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Le matin, il m’avait dit : « Ce soir, 19 heures, dîner à la maison, tenue publique ». Bien sur, j'avais acquiescé. Avais-je le choix?

Tenue publique fait partie du vocable du contrat :  Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins noirs. Evidemment, aucun sous vêtement sauf ordre contraire.J’ai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure.

Le dress code » tenue publique » me laisse quelques options, jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons… Dîner à la maison: Je pourrais peut être me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. J’hésite… Et me ravise. La consigne est simple et ne laisse aucune place à l’improvisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique.
Tout en m'habillant, mon esprit vagabonde. Dans quoi étais-je embarquée? Quelle imbécile ! La vie aurait pu continuer à être simple et agréable. Pas de gros moyens, mais beaucoup de temps libre. Alors pourquoi cette bêtise, il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans d’amour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Qu’est ce qui m’a pris !

De l’abattement, il était passé à la colère, puis aux décisions : séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, c’est déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, j’avais tenté de relativiser, de faire peser ces sept années sans accroc. Sans aucun succès.

Il est 19 heures. C’est l’heure, je descends.

Comme à chaque fois, un sentiment m’envahit. L’appréhension : je n’ai aucune idée de ce qui va se passer.
J’ai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles, je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus. Mon Dieu, qui aurait dit que j’étais capable de faire ça ! Deux heures par semaine d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre.

Je suis en bas, je traverse l’entrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il m’accueille.
« Tu es très belle ma chérie ».
« Merci » (ça fait toujours chaud au cœur de l’entendre quand cela vient de l’homme qu’on aime)
« Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu le sais »
Oh, oui je sais : séparation, vente, divorce. Pour une marche arrière, c'en est une. Mais bon, je m’y étais mise toute seule dans cette situation.
Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique de relaxation, il m’est arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui !  Ça y est je l’ai dit. Bon, c’est compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination qu’il exerce sur moi me dégoute. Mais…cette attention qu’il me porte pendant les séances pour que je n’ai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, m'ont fait revoir mes aprioris.
« Je suis prête » Je respire profondément.
Au rez de chaussée, l’entrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusqu’à huit convives. Trois fenêtres s’ouvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse.  Il s’assoit.
« Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! »
Depuis un mois, même à raison d’une fois par semaine, j’ai eu le temps de les apprendre ces positions.
Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, j’écarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées.
« Oui monsieur ! »
Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qu’a sa voix, aux ordres qu’il me donne, et à la façon d’obéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà. Ça y est, ça commence : En relevant les bras pour mettre mes mains sur la tête, j’ai fait ressortir ma poitrine et j’ai senti le tissu glisser sur la pointe de mes seins. Pas assez pour m’emmener au septième ciel, bien sûr, mais j’ai l’impression que mes tétons ont commencé à durcir et  je sais que c’est précisément l’endroit de mon corps qu’il observe. Cette fois ci, c’est sûr, malgré moi, mes tétons pointent à travers le tissu. Quelle Chienne !
Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A l’occasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que j’ai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : c’est fini ! Il ne m’aime plus du tout et même, il me déteste pour m’insulter de la sorte. J’ai vécu l’enfer pendant toute la première séance, persuadée que c’était la fin de notre amour.
« Bois un verre d’eau ! »  Ah ?  Bon !
« Oui Monsieur ! »
Le verre est là, sur la table. Il l’avait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je n’avais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre d’eau ne m’a pas fait de mal.
« Place toi devant la fenêtre, ouvre les rideaux et retrousse ta jupe pour que je puisse voir tes fesses ! »
« Oui Monsieur »
J’avance vers la fenêtre, je tire les voilages d'un côté puis Je relève le pan arrière de ma jupe et le bloque sous la ceinture pour bien dégager les fesses. Je remets les mains sur la tête.
Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour.  Je sais que je suis visible de l’extérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce qu’il a de plus correct. Quand même, s’il y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position.
Ah Oui! Toujours le contrat : j’ai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute. C’est comme ça, j’ai signé. Et je ne dois pas manquer une occasion de le dire. A voix haute en privé, à voix basse en public. C’est le contrat. Alors j'y vais de la petite phrase:
« Je suis une bonne petite pute ».
Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à l’air. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant d’air me rappelle que je ne porte pas de culotte.
D’ordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue « érotique ». C’est même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donne plus de tracas que de plaisir. Je m’oblige à porter un soutient gorge alors que je n’en ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce qu’il le faut, donc je mets un vieux machin.
Je suis tentée de relever les yeux pour voir s’il y a des passants, mais je m'abstiens. Pour que cela fonctionne je sais qu’il faut que je respecte les ordres et que je me concentre dessus. Alors, voyons :

  • Il m’expose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas.  Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons.
  • Il m’a fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et j’écarte un peu plus les jambes. Je sais qu’il apprécie quand je fais du zèle. S’il s’assoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte.

Que fait-il ? J’entends des bruits de cuisine, le tintement de verres. C’est un apéritif qu’il prépare ? Apparemment puisqu’il découpé des tranches de….
Ah ?... Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne.
D’ordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens l’air circuler sur chaque millimètre de mon entre jambe mais surtout, je sais que mon homme n’en rate pas une miette et que surement, je le fais bander.
Aaaah! …Faire bander les mecs !
Evidemment, pour une femme, c’est plutôt flatteur ! Quelque part cela veut juste dire qu’ils te trouvent désirable. Sauf que : si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu n’es plus « désirable » tu es une allumeuse. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, c’est très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser le sexe, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça n’est pas pour plaire aux mecs, non !... C’est parce que c’est plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment s’y retrouver ?
Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre qu’il a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait.
Le mois dernier, pendant les trois premières séances, il m’a fait apprendre :
Les 5 positions.
La façon de m’habiller, de m’asseoir, de faire pipi.
Les réflexes de langage que je devais adopter.
Le tout avec des différences selon que l’on est en public ou en privé.
Il a aussi ajouté des options sur la grille adjointe au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur : « J’accepte », mais au fil des séances j’avais modifié :

Port de pinces sur les seins   :    J’accepte X    Ca m’excite
Port de pinces sur la chatte  :    J’accepte   Ca m’excite X
Port d’un rosebud       :    J’accepte X Ca m’excite
Claques sur les seins    :    J’accepte X Ca m’excite
Claques sur les fesses      :    J’accepte     Ca m’excite X
Claques sur la chatte :    J’accepte     Ca m’excite X
La grille s’était étoffée au fil des semaines :

Martinet sur les seins     :    J’accepte X Ca m’excite
Martinet sur les fesses   :    J’accepte     Ca m’excite X
Martinet sur la chatte    :    J’accepte X Ca m’excite
Port d’un collier de chien :    J’accepte X Ca m’excite
Être promenée en laisse    :    J’accepte X Ca m’excite
Boire dans une gamelle     :    J’accepte X Ca m’excite

Une nouvelle rubrique « exhibition », était apparue cette semaine.

Être nue devant un inconnu :    J’accepte X Ca m’excite
Séance devant un inconnu    :   J’accepte X Ca m’excite

Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si j’avais pu, j’aurais tout de suite cocher « Je n’accepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et c’était hors de question. J’avais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et j’étais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à l’air à attendre la suite.
Entre deux séances, j’ai le droit de demander à modifier la grille mais de toutes façons, en dernière instance, c’est lui qui décide.
Le collier par exemple, c’était un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation d’étranglement. J’avais demandé à en changer. J’espère que…
Toc  Toc  Toc !   Je sursaute.
Tout s’entrechoque dans ma tête : Si quelqu’un est arrivé jusqu'à la porte d’entrée, c’est qu’il est passé devant la fenêtre et qu’il m’a forcément vue, les mains sur la tête et les seins en avant. De là où il est maintenant, la porte d’entrée étant vitrée, si celle de la salle à manger est restée ouverte, il a vue sur mes fesses. Mon mari : d’accord mais un inconnu, c’est autre chose. Je lutte pour ne pas m’échapper. Les secondes sont des heures.
« Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf !
Je rajuste ma jupe, me retourne, Il est déjà dans l’entrée. Je n’ai pas entendu la porte intermédiaire s’ouvrir. Aie ! Ou alors, la porte était restée entr’ouverte et il n’a eu qu’à la pousser pour rejoindre l’entrée. Impossible de savoir.
Je suis dos à la fenêtre. Position n°3 c’est la position d’attente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite d’avoir choisi le chemisier opaque.
Mon mari ouvre la porte: « Entre Laurent !  Juste à l’heure »
« Woua ! Quelle vue ! » s'exclame le nouvel arrivant.
Le sang me monte à la tête. Est-ce qu’il parle de mes fesses ?
« Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage »
Ouf! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu l’habiter en attendant de régler notre histoire. Devant les fenêtres, un peu de pelouse, la rue et un peu plus loin,  la mer.
La voix de mon chéri:
« Tu permets ? Jai un mot à dire à ma femme »
Il revient vers moi. Je pourrais voir relever les yeux et essayer de lire sur le  visage de Laurent s’il ne m’a pas vu à moitié nue. Je lutte.
« Va faire un tour jusqu‘à la plage, garde la position et marche doucement ! »
Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà n’était pas fermé jusqu’au col. Ce bouton en moins c’est déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par l’encolure et si je …. Qu’est-ce que ?  Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait d’avoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge jusqu’au nombril. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui m’a peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui, c’est vrai ! C’est le but. Il va falloir que je m’interroge sur la définition de ce mot : Salope. Dans certains cas c’est une insulte, dans d’autre c’est un compliment….  Compliqué. Mais ça n’est pas le moment. Jai reçu un ordre, j’obéi, c’est simple.
« Oui Monsieur »
Toujours les yeux baissés, je passe devant Laurent qui s’efface. J’ai l’impression de sentir le feu sur mes seins. Je sors et contourne la maison.
Aie! Ma gorge se serre en constatant que de l'autre côté de la rue, le terrain vague qui descend vers la plage n'est pas désert: Des véliplanchistes utilisent l'espace pour démonter leur matériel.
Je comprends maintenant la rubrique "exhibition".
Le savait-il que je devrai passer devant au moins trois inconnus ? Bien sûr que oui ! Il avait vu, lui, par les fenêtres, que le terrain d'en face était occupé . Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il m’avait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère et il m'avait donné l'ordre d'y aller.
Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage d’amour et c’est de ma faute s’il en a tant besoin. Il ne cherche pas à m’avilir mais il adore me mettre dans ces situations embarrassantes, m’exhiber, comme on expose un beau bibelot chez soi et qu’on est fier de montrer. Je sais qu’il me trouve belle alors je veux qu’il soit fier de moi. Donc, j’y vais.
Je traverse la rue et très vite je me retrouve en prise avec les courants d’air qui s’ingénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens l’arrière de ma jupe se soulever jusqu’à la taille puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presqu’à nu mon sein gauche.
Je lutte pour ne pas replier les bras sur ma poitrine, retenir la jupe qui s’envole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute.

Malgré mes yeux baissés, je sens les regards des planchistes qui m'ont, bien sur, repérée dès mon arrivée. Ils semblaient pourtant avoir fort à faire avec leurs planches et leurs voiles mais avec ces courants d'air,  ils ont changé de centre d'intérêt
Je sens le rouge me monter au visage. Bon sang! Je me promène quasi les fesses à l'air !
« Marche doucement ! »  Avait-il dit.
Alors j'obéi: J'essaie d'adopter la démarche nonchalante de celle qui se promène tranquillement mais, bien sûr, cela ne trompe personne.  Les escarpins, le chemisier ouvert jusqu'au nombril, les bras croisés dans le dos: Ils ont vite compris que j'étais là pour tout autre chose, alors ils ne se privent pas de me mater sans aucune gêne.
En temps normal, je suis d’un naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue n’était pas fait pour m’exciter. Il y a un mois, j’aurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si c’est possible. Maintenant, c’est différent : Ça me fait peur, mais ça m’excite en même temps. J’ai vu des tas de femmes sur Uporn qui font bien pire pour faire plaisir à leurs maris et sûrement, se faire plaisir elles mêmes.
Mais qu’est-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. Je l’ai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes : Deux jours !
Deux jours à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui  m’attendait. On ne peut pas dire que j’ai été prise en traître.
J’arrive au bout du terrain vague, après c’est la plage. Je doute qu’il ait envie que j’aille plus loin puisqu’il ne me verrait plus. Je sais qu’il veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité.
Je respire profondément, je vide mon esprit etc… etc….. et je fais demi-tour.
Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe s’est plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont presque remis en place. J’ai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui continuaient à m'observer. Je commençais à me rasséréner mais c'était un peu trop tôt. En effet, dans ce sens là, c'était le devant de la jupe qui devenait fou et, sur tout le trajet; l'étoffe se soulevait et offrait la vue sur ma chatte parfaitement épilée.
Il est bien léger ce tissu  ! Je ne me souviens pas que... Ca y est, j'y suis! La doublure a été enlevée. Je sentais sans comprendre qu'il y avait quelque chose d'inhabituel dans ce vêtement. Mon mari a retiré la doublure pour le rendre plus léger. J'ai malgré moi un petit sourire attendri en l'imaginant s'affairer sur le vêtement en espérant atteindre ses objectifs. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est réussi! Au moindre courant d'air il s'envole.
J'ai, l'espace d'un instant, levé le regard vers un des planchistes. Il avait un petit sourire aux lèvres l'air de dire: " Alors, tu fais la pute pour ton mec? Ca te plait ? Ca fait mouiller ta petite chatte?"
J'ai honte et en même temps je suis assez fière d'être capable de le faire. Surtout, je sais que mon homme est aux anges alors je bombe le torse sur les derniers mètres qui me séparent de la maison.  Après tout ce ne sont que des inconnus et  je ne les reverrai sûrement jamais.
Je me demandais maintenant ce qui allait se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à l’heure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ?  Ça y’est ! Je recommence à me poser des questions. Ce n’est toujours pas le moment. J’ai été une bonne soumise, j’ai répondu aux ordres de mon homme, je n’ai pas triché, je n’ai pas levé les yeux, je n’ai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.

Je frappe à la porte. Ben oui !  Ça n’est pas chez moi, ni chez nous d’ailleurs. C’est une sorte de terrain neutre où ont lieu nos séances depuis un peu plus d’un mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. C’est pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît.
Il vient m’ouvrir :
« Viens nous rejoindre au salon ! »
«Oui Monsieur ! »
Je traverse l’entrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose qu’il me regarde, je ne sais pas, j’ai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon mari. Vite je revois le contrat dans ma tête.
En public, je dois m’asseoir en relevant discrètement l’arrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même l’assise. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand c’est possible, faire en sorte qu’il ait vue sur ma chatte.
Je cherche donc un siège qui fait face à mon chéri.
Comme par hasard, c'est un tabouret qui à été placé là. Un hasard? je ne pense pas! Avec un fauteuil, mes gestes auraient été dissimulés par les accoudoirs  mais avec un tabouret...  Pas moyen.
Je m'assieds et relève l’arrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regardait ailleurs, il n’y a vu que du feu.
Le cuir est un peu froid. Je ne risque pas d'oublier que je ne porte de culotte mais je suppose que c'est le but. Le devant de ma jupe est remonté sur mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. J’écarte un peu les jambes pour respecter le contrat. Toute à mon calcul, j’avais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelqu’un situé sur mon côté. Je sens de nouveau le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps et  les mains posées à plat sur les cuisses. Je ne cherche pas à cacher mes seins, c’est interdit.
Mon mari revient avec mon cocktail préféré qu’il pose devant moi.
« Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu t’es mis au tennis la semaine dernière ