais quoi, je voulais te faire jouir avec ma queue dans un de tes trous mais je crois que je veux te voir jouir juste de mes claques sur ce bon cul de salope pour commencer. Tu prendras ma queue après. Tu en dis quoi ?"

Je mords mes lèvres, je savais qu'il allait dire ça. "Je veux être votre jouisseuse comme vous le voulez, monsieur."

Il m'assène une énorme claque, qui résonne dans la pièce. "Comme si tu avais le choix, bourgeoise." Je sens sa main agripper mes cheveux et me tirer en arrière, "Relève- toi. T'es trop habillée, tu vas changer ça". Je suis ses ordres, me relève et me tourne face à lui. Ma jupe retombe ; je sens ma chatte gonflée et trempée dessous, mon cul rougit et sensible.

Il reprend son portable, le met en position face à moi. "Retire ta jupe, cochonne". J'obéis et la fais glisser jusqu'à mes chevilles, avant de la retirer et la mettre de côté du pied. Il n'a rien dit pour ma culotte, je la garde donc à mi-cuisses, et je me relève pour lui faire face. "C'est bien. Une chatte de femelle, ça doit être exposée, non ?"

"Oui, monsieur."

"Et maintenant, on va s'occuper de tes nichons, hein ?" Il ne me laisse pas le temps de répondre et sans un mot de plus, il déboutonne ma chemise et ouvre les pans pour exhiber mon soutien-gorge - mais ils ne tiennent pas en place, le tissu étant trop fluide, il la retire alors brusquement, me faisant tourner pour retirer les manches d'un coup sec. Il me remet face à lui.

Je rougis de honte autant que d'excitation d'être dans une telle position : culotte à mi-cuisses, chatte déjà gonflée à l'air et offerte, cul nul et rougi, en soutien-gorge. Je sais que mes mamelles vont vite être exposées. "Mets tes mains sur la tête." J'obéis. Il prend mon soutien-gorge mais ne le dégrafe pas. À la place, il le retrousse un peu et le relève pour qu'il passe au-dessus de mes nichons, les faisant pendre.

"Voilà, faut déballer tes mamelles devant tes propriétaires." Il pince mes pies "J'en étais sûr, tu pointes déjà. Mais pas étonnant, tu m'as souvent dit que tes pies pointaient juste en voyant mon nom arriver dans tes notifications sur Voissa, pas vrai ?"

"Oui, monsieur, c'est plus fort que moi".

"Tu m'étonnes, une cochonne pareille. Là, tu as une bonne excuse pour pointer, salope. Allez, on va te changer un peu de position, penche toi bien, que tes loches pendent, et prends appui sur le mur avec tes bras tendus : je veux que ton cul soit bien présenté et que tes mamelles pendent...  voilà, c'est ça." Je suis en position. "Écarte les cuisses, une cochonne ça garde les cuisses ouvertes". Je m'exécute, et encore une fois je le vois me prendre en photo sous toutes les coutures. "Ça va nous en amener des commentaires, tu vas faire plaisir à plein de mecs. Ma cochonne va bien leur servir à se palucher, c'est clair. Remercie-moi."

"Merci de me partager avec tous ces hommes, monsieur." Je sens ma chatte qui se contracte à l'idée d'être matée par tous ces hommes, et sans être touchée, je sens tout mon corps qui tremble de plaisir.

"Si je pouvais t'offrir à tous ces mecs... peut-être que je proposerai une petite séance, après tout ? J'en aurais, des volontaires. Ils feraient la queue pour te la mettre profond." Il rit de sa blague mais je ne peux que gémir en réponse. Il me tire une tétine violemment. "Interdiction de jouir tout de suite salope !!"

"Pardon monsieur, je suis tellement excitée."

"T'es vraiment une traînée. Heureusement que je te dresse pour essayer de canaliser tout ça, hein ?"

"Oui, monsieur, merci de dresser la femelle que je suis."

"C'est bien. Tu vas pouvoir jouir dans pas longtemps, de toute façon. Je vais te foutre encore une bonne séries de claque à en faire balancer tes loches et tu jouiras comme une bonne chienne. Ensuite tu me serviras de repose pieds le temps que je boive un coup, et je m'occuperai de tes trous plus sérieusement après. Et tu pourras ensuite retourner à ta petite vie de bourgeoise. Ça te va comme programme, ma femelle ?"

"Ouii, monsieur, merci monsieur."

Il rit de me voir dans cet état. "T'inquiète, ça vient, va. Je vais juste chercher une règle, comme les bonnes petites vilaines de l'époque, hein ?"

Je reste en position le temps qu'il aille chercher sa règle ; il me l'a déjà montrée à plusieurs reprise en cam, elle est en bois, assez large, et j'ai toujours pensé qu'elle ferait une grande impression sur mon cul. À la première claque, je crie : oui, entre la force qu'il met et mon cul déjà bien fessé, la règle me chauffe encore plus le cul.

ll me claque quelques fois puis la laisse tomber avant de reprendre à la main "C'est bien la règle, mais sentir ton cul sous ma main c'est mieux. Et bouge ta croupe à chaque fois que je t'en fous une, femelle, je veux que ces loches se balancent. Et si ça peut t'aider à jouir, je te filme comme une bonne videuse de couilles en train de bosser. Alors pense à ton audience."

Évidemment, entre les coups de mon maître, le fait de devoir moi-même faire bouger mes mamelles et d'imaginer que tout est filmé et que de nouveaux hommes pourront mater cette séance de fessées, je sens mes pies qui gonflent encore plus, et ma chatte qui fait de même. Je sens mon bas ventre qui me brûle et je sais que je ne pourrai pas résister longtemps.

Soudain, il me relève et tout en me frappant le cul d'une main, il claque mes nibards de l'autre "Allez pétasse, jouis pour moi, et jouis pour tous ceux qui te regarderont ce soir. Allez, vas-y !!"

C'est une vague de chaleur qui monte dans tout mon corps et même s'il me l'ordonnait, je crois que je ne pourrais pas m'empêcher de jouir. Je viens avec abandon en gémissant comme une garce, sans pudeur, ma chatte est si chaude, trempée, et elle pulse et c'est comme si je la sentais dans tout mon bas ventre.

Quand j'ai fini, je me tiens contre le corps de mon maître, qui rit et parle à la caméra "Et ben, ça c'est une bonne jouisseuse. Imaginez ce que ça va donner quand elle aura pris ma queue dans un de ses trous !" Il fait pression sur mes épaules. "Va jusqu'au canapé à quatre pattes et reste dans cette position devant, je vais me prendre une bière et tu vas me servir de repose pieds pendant que tu calmeras tes ardeurs."

Je me baisse jusqu'à être à quatre pattes, et je fais les quelques mètres qui me séparent du canapé dans cette position, consciente de l'image que je donne. Je me tiens toujours dans la même position, tête baissée, à essayer de me calmer. J'entends mon propriétaire ouvrir le frigo et se servir ce que je pense être une bière avant de l'entendre revenir vers moi.

"Ecarte toi un peu pour que je puisse m'asseoir, femelle". Je m'exécute puis je prends position pour lui servir de repose pieds. "Voilà une bonne esclave. Encore une photo qui va plaire, pétasse. Maintenant, pense à toute la honte que tu devrais ressentir de te laisser traiter comme ça pendant que je bois ma bière, et prépare toi à prendre ma queue." Il prend une gorgée. "Tu vas prendre cher."

Mes pies tendues, ma chatte qui dégouline et, le poids de ses jambes qui reposent sur ma croupe, j'imagine déjà la suite de la soirée...

(à suivre...)

Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Franchir le pas : une soirée de soumise

 

Par le

Image de Freepik

Image de Freepik

Assise sur le canapé, j’attends nerveusement d’entendre les pas dans l’escalier. Je tire un peu sur ma jupe courte moulante, rajuste mes bas en dessous. L’air frais effleure ma poitrine à travers la dentelle de mon haut, qui ne dissimule absolument pas mon soutien-gorge. Le studio que nous avons loué est meublé avec goût, classe tout en restant douillet, j’apprécie beaucoup. Dans la pièce d’à côté, la chambre est prête.

Enfin j’entends des voix. Je me lève d’un bond pour aller ouvrir la porte, laissant apparaître O, mon mari… Et l’homme qui l’accompagne. Un jeune homme dont je connais déjà le visage, mais que je découvre vraiment pour la première fois. Il s’appelle H, nous avons déjà discuté en ligne ; et s’il est là aujourd’hui c’est, si le courant passe, pour aller plus loin qu’une discussion.

Nous voilà donc assis tous les trois dans le salon, à discuter. Il y a un peu de gêne, la situation est étrange – nous savons tous pourquoi nous sommes là, et pourtant nous voilà à discuter de la pluie et du beau temps, comme si de rien n’était. Heureusement, O aiguille la conversation vers le sexe, les expériences de chacun, les attentes…

La nuit tombe et je me sens prête. Je demande à O de fermer les volets – je ne suis pas forcément contre offrir un beau spectacle aux éventuels voyeurs en temps normal, mais là j’ai envie de plus d’intimité.

Je rejoins ensuite O devant le canapé, où H reste assis à nous regarder. Lentement, comme nous l’avions convenu, O me déshabille, pour ne me laisser qu’en bas avec un string noir qui ne dissimule presque rien. Par-dessus mon épaule, il fait ensuite signe à H d’approcher, et ils se mettent tous les deux à me caresser. Je suis un peu gênée encore, mais c’est excitant de sentir toutes ces mains se promener sur mon corps, la présence de ces deux hommes de chaque côté de moi…

Je me tourne pour faire face à H, et tandis qu’ils continuent tous les deux de me caresser, je me mets à le déshabiller lentement, en profitant pour caresser son corps. Je dévoile son torse, puis ses jambes, m’arrête un instant avant de lui enlever son caleçon. Finalement je le fais glisser, découvre son entrejambe rasée et son sexe raide. Il est différent de celui de O, plus large mais également un peu plus court. Je n’ai qu’une envie en cet instant, c’est de l’avoir en bouche… Il se rassied donc sur le canapé, enfile un fin préservatif (vous voyez ? Je vous dis tout) et je m’y mets, consciente du regard de O sur moi. Avoir ce sexe nouveau dans la bouche est étrange et excitant, je sens bien à quel point ce n’est pas celui de mon cher mari, mais j’apprécie beaucoup, ce qui est plus excitant encore. H pousse des soupirs, ponctue mes attentions de « c’est divin ». Je me rappelle d’une recommandation de O et m’attelle à lui lécher les couilles qu’il a rasées, ce qui semble beaucoup lui plaire. À moi aussi…

Je me redresse, lance un regard complice à O, dont l’excitation apparente ne fait que renforcer la mienne. Il demande à H de m’enlever mon string. Me voilà dénudée, offerte avec mes seuls bas. Après quelques caresses, je me remets à genoux devant H, reprends sa queue en bouche avec délectation… Mais cette fois, j’écarte bien les jambes pour permettre à O de s’installer sous moi, où il se met à me lécher. Les sensations sont délicieuses, je ne peux que gémir sous l’assaut.

Lorsque O s’arrête, je lui demande de se déshabiller, ce qui le surprend. Je le regarde en branlant lentement H, appréciant le spectacle. Deux hommes nus pour moi seule… Je les branle un peu tous les deux, puis suce O et H tour à tour. J’en ai le tournis, c’est fabuleux.

Mais à présent, j’avoue que je suis trempée, j’ai terriblement envie de sentir quelque chose entre mes cuisses… Je repousse donc H sur le canapé, puis le chevauche, m’enfonçant lentement sur son membre raide. O nous observe un moment, je me retourne pour lui lancer quelques œillades, j’aime sentir son regard sur moi pendant que H soupire de plaisir entre mes cuisses. Enfin, O nous rejoint, il se poste à côté du canapé pour que je puisse le sucer tout en continuant à chevaucher H. Ainsi remplie, je me caresse lentement, pas trop vite : c’est si excitant, je n’ai pas envie de jouir tout de suite…

J’avoue (j’ai dit que je vous dirais tout, n’est-ce pas) : cette position n’est pas la plus pratique, il faut que je me penche trop pour sucer O. Je lui demande donc d’aller fermer les volets dans la chambre. Il s’empresse d’obéir, me laissant seule quelques minutes avec H. J’en profite pour m’assurer que tout est à son goût pour l’instant, rassurée de constater que c’est bien le cas… J’apprends aussi qu’il aime qu’on lui embrasse le cou et j’en profite pour le faire, tout en continuant à bouger lentement sur lui. Puis je l’entraîne dans la chambre.

Évidemment, ma position préférée s’impose : à quatre pattes sur le lit, à sucer O pendant que H me prend… D’abord lentement, pour que je m’habitue à la sensation de sa queue qui me prend sous cet angle, puis de plus en plus vite à mesure que je lui réclame, de plus en plus fort, me pilonnant délicieusement. J’ai toujours le sexe de O dans la bouche, mais à mesure que H renforce ses coups de reins, je me relâche, les doigts plaqués sur mon clitoris, incapable de vraiment le sucer, seulement de sentir sa queue qui va et vient sur ma bouche au rythme de H. C’est si excitant qu’il ne me faut pas longtemps pour jouir, bientôt suivie de H qui agrippe mes hanches sous le coup du plaisir.

J’enfile un négligé en dentelle pour ne pas avoir trop froid tandis que nous faisons une petite pause afin de laisser H reprendre ses esprits. Quelques rafraîchissements, quelques mots échangés… Au bout d’un moment, je leur propose d’y retourner. J’ai encore des envies, des positions à tenter. O m’a déjà dit qu’il ne jouirait sans doute pas, trop dans le contrôle, mais j’avoue qu’au fond de moi l’idée d’arriver à le faire jouir quand même me titille…

Nous allongeons cette fois H sur le lit, puis je me mets à le sucer pendant que O me lèche. Je relève bien les fesses, tends le bassin, savourant la sensation de sa langue sur mon sexe en même temps que celle d’avoir la bouche bien remplie. Lorsqu’il se relève pour me prendre, je proteste presque, mais la sensation de sa queue qui s’enfonce dans ma chatte m’arrache un gémissement de plaisir à la place. Ses doigts trouvent mon clitoris et il me caresse ainsi, me pilonne divinement, exactement comme j’aime, pendant que H soupire sous les caresses de ma bouche, jusqu’à ce que je jouisse.

O comme H sont à ma disposition, c’est à moi de laisser libre cours à mes envies. Je me remets à cheval sur H, à présent tout à fait partant pour un autre round, et suce un peu O dans cette position plus confortable. Puis, encore à ma demande, H me prend à nouveau en levrette pendant que je suce O, puis qu’il me caresse dans cette position, me faisant à nouveau jouir. Je savais déjà que je pouvais jouir plusieurs fois, mais là je crois que je vais atteindre des records personnels ! Parce que… Je n’ai pas envie de m’arrêter là ;)

Nous essayons quelques autres positions, notamment en cuillère avec H derrière moi, pour que O puisse me lécher tout à son aise pendant qu’il me prend… C’est plutôt difficile à maintenir en fait (manque d’expérience peut-être?) et nous arrêtons rapidement, pour que je me remette plutôt à chevaucher H. O nous regarde un moment, puis se met à me caresser. Ses doigts s’égarent sur mon cul, l’ouvrent lentement pendant que je lèche le cou de H. Je ne savais pas si je voulais aller jusque là, mais à présent que les sensations sont là elles sont si agréables que je n’ai pas envie qu’il s’arrête. Quand O me propose d’essayer la double pénétration, je dis oui. Je suis un peu nerveuse encore, les sensations sont intenses, ça étire presque un peu trop… Mais la légère douleur passe très vite pour laisser la place à de délicieuses sensations. L’excitation de savoir que je suis en train de faire ça, de me faire prendre de cette manière par deux hommes à la fois, me transporte.

Enfin H, épuisé, demande grâce et nous arrêtons là pour lui dire au revoir. Il était absolument parfait pour ce premier plan à trois, doux, calme et accommodant.

Une fois qu’il est parti et après une petite douche, O me re-plaque sur le lit pour me prendre à nouveau, afin de finir cette après-midi en beauté. Nous hésitons à nous mettre à la fenêtre, mais un plan à 3, c’est déjà bien assez de cochonneries pour la journée… Il me fait jouir une dernière fois puis jouis à son tour pendant que nous échangeons nos ressentis sur ce qu’il vient de se passer. J’ai encore du mal à croire que c’est bien moi qui ai fait tout ça… Mais c’était si excitant, si bon que je crois bien que je vais recommencer…

Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Première fois à Trois