Par le

Chloé travaille depuis peu dans une entreprise. Dans son service il n'y a que des femmes, sauf un homme. Le genre d'homme un peut solitaire, il prend peu de pose café ne mange pas à la cantine de l'entreprise bref, elle ne le croise que rarement. Il est brun, assez grand. Toujours habillé d'une chemise blanche. Pas très bavard, les rare fois où ils se croisent ils n'échangent que quelques mots. Sa voix est grave, il s'exprime très bien. Son visage affiche souvent un air sérieux. Chloé ne l'a vu sourire qu'une seule fois et elle s'en souvient bien... Jamais il n'a ri devant elle ou laisser transparaître une émotion.
Quand il traverse la pièce on sent qu'il ne laisse aucune femme indifférente, mais certaine le craigne. Son visage grave déstabilise.
Malgré un bon nombre de belles femmes au bureau, il ne s'est jamais montré charmeur ni charmé.
  
Un soir Chloé décide de rester tard, bien plus tard que l'heure habituelle de fin de journée. Elle sait qu'il a l’habitude de rester lui aussi.
Elle veille à son bureau jusqu'à ce qu'il ne soit plus que deux à leurs étages. Lui travaille dans un bureau légèrement à part de celui de Chloé. Une vitre permet à Chloé d'observer le bureau de cet homme.

Il se croit seul, son comportement commence à changer. Il passe des coups de fils, parle un peu plus fort que d'habitude, fait des aller-retours à la salle de pauses. C'est la première fois que Chloé entend le son de sa voix pendant si longtemps.

Elle attend le bon moment pour l'aborder. Quand ce moment arrive enfin, elle resserre son soutien-gorge et déboutonne le premier bouton de son haut pour laisser apparaître un beau décolleté. Chloé avait prévu son coup, elle s'était habillée d'un pantalon noir taille haute qui lui faisait un cul d'enfer. Son haut blanc, légèrement transparent permettait de distinguer son soutien-gorge. Une fois déboutonné ce haut mettait merveilleusement bien en valeur la poitrine parsemée de tâches de rousseurs de Chloé. Cette dernière avait détaché ses cheveux qui maintenant lui tombaient sur les épaules.

C'est une jeune femme excitée par la situation bien que légèrement apeurée qui s'approche de la salle de pause où se trouve actuellement l'homme.

En arrivant à la porte, il se trouvait dos à elle, à demi-assis sur la table. Elle fit mine d'être surprise par sa présence.


  • « Bonsoir, je ne vous attendais pas ici. »

Il sursaute et manque de renverser sa tasse de café.


  • Bonsoir, vous êtes là depuis longtemps ? Je ne vous ai pas entendu...   Répond-il, d'un ton sérieux.

  • Oui j'avais beaucoup de travail ce soir, obligé de rester tard. Chloé traverse la pièce passe devant lui et va s'adosser au mur à côté de la cafetière.


L'homme descend de la table sur laquelle il était appuyé et vient s'asseoir de manière bien plus classique sur une chaise. Il n'a pas même eu un seul regard pour le décolleté de Chloé. Cette dernière, déçue, fait mine de s'étirer pour mettre son corps en valeur et relance la conversation ;


  • Mon dos me fait un mal de chien, vous n'êtes pas fatigué vous à rester là si tard ?

  • Disons que j'ai l'habitude. Dit-il en ayant à peine un regard pour elle.

  
Chloé prend son café et vient s'asseoir en face de lui, là il est obligé de la regarder. Son regard noir la traverse, elle est déstabilisée et se demande si elle sait encore bien ce qu'elle fait. Pour la première fois il lui pose une question « Vous êtes dans la boite depuis longtemps ? » Chloé bégaye « Euh non non je suis stagiaire depuis quelques semaines... deux mois peut-être ». S'en suis un silence. Le rythme cardiaque de Chloé s’accélère, elle se sent tendue et excitée à la fois.
Finalement il se lève et lui dit qu'il retourne travailler.
Chloé cherche un moyen de garder cet homme près d'elle plus longtemps ; « Je commence à avoir un peut faim dit-elle, je vais commander, vous voulez vous joindre à moi ? »
D'abord surpris par la proposition il répond « Très bien, c'est moi qui vous invite, chinois ça vous va ? »
Elle acquiesce puis tous deux sortent de la salle pour retourner à leurs bureaux respectifs. Chloé tourne les talons, sur le court trajet qui la mène à son bureau elle remarque grâce aux vitres que ce bel homme si stoïque jette un coup d’œil à ses fesses... Elle n'est pas peu fière, la situation se décoincerait elle enfin ?

Quelques minutes plus tard le monsieur fait signe à Chloé que le repas du soir est arrivé.
Pendant c'est quelques minutes, Chloé a douté. Elle n'était plus bien sûr d'assumer, cet homme l’impressionnait autant qu'il l'excitait. Elle se demandait si elle n'en avait pas fait un peu trop... Rapidement elle avait reboutonné son haut jusqu'au clavicules et rattaché ses cheveux.

Ils se mettent à table. Les traits du visage de l'homme se sont adoucis. Il regarde Chloé puis dit « Vous avez changé quelque chose non ? » Elle gênée répond « heu non... enfin si peut-être mes cheveux ! » « Ça doit-être ça »

Durant le reste de la conversation, Chloé n'est pas concentrée, elle ne pense qu'à lui, observe ses mains, sa bouche, sa mâchoire carrée. L'homme le remarque.


  • Ça va ?

    • Oui oui pardon !

    • Non pas de soucis. Il sourit, ça l'a fait rougir.


L'homme s'adosse sur sa chaise, ses pectoraux se dessines à travers sa chemise. Il étend ses jambes, son pied vient buter sur celui de Chloé.


  • « Oh désolé » s'empresse-t-il, en reculant légèrement son pied

  • « Non pas de soucis ! »


Chloé avance à nouveau son pied pour retrouver le contact de l'homme, puis le regarde dans les yeux. Une autre personne semble guider ses gestes, elle ne se contrôle plus.

S'en suit un silence ; ils ont compris.


Soudain Chloé reprend ses esprits et se lève brusquement « Je suis désolé je ne sais pas ce qui m'a pris » Elle commence à vouloir sortir mais l'homme se lève à son tour et lui prend la main. Ce contact excite Chloé au plus haut point, elle en tremble...
Sans dire un mot de plus il se penche et commence à embrasser Chloé, les joues, la bouche et bientôt le coup, Chloé s'agrippe à la chemise de l'homme, sa respiration s’accélère. Elle se plaque contre lui.
L'homme se redresse et se redirige vers son bureau en amenant Chloé par la main. Une fois arrivé il baisse les stores, ses bras puissants viennent attraper Chloé pour la poser sur le bureau. Les activités reprennent. Chloé s'agrippe aux fesses musclées de son étalon, elle sent son sexe contre son ventre.
D'un geste impulsif elle ôte la ceinture de l'homme et déboutonne le pantalon pour laisser enfin sortir son sexe tendu. Elle s'empresse d'utiliser ses deux mains pour masturber ce sexe massif.
L'homme devient alors plus animal. Il déboutonne le haut de Chloé dégrafe son soutif et découvre une poitrine charnue qu'il attrape de sa main droite. De sa main gauche il agrippe avec vigueur le bassin de la jeune femme.
Chloé rapproche le sexe de son amant, le gland vient lui toucher le ventre, elle lui chuchote ensuite à l'oreille « J'en veut plus ».
Il recule faisant perdre à Chloé sa saisie. Déboutonne brusquement le pantalon de Chloé des deux mains et vient plonger une main dans son entre-jambes humide. Il fait rouler le clitoris de la jeune femme entre l’annulaire et le majeur ; elle se tord de plaisir se forçant à rester muette, puis, subjuguée par l’émotion elle chute à plat dos sur le bureau. Elle se retrouve donc ainsi complètement débraillée, son haut déboutonné s’échoue de part et d’autre de son corps, le soutien-gorge a glissé au niveau du coup et ne tient que par les épaules. Ses jambes viennent enlacer la taille de l’homme qui lui se tient droit comme un piquet. Elle sent la cyprine couler le long de ses fesses, une goutte vient se loger dans le creux de son anus la faisant réagir.

Soudain l’homme vient d’un geste viril retirer entièrement le bas de la jeune femme impuissante. Il plonge ensuite son visage entre les cuisses dégoulinantes de plaisir de Chloé.
Elle se tord de plaisir, ne contrôle plus ses gestes, se cogne au bureau, redresse son buste puis saisis les cheveux court de son amant. C’est la première fois qu’elle est au-dessus de lui, elle appuis le visage de l’homme sur son entre-jambe l’empêchant de respirer. « Mangez-moi toute entière… ».

L’homme lui relève les jambes puis les faits pivoter pour aider Chloé à se mettre sur le ventre. Dos à lui il peut admirer le fessier qu’il avait tenter de deviner à travers le pantalon de Chloé plus tôt dans la soirée.
Chloé se redresse prenant appuis sur le bureau avec ses mains et se cambre. L’homme lui caresses les fesses, puis s’en saisi d’une. La prenant à pleine main, il serre à la limite de la douleur, son pouce vient frôler l’anus de Chloé qui attend la suite avec impatience.
L’homme rapproche son sexe, son gland touche les lèvres vaginales gonflées de Chloé qui n’en peu plus… Puis d’un mouvement lent, il entre en elle de toute sa longueur. Les premiers vas-et -viens sont lents. Mais rapidement ils prennent de la vitesse, son bassin vient heurter d’un bruit sec les fesses de Chloé. Elle se mord les doigts pour ne pas hurler, son amant la saisi violement par la taille et continu ses coups de reins. Chloé sent son vagin dégouliner le long de ses jambes, pour elle c’est bientôt l’apothéose. Mais elle ne veut pas finir sans avoir vu le torse de son amant, alors elle se retire brutalement de son étreinte attrape l’homme surpris et vient le positionner cul nu sur une chaise.
Ce dernier, avachis sur sa chaise, la regarde debout face à lui se refaire le chignon puis s’agenouiller entre ses jambes pour ensuite déboutonner entièrement sa chemise.
Elle saisi le sexe de sa main droite pendant qu’elle s’appui de sa main gauche sur l’intérieur de la cuisse de l’homme. Elle vient le lécher de la base jusqu’au gland qu’elle gobe. Sa langue s’amuse le long de son chibre, sa main gauche parcourt le torse nue de l’homme, caressant sa poitrine, ses abdos, son bas ventre puis revient à son sexe qu’elle masturbe des deux mains cette fois. Elle le regarde dans les yeux tout en donnant quelques coups de langue sur le gland, elle sent qu’il n’en peut plus…
Chloé se relève et s’empale à nouveau sur son étalon. Elle le chevauche en s’attrapant aux épaules de l’homme, celui-ci saisi les fesses de sa cavalière. Les seins de celle-ci viennent fouetter le visage de l’homme qui ne tient plus.

L’homme éjacule en elle dans un dernier râle. Chloé, fatiguée vient poser sa tête sur l’épaule de son amant et se laisse bercer par la respiration ample de ce dernier.

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Par le

Partie 1

Enfin le moment attendu est là, …. le temps est comme suspendu,… nous sommes tous deux dans cette chambre aux murs blanc meublée d'un seul grand lit en son centre.
Vous êtes allongé, nu, sur le ventre, les jambes légèrement écartées, laissant apparaitre les deux belles bourses de votre anatomie masculine.
Je suis assise a vos coté sur le bord du lit.
Pour l’occasion j’ai opté pour une lingerie sobre et glamour de type "Pornochic", comme j’ai pu le lire sur certains commentaires. Cela m'a d'ailleurs fait beaucoup rire !

L’absence de toute pilosité sur votre corps est une première pour moi et crée un trouble étrange que je ne peux expliquer pour l’instant.
Votre corps parfaitement et entièrement rasé, vos fesses rebondies et les deux doux oeufs de votre virilité me fascine, mes yeux ne peuvent s’en détacher.
Mes mains se posent délicatement sur vos fesses votre peau est douce. Je les caresses doucement et juge de leur fermeté en les pressant légèrement mes doigts et en les écartant légèrement.

Je fais glisser une main le long de vos cuisses , plusieurs fois,… je veux profiter de cet instant, mes doigts effleurent du bout des ongles vos merveilleuses testicules, lentement, je joue avec elles puis… je m’enhardis et délicatement je m’applique à vous les caresser délicatement.

Mon autre main n’est pas en reste, éblouis par votre joli petit cul, je passe ma main en caresses sensuelles sur ce beau postérieur. Mes doigts passent lentement sur votre sillon, je vous sens tressaillir, aurais-je touchée un point sensible ?

Curieuse, je renouvelle mon passage, plus lentement encore, puis au moment opportun mon majeur viens effleurer votre petit trou. Une légère contraction et un soupir de plaisir me donnent réponse.

Cette situation, extrêmement érotique et surtout totalement nouvelle, entraine une excitation soudaine et puissante qui me renverse !
Ma respiration s’accélère, j’ai les joues en feu, mes petits seins tendent l’étoffe de mon soutient gorges, mes tétons sont durs, je les sens pointer fermement.
De légers spasmes envahissent mon bas ventre, je sens se former une petite auréole chaude et humide entre mes jambes, en quelques secondes, mon petit string se retrouve tout mouillé.
Je me mords la lèvre inférieur, je fonds littéralement

Un bruit,…. une porte s’ouvre, et là doucement, mon homme, mon mari, mon alter égo, rentre dans la chambre.
Ses yeux plongent dans les miens, longuement, puis après quelques secondes qui ont parus être une éternité, son sourire accompagné d’un clin d’oeil raisonnent comme une approbation à cette situation, ….


Partie 2

L’ambiance est posée, les personnages en place, au fond de moi, je suis convaincue que tout est comme cela devait être ; et le meilleur reste à venir, me dis-je.
Je m’installe en amazone sur le lit tout contre vous, ma main gauche prend légèrement appuie sur votre dos, tandis que de l’autre je continue lentement à caresser votre splendide paires de couilles qui, sous l’effet de mes sollicitations ont légèrement durcis, preuve de votre excitation croissante.
J’imagine juste au dessus, droite et généreuse, votre verge animée par le même désir. Je glisse ma main en remontant pour vérifier le fruit de mon imagination et enfin découvrir, pour de vrai, votre virilité qui me fascine depuis si longtemps.

Hum!, oui quel beau morceau,…., sa base est bien épaisse, …..un peu trop non ? ……, quelle est lisse et bien veinée,…..des sentiments, des interrogations se bousculent et me font tourner la tête, …… mais pourtant je n’ai rien bu ! ….. je me parle à moi même comme pour me rassurer, alors là, pour le coup, je suis vraiment au bord du gouffre !.

O. s’est approché de moi, lentement il est nu, sa pilosité (d’ou : ourson !) contraste avec ton corps, j’ai un flash soudain ; vous êtes un peu comme le Yin et le Yang. Il s’approche de moi, me caresse les épaules, les bras, descend sur mes jambes, il sait que j’adore sentir ses mains sur mes mollets, ….. il reprend sa remontée, puis glisse sa main sous mon genoux droit et redresse ma jambe tout en écartant mes cuisses. Je me retrouve dans cette position qu’il me plait d’imaginer être une posture totalement dépravée !

Je sais, ô combien il est excitant pour la gente masculine de me voir ainsi cuisses ouvertes, complètement offerte à leurs mains, prête à les laisser parcourir mon corps de leurs caresses des plus sensuelles au plus osées ! J’adore,….. cela m’excite au plus haut point.

Mon homme ne résiste pas à cette vision et il s’applique rapidement à passer sa main dans mon entre jambes, il fait glisser ses doigts sur mon string trempé et s’applique à caresser, par dessus ce petit bout de tissu, mes lèvres gonflées, ma vulve palpitante, il remonte sur mon clitoris qu’il fait rouler avec application, exactement comme j’aime, je ne peux réprimer mes premiers feulement de plaisir.

Je te demande de te retourner et découvre ton magnifique phallus, une véritable tour d’ivoire, comme je l’imaginais, droite, épaisse, veinée.
Ton gland est encore légèrement recouvert par ton prépuce généreux, délicatement et très lentement j’entreprends de te décalotter du bout des doigts.

Les caresses de mon mari, ta présence à nos cotés, ton sexe dans ma main, puis maintenant, toi qui entreprend de dégrafer mon soutient gorges pour mieux prendre ma poitrine et pincer mes tétons, Oui !!!! ……. tout cela me fait basculer,….. complètement, ….. je me laisse glisser dans cet espace intemporelle et charnel.

Vos mains parcourent mes cuisses, mes seins, mon ventre, vous me pincez et sucez délicatement les tétons, je ne reconnais plus qui me touche, je vis simplement l’instant.
Mon string à été écarté, je sens vos doigts maintenant directement sur ma petite chatte entièrement épilée, mes lèvres et mon clitoris sont gonflés sous l’actions de vos jeux,..... je mouille encore plus, …

Je me penches sur ton ventre, passe ma langue sur ton nombril, puis descend lentement vers ton membre viril. Je le soulève avec la main puis pose le bout de ma langue sur ton gland flamboyant.
Je m'applique à la faire tourner doucement tout autour. Avec elle, je termine de te décalotter délicatement et m’amuse à te titiller par de petits coup de langue.
Puis, ne tenant plus d’excitation, délicatement, je prends ton gland entre mes lèvres et m’applique ainsi pendant un long moment à le sucer tout en caressant ta longue tige.

Partie 3

Nous sommes maintenant tous les trois sur le lit.

Mon string pend sur ma cheville droite, retenu par la bride de mon escarpin.
J’ai le dos calé sur d’énormes coussins blanc nacrés, et tu es là, la tête entre mes cuisses, ta main sous mon genoux gauche relève ma jambe tandis que mon mari, à mes cotés, fait de même en me soulevant délicatement l’autre jambe.

Je me retrouve, ainsi, les cuisses relevées, le bassin basculé, offrant ainsi toute mon intimité aux délices de ta langue.
Tu sais parfaitement bien l’utiliser et tu joues avec moi une parfaite mélodie, je la sens sur mes lèvres, parcourir mon sillon, glisser rapidement vers mon petit trou (j’adore !!) comme si tu souhaitais le gouter, petit coquin !

Tu remontes ensuite pour mieux t’occuper de mon clitoris que tu lèches avec passion, tu le dégages délicatement des plis de son capuchon et le découvre entièrement, il est gonflé et écarlate. Tu te recules un peu comme pour l’admirer pendant quelques courtes secondes, puis tu te penches dessus, le prends entres tes lèvres et l’aspires goulument avec force. Je ne résiste pas  à ce nouvel assaut et tu m’arraches mes premiers râles !

Je t’encourage bruyamment,
« Lèche moi la chatte » m’entends-je dire, je deviens folle !

Mais, oui,… je veux sentir ta langue partout, je veux que tu me fouilles complètement dans cette pose impudique qui m’excite tant.

Après ce moment délicieux ou tu me conduis aux portes de l’extase, tu redescends lentement le long de ma vulve que tu gratifies de quelques beaux coup de langue, tu t’attardes ainsi et, sans aucun doute dans mon esprit, je devine que tu goutes avec gourmandises à mon doux miel s’écoulant maintenant abondamment de ma petite chatte.

Je te sens glisser doucement encore plus bas, de nouveau, je perçois ta langue jouer avec mon petit trou,
« Oui, …. J’aime ça, …. Encore,….. »
Par ces mots je t’encourage à continuer, je sens le bout de ta langue jouer avec moi,…tu fait tourner doucement ta langue autour.

Je suis aux anges, j’adore ces caresses inavouables,…. et, par pudeur, n'osant encore m'exprimer totalement à haute voix, je me parle à moi-même, ce qui à pour conséquence d’augmenter mon excitation.
« Petit cochon,…. tu prend ton temps, hein, ... tu aimes çà,.... tu aimes m’exciter,....  oui continu ainsi,.... j’aime çà aussi,….. »

Ta langue, raidie en pointe, force délicatement le passage et s’immisce de quelques millimètre dans mon anus, … je râle et gémis de plaisir immédiatement,… ainsi tu n’as plus aucun doute maintenant sur le périmètre des mes pratiques et tu te plais à imaginer la suite de cette soirée.
Tu alternes de nouveau tes caresses et me portes de nouveau au bord du sommet de la jouissance.

Mon homme est à mes cotés il passe ses mains sur mon corps, mes seins, me caresse la nuque, les cheveux, les joues et le cou. Bien évidemment il ne rate pas une miette du spectacle que tu lui offres et du plaisir que tu me donnes. Constatant que, désormais, tu te concentres sur mon petit trou avec ta langue, il pose sa main sur le haut de ma chatte et entreprend une masturbation en règle de mon petit bouton déjà tout gonflé et ultra sensibilisé, effet garantie !

Je le branle et le suce fougueusement tout en exprimant mon plaisir par de bruyants râles et gémissements. Je veux le remercier de ce cadeau qu’il me fait d’être avec deux hommes, dans le même lit et en même temps.

Je rêve de cette situation depuis quelques années et tu es là,… choisi par moi, ….. pour ce moment que je veux exceptionnel.

Je vais t’offrir mon intimité la plus totale, un moment de plaisirs charnels que j’exige vigoureux et passionné, je te veux dur et endurant, comme mon homme, tout le temps que je le déciderai et je veux que tu fasses tiennes les envies qui nourrissent les fantasmes que je veux assouvir.

Alors mon beau, es-tu prêt ?!


Partie 4

Je suis maintenant en feu, complètement libérée des derniers liens de la morale bien pensante qui m’ont été imposés depuis trop longtemps par une pression tant sociale que familiale. Ce soir je ne veux que mon plaisir, tout mon plaisir !

Toujours appuyée sur ces gros coussins soyeux, les jambes relevées, ma main sur ta tête je me délecte de ta langue parcourant mon entre cuisses, du clitoris à l’anus.
Je m’applique avec passion et avidité à gober et lécher la queue de mon homme qui ne perd pas une miette du spectacle que tu lui offres.

Puis, d’un geste, je relève ta tête par les cheveux, et te fais te redresser.

Tu as compris. Sans un mot, tes yeux dans mes yeux tu gaines ton sexe gonflé d’un préservatif puis tu t’approches de moi.
Tu te penches sur mon corps, tes lèvres prennent le temps d'embrasser mes seins et mordiller mes tétons maintenant très sensibles et tendus.
Ton ventre s’approche du mien, je glisse ma main vers ta queue, la prends fermement et la présente délicatement devant ma grotte ruisselante de mon miel mélangé à ta salive.

Je suis plutôt étroite et j’appréhendes un peu ce moment ; je guide ainsi ton geste en appliquant ton gland juste à l’entrée de ma petite chatte, tout contre mes lèvres.

Lentement, tu pousses délicatement en faisant onduler tes reins. Tu m’ouvres et m’écartes doucement. Nerveusement je me mords les lèvres. Ta queue me pénètre millimètre par millimètre, …..  une pause,…… j’halète puissamment et ne peux retenir de légers gémissements mélange d’appréhension, de plaisir et surtout d’envie.
Ça y est ! tu es en moi, ton énorme gland à entièrement disparu entre les lèvres de ma minette mais ta longue tige reste encore à venir, mon Dieu qu'elle est longue et veinée !

« Avec une telle queue, il va me littéralement me ramoner la chatte ce cochon là, me dis-je »

J’inspire longuement, je ferme les yeux pour mieux me concentrer et maitriser mon corps frissonnant. Je pose une main sur ton dos, l’autre sur tes fesses que je serre avec nervosité, mes ongles tracent des sillons sur ta peau blanche ivoire.

Je bascule encore un peu mon bassin pour t’aider à glisser en moi. J’appui ma tête contre ton cou et tu me pénètres ainsi lentement et totalement.

Je gémis et pousse de petits cris étouffés, ma respiration est haletante, puis, soudain je me cabre brutalement et pousse un râle, presque un cris, profond et long,……par un dernier coup de reins, lent et puissant tu es rentré tout entier en moi, je sens ta queue palpitante ; ton gland proéminent est calé au fond de mon vagin, il a exploré et écarté des zones encore vierges à ce jour…. Je me sens totalement possédée, quelle divine sensation. Des contractions nerveuses de mon bas ventre enserrent ton sexe par des spasmes régulières comme si mon intimité elle même appelait à ce coït.

Mon homme nous regarde tout en me caressant et pinçant les seins, je sais qu’il ne veut que mon plaisir et que ma volonté s’accomplisse.

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Par le

Je rêve, et quand je rêve mes envies sont exacerbées. Je ne me contrôle plus et mes barrières tombent. J''ai rêvé cette nuit, un rêve dont généralement on tait les mots... Le rouge nous monte aux joues, et le souffle devient court quand on ressasse ces souvenirs. (Peut-être qu'un jour j'écrirais ce que je peux vivre lors de mes rêves érotiques...)

Mais... J'ai rêvé de plaisir, de lâché prise et d'un fantasme... Et puis je me réveil, la tête embrumée par des pensées sensuelles, voir coquine une matinée pluvieuse et brumeuse, un levé doucereux à côté de l'homme que j'aime. Un baisé sur le front et on se lève. Mon corps nue et encore endoloris de la nuit frissonne. Je passe un t-shirt qui n'est surement pas à moi et certainement trop grand, mais il sent son parfum. La fraicheur du tissu me saisit, vite je vais me préparer un thé et tout de suite sous mon doux plaid.

La préparation du thé fut rapide, il faisait vraiment trop froid pour rester longtemps sans une bonne couette. Je me retrouve sous le plaid assise dans le canapé, je me réchauffe avec mon thé, la maison est silencieuse, il est tôt. Mes pensées vagabondent, je me retrouve a laisser mon esprit apprécier les frottements des tissus contre ma peau, effectivement je ne porte qu'un t-shirt trop grand pour moi mais rien d'autres, mes fesses contre le tissus du canapé, mes jambes sous le plaid et ma poitrine dans un t-shirt trop grand. A chaque mouvement c'est une caresse, une sensation et un frisson, je ne sais pourquoi mais le désir d'accentuer un peu ces frottements ce fait ressentir, je me sens me replacer et bouger pour augmenter l'amplitude de mes mouvements. Le t-shirt glisse sur le bout de mes tétons que le froid fait apparaitre vraiment dure (peut-être l'excitation de ce moment d'intimité aussi), je sens le tissus du vêtement monter et descendre en frottant sur mes mamelons au rythme de ma respiration Je fais bouger le plaid avec mes mains pour en ressentir la caresse le long de mes jambes, ce frisson montant jusqu'à mon bas ventre m'aide à explorer ce que je suis en train de faire...

Je me frotte contre le canapé... Mon intimité caresse le tissus du canapé au rythme de mes vas et viens, mon bassin bouge avec l'aide de mes mains et du plaid. C'est un ensemble de sensation pure. Un plaisir montant et latent qui dessine les contours d'une montagne. Ca monte, ça descend ça remonte plus fort encore, mon souffle s'accélérer, mon envie grandi, mes tétons pointent très fort... ils me font presque mal car le plaisir qui m'envahit est puissant... Je me sens couler de plaisir sur le canapé. Ca ce verra ? Tant pis, on verra ca  plus tard. Actuellement mon esprit est ailleurs. Il est concentré sur mes lèvres frottant contre le tissus, je me sens m'ouvrir et me fermer, je sens le plaisir couler et mon liquide ce répandre sur le canapé et contre moi. Mes mains remontent le long de mon corps. comme si elles avaient leurs propres pensées pour venir prendre à pleine main ma grosse et lourde poitrine pour la presser.. je me sens monter de plus en plus.

Mon esprit s'envole, le plaisir est au sommet. Un voile blanc envahit ma tête et embrume mon esprit, un gémissement incontrôlable vient perturber le silence de la maison, je jouis. Je jouis une fois, mes doigts viennent à la rencontre de mon intimité, mon corps se contracte, mes doigts me pénètre, je veux me sentir moi-même au fond de moi, mon autre main caresse l'ensemble de mon corps chaud et nue sur le canapé, le plaid n'est plus qu'un lointain souvenir ainsi que le froid de la maison... Une envie déroutante ce fait ressentir, quelque chose que je n'ai jamais faits... Je veux me gouter. Je fais aller et venir mes doigts en moi, presque fébrilement je fais descendre mon autre main jusqu'à mon objet de plaisir, je me caresse à deux mains. Je sens mes doigts s'humidifier de mon intimité... Est-ce que je le fais ? La réponse ne se fit pas attendre le désir était trop puissant, je VEUX le faire ! Je pose mes doigts contre ma langue, mon gout m'envahit le palais un gout de plaisir, de passion et de jouissance, je me sens monter rien qu'avec ces sensations la... Je continue, mes mains vont et viennent de ma bouche à mon sexe Je me goute encore et encore, c'est trop bon... le jouis encore une fois. Le même voile blanc, le même gémissement, mais des frissons me parcours intégralité du corps, mes tétons n'ont jamais été aussi dure, mon bassins ce contracte sans que je ne puisse rien y faire, je me sens m'ouvrir et me refermer, je tremble, je vibre... Un orgasme onirique... Jamais eu un orgasme de cet ampleur juste en me caressant...

C'est un plaisir différents de ce que j'ai connus lors de plaisir solitaire. C'était jusste fou. Peut-être que le fantasme de mon rêve ma pousser à aller jusque-là... je n'en sais rien... Mais je veux le refaire, mais la prochaine fois je souhaiterais que mon homme me regarde le faire. Peut-être que d'autres femmes ce sont laissées séduire par ce genre d'envie que l'on trouve folle sur le moment mais qui au final s'avère être une expérience inoubliable ? Je l'espère...

Melysandre

Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com :  Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Du rêve à l'onanisme

Par le

je vous partage ici, une histoire, une voissa histoire plutôt, l'histoire d'une rencontre virtuelle d'abord puis de cette folie qui nous embarque dans une folle aventure dont seule la vie à le secret.

Dans cette histoire, il y aura trois aventuriers:  La déessirable Praline, le plus chou: Chou et Pralinio qui n'est d'autre que moi get--lucky rebaptisé pour l'occasion.

Notre histoire commence à la fin de l'été 2020. Une petite nouvelle qui arrive sur voissa, il y a quelques très belles photos d'elle, un message disant qu'elle cherche une femme pour elle et son amant. Je me mets à douter, celà ressemble à un faux profil. Je suis tout de même attiré et je laisse quelques mots doux. je réponds à un de ces posts sur le mensonge, l'infidélité, son questionnement par rapport à sa présence sur voissa, moi qui me suis toujours refusé à toute aventure extraconjugale, je lui réponds avec humour loin de me douter à cet instant de l'histoire qui va suivre.

Quelques jours plus tard et une demande d'ami envoyée, nous échangeons les premiers mots et les premières photos sur le tchat : Et oui, il fonctionne bien parfois. Je découvre une femme intelligente, sexy, coquine: décidement, elle me plait. C'est une perle rare assurément.

Nos échanges s'intensifient, ma présence sur Voissa aussi. On se découvre petit a petit et il y a quelque chose qui nous surprend, qui nous dépasse. Nos vies en parrallèle, notre cheminement,  nos expériences similaires. J'ai toujours pris Voissa comme un jeu et j'ai découvert des personnes formidables, des amies de passage souvent, mais là, il y a quelques chose de différent qui bouleverse mes certitudes avec elle. Comment définir cette relation, cette attirance. C'est elle qui touvera le mot juste, nous serons des amis intimes. A vrai dire, c'est ce type de relation que j'espérais trouver sur voissa, je n'y croyais plus et là, la réalité dépasse mes attentes.

Nous savons depuis le début qu'une rencontre est exclue entre nous. La distance est un obstacle qui parait insurmontable, près de 500kms nous séparent et nous sommes en couple tous les deux.

Un jour, une idée germe dans ma tête, et s'il y avait des vols lowcost entre nos deux villes et que je pouvais faire un aller retour dans la journée !

Je cherche et je trouve mon bonheur, la proposition est faite et il ne reste plus qu'a caler une date. Nous sommes fin octobre l'épidémie de Covid reprend et nous oblige à reporter notre projet. Les semaines passent. Entre temps, une relation brûlante s'est établie entre Praline et Chou, un voissanaute lui aussi, qu'elle a connu à peu près au même moment que moi. Ils ont la chance d'être l'un au près de l'autre et de se voir souvent.

Les mois passent, sans qu'il soit possible de prévoir le moindre voyage, les avions s'annulent, les rêves aussi.
Une tentative en février est lancée mais nouveau revers avec les avions annulés le jour où je devais faire la réservation.
En attendant, nous partageons notre vie intime, les récits de nos ébats, nos envies, nos rêves, nos doutes, nos secrets. J'ai même écrit le scénario de notre rencontre, une rencontre à visage masqué puisque nous avons voulu entretenir ce secret jusque là.

Entre temps, j'ai fait une proposition à Praline, je sais qu'elle en rêve : Elle aura deux hommes pour elle.

La date se fixe enfin, en combinant les rares vols d'avions, j'ai réussi à caler une journée, ce sera un lundi d'avril avec 2 compagnies différentes, une pour le vol aller et une autre pour le vol retour.  je réserve mes billets et la chambre d'hôtel pour la journée.  C'est fait, plus de retour en arrière possible. Je vais faire une folie:  Traverser la France, pour la rejoindre, pour les rejoindre. Je prends des risques incensés, je le sais, mais l'envie de vivre est plus forte que tout. Il y a, à cette même période, une série qui passe sur TF1, un homme avec une double vie qui disparait un matin, il laisse sa famille dans l'interrogation et le désaroi, j'y pense s'il m'arrivait quelque chose, je ne suis pas très fière de moi mais la vie m'entraine ailleurs et le courant est trop fort, alors je me laisse porter.

Un confinement est encore annoncé, c'est la douche froide, devons nous annuler?
Je reste attentif au maintien des vols, ils sont maintenus pour le moment, nous seront fixés que 48 heures avant.
Je suis attendu. Je le sais. Chou est impatient lui aussi, je discute avec lui depuis quelques temps. Notre seule mission est de rendre Praline folle de jouissance. Nous voulons lui donner du plaisir comme jamais. Ce sera pour elle et moi, notre premier trio. Nous avons convenu avec Praline de se retrouver d'abord tous les deux pour avoir notre moment d'intimité, se découvrir, s'apprivoiser, puis Chou nous rejoindra. le compte à rebours est lancé.

J'ai posé une journée de congé et inventé un déplacement pro. Le lundi matin, je pars vers 4h de chez moi pour rejoindre l'aéroport. J'arrive en avance, je peux encore renoncer, tout arrêter là, mais à ce moment là, cette idée ne me traverse même pas l'esprit. L'avion décolle à l'heure à 6h30.

L'avion se pose à 8h sur le tarmac de l'aéroport de ma destination, je suis le dernier à quitté l'avion, l'hôtesse me souhaite une bonne journée, je souris sous mon masque, si elle savait la journée que je m'apprête à vivre.

En arrivant, j'ai reçu une photo de Praline, avec son emplacement de parking, A moi de la trouver, le jeu est lancé. La tension monte.

Je me presse dans les nombreux couloirs de l'aéroport en suivant les panneaux "sortie", un petit passage par les toilettes pour enlever mon boxer et ne garder que mon jean et je sors pour la rejoindre. Dans le plan initial, nous devions nous retrouver un vendredi, et en bon voissaunaute, il était important de respecter le VSC. Je trouve le parking, assenceur hs, je monte les 4 étages à pied et arrivé en haut  : personne, le parking est vide. Mon teléphone sonne, elle me dit qu'elle me voit. Et oui, elle est loin, très loin, on se voit à travers les parkings complètement vident. J'aperçois au loin sa silhouette qui me fait signe. Zut, je ne suis pas sur le bon parking. Je rejoins l'autre bâtiment en prenant cette fois un assenceur qui fonctionne. Le parking est aussi désert, une seule voiture m'attend. C'est une vision un peu surréaliste comme on peux en voir dans les films mais là c'est bien la réalité.

Elle est là debout, à coté de sa voiture, la portière conducteur ouverte, elle m'attends, je la perçois tremblante. Je la découvre enfin en chair et en os,  pour la première fois. Elle est belle. Je suis encore loin, je frissonne, mon coeur s'accélère, je presse le pas. Et enfin 10m, j'ote mon masque, 5 m, 2m. Je l'ai tellement imaginé ce moment, que même le timide que je suis n'a aucune hésitation.
Je pose mon sac, on se sourit, juste un bonjour, je la serre dans mes bras et nous nous embrassons, des bisous "sourire". Nous sommes heureux, le monde n'existe plus autour de nous, il n'y a que nous. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés ainsi. Je découvre sa taille si fine, ses petites fesses que je caresse en glissant mes mains sous sa robe, elle est belle si belle.

Et puis hop, en voiture, direction l'hôtel. Je remarque en m'assayant dans sa voiture que j'ai une grosse bosse dans mon pantalon que j'essaie de dissimuler avec ma chemise.
Nous échageons beaucoup de regards sur le trajet, c'est tellement improbable comme rencontre que nous n'y croyons pas.

Nous nous arrêtons à une boulangerie pour nous prendre un petit déjeuner à emporter puis direction l'hôtel. Un bel hôtel près de l'aéroport pour y passer la journée.

A peine arrivé dans la chambre, nous nous enlaceons et nous nous embrassons. Elle s'éloigne un peu de moi pour faire sa belle comme je lui disais parfois quand nous nous racontions nos ébats. Là, j'ai comme un trou de mémoire, il me semble que je l'ai prise dans mes bras et que je l'ai basculée sur le lit. je l'ai déshabillée doucement découvrant son corps si joli. j'ai baissé la fermeture de sa robe. Je l'ai fait glisser le long de son corps et la robe s'est échouée quelques part au pied du lit découvrant ainsi son corps de rêve sublimé par une jolie lingerie, un corset en dentelle noire, des bas et une culotte très échancrée. Ses dessous étaient ceux qui m'avait séduit sur une des premières photos que j'avais reçue d'elle. En écrivant ce récit, il me reviens quelques images:  Sa culotte enfilée sous les portes jarretelles, pas pratique ça. Cette culotte s'enfuit assez vite aussi pour valdinguer au pied du lit. Ma bouche, mes mains qui découvre mon cadeau, elle est mince, sa peau est douce, dieu qu'elle est belle. je m'empresse de goûter son corps, son cou, son ventre, son sexe, ses seins, sa bouche. je me régale d'elle. j'entend ses soupirs, elle est très sensible, très réactive à toutes mes attentions.

Je me remets debout, j'enlève mes chausures et mes chaussettes, j'avais une chemisette avec des pressions. Elle s'est fait un plaisir de me l'ouvrir d'un seul coup comme si elle me l'arrachait.  Puis,  ses mains sur mon corps, un bouton de mon pantalon qui saute puis un second, sa main qui s'immisce pour chercher mon sexe. Elle l'attrappe, elle le sort, et viens le gouter. En écrivant ces mots, je sens encore la douceur suave de ses lèvres et de sa langue. Puis, nous basculons sur le lit, nos corps se mélangent, une étreinte passionnée, intense, fluide. Nos bouches qui se cherchent, nos langues qui se mélangent, mes baisers sur tout son corps. J'embrasse ses seins, ces merveilleux jolis seins, ses tétons sont tendus, mes lèvres les serrent, ma langue les caresse, mes dents les mordillent, ma bouche les aspire. Ma bouche descend lentement le long de son corps et rejoint son intimité, ma langue sur son écrin, moi attentif à ses réactions, son corps qui se tend, que se cambre, son regard perdu qui me me fixe, sa jouissance qui résonne dans la chambre. Mes doigts se joignent aussi à la fête pour lui donner encore plus de plaisir. Il me semble l'avoir envoyée en apesanteur. Le jeu se calme un peu, elle revient avec moi.
je m'allonge sur le dos, elle vient me caresser avec ses cheveux longs, sa bouche parcourt mon ventre, puis sa langue vient caresser mon sexe, je vais avoir une pipe façon Praline. Je caresse ses cheveux pour les écarter et profiter du spectacle qu'elle m'offre et aussi croiser son regard brulant, espiègle et coquin.
Ce moment je le savours, il est extraordinaire.
Elle vient ensuite me chevaucher, nos sexes se rencontrent enfin.

Il est temps d'habiller le monsieur maintenant. Là, j'ai un peu merdouillé, je n'avais pas ouvert le paquet de capotes avant et dans le feu de l'action avec le cerveau anesthésié par l'excitation, c'est aussi facile d'enlever ce p..... de film plastique que de percer un coffre fort. Après quelques grognements et coups dents, je parviens à saisir une capote. Un petit coup de réanimation et c'est reparti. Monsieur est habillé.
Elle m'attend sur le lit, je m'approche, j'appuie mon sexe sur le sien et je le penètre doucement mais complètement.

Elle se cambre, mes va et vient s'accélèrent, nos regards sont fixes, accrochés l'un à l'autre. Elle vient sur moi ensuite, elle s'accroupie et s'empale sur mon sexe épais et dressé. Je cambre mes reins en rythme avec à chaque fois un claquement sec de nos corps qui se rencontrent. Ses cris de plaisir résonnent dans la chambre.

Là j'ai un blanc. il me manque un morceau.

On se retrouve dans la salle de bains, Praline est devant moi, je me blotti contre elle, contre ses fesses, je caresse ses seins. J'observe notre reflet dans le miroir.
Praline pose un pied sur le meuble du lavabo, elle se cambre, sa divine croupe s'offre a moi et je la pénètre dans cette position. Tout doucement d'abord, mon gland épais entrant et sortant juste de quelques centimètre, puis tout doucement j'augmente l'amplitude et la fréquence de mes mouvements, les cris de Praline m'encourage aussi, ainsi que ses mots quand résonne un "baise moi". Un encouragement qui m'incitent à accélerer le mouvement et continuer mes va et vient jusqu'à ce que le souffle me manque.

Là j'ai un autre blanc

Je suis alongé sur le lit sur le dos. Praline s'occupe de moi, des caresses avec ses mains, ses cheveux, sa bouche, sa langue sur mon sexe, elle me suce, me lèche, avec délice, sa main qui me branle en même temps. Je sais qu'elle veut ma jouissance, je le sais, je le lit dans ses yeux.
Je me laisse aller et je profite, mon plaisir est immense, je sens la jouissance arriver, je me retiens un peu plusieurs fois, et puis le feu du volcan brûlant en moi est trop puissant, c'est l'éruption, en même temps que mes rales de plaisir. Une jouissance jouissive. Praline me sourit, elle vient me faire un baiser sur mon sexe encore palpitant.

Un petit passage par la douche et je reviens sur le lit. Nous discutons un peu comme de vieux amis. Nous prenons notre café froid et les vienoineries que j'avais prises à la boulangerie tout à l'heure.

Comme je vous l'ai déjà dit Praline a aussi amant habituel, Chou. Il était convenu qu'il nous rejoigne, c'est moi qui lui avait proposé, je savais qu'elle en avait envie, c'était un de ses fanstasmes.
Praline me quitte quelques instants et descend lui laisser une carte d'accès à la chambre, sans doute coincée sous l'essui glace de sa voiture. Elle en profite pour fumer une cigarette et lui passer un petit coup de fil. Nous avions convenu que Chou nous rejoigne en fin de matinée et qu'il entre dans la chambre sans nous prévenir et qu'il nous surprenne: "ciel mon amant".

Elle revient vite, j'en ai profité pour me reposer un petit peu. la nuit avait été courte et le sommeil peu présent en raison de mon excitation. Elle s'assoit sur le lit, je défais la fermeture de sa robe qui laisse apparaitre son dos sublissime. je prends une petit photo souvenir.

Au début de nos échanges, je lui avais raconté une soirée passée avec ma femme
lors de laquelle je lui avait bandé les yeux et caressé le corps avec un petit plumeau. Ce récit l'avait fait frissonée, c'était un de nos premiers bons moments passé ensemble, et cette plume était devenu une sorte de fantasme et de symbole, en même temps, de notre rencontre.

Praline avait emmené quelques accessoires dont un petit plumeau. Nous nous amusons ainsi à nous caresser dans un doux moment de frémissement, de tendresse et de sensualité. Très vite, mes doigts et ma bouche rejoignent son intimité pour l'emmener encore en apesanteur, en orbite pour faire plusieurs fois le tour de la terre.

Pour nous rafraichir un peu, nous décidons d'aller à la douche. L'eau ruisselant sur nos corps, nos mains se caressant, nos bouches s'embrassant, profitant l'un après l'autre de nos corps, nos corps se frottant, ma bouche suçant ses seins, sa bouche suçant mon sexe, mes mains caressant tout son corps et s'immiscant dans son intimité, Praline gémissant de plaisir.

C'est à ce moment là, que j'ai entendu la porte s'entrouvir. Elle était de dos.
Chou avait une vue directe sur la douche,il nous a regardé quelques instants par la porte entrouverte puis il est entré, et il nous a rapidement rejoint sous la douche. Chacun d'un coté de Praline, nos quatre mains sur son corps, nos deux bouches, chacune sur un de ses seins. Ma main caressant son intimité, j'ai perçu son plaisir immense quand sa mélodie orgasmique s'est intensifiée et que j'ai sentis sa jouissance lorsqu'un liquide bien chaud s'est mis à couler sur ma main.

Praline et Chou sortent de la douche en premier, je me dépêche de les rejoindre. quand j'arrive dans la chambre Chou est derrière Praline près pour une levrette. Je me place devant Praline. Praline saisit mon membre pour le sucer, pendant que Chou commence ses va et vient.
Je pose alors mes mains sur les épaules de Praline et c'est moi qui impose désormais le rythme à Praline et Chou. Je me régale de leur plaisir et j'avoue que j'y trouve un malin plaisir. j'accélère le rythme et la force de mes mouvements sur les épaules de Praline. Sa croupe sublime obéit à mon rythme, ce n'est pas Chou qui prend Praline, mais Praline qui prend Chou.
Et Praline, elle a pris Chou, c'était un lundi tan tan tan.
Les rales de Chou et les gémissements de Praline m'incitent à continuer jusqu'à ce qu'ils jouissent puissament et de concert.

Un petit temps calme en tendre après ce moment. Nos caresses en duo sur Praline.
Son petit plug qui sort du sac et que je place délicatement avec lequel je joue un peu en me régalant.

Nous partons ensuite déjeuner, un petit pique-nique dans l'herbe comme 3 bons amis le feraient.

La suite de l'après midi n'a été que douceur sensualité et jouissance. Nous sommes tous les deux des hommes très doux. Elle était comblée je crois.

Au moment de se quitter, nous sommes tous les trois sur le parking de l'hôtel, un peu plus loin, il y a un utilitaire de chantier avec trois hommes à bord. ils nous regardent, ils ont une vue directe sur nous.

J'embrasse Praline en premier, puis c'est au tour de Chou de l'étreindre et de l'embrasser. Nous parlons encore un peu puis j'embrasse Praline de nouveau.

Quand je me retourne vers le fougon, je vois leurs yeux et leurs airs ébahis. Et puis, je monte dans la voiture de Chou, il est convenu que c'est lui qui me dépose à l'aéroport. Nous partons tous les deux.

Praline nous dira aussi qu'elle a eu droit à des regards appuyés quand elle est passé à coté d'eux en partant avec sa voiture. Il est certain que cette petite scène aura alimenté leur conversation du soir autour d'une bière. Nous, nous avons bien rit.

Le soir, j'ai repris l'avion, tout bien compartimenté dans ma tête, j'étais un autre homme, j'avais commis un adultère. Mais, j'étais heureux, très heureux sans regret ni remord et aussi content de retrouver les miens à la maison.  

Je suis resté sur mon petit nuage plusieurs jours. j'y suis retourné plusieurs fois dans cette chambre d'hôtel en écrivant cette histoire, cette voissa histoire où tous les mots ne sont que réalité ou ce rêve plutôt ou bien encore cette merveilleuse parenthèse enchanteresse.

Merci Praline, merci Chou.

Pralinio.

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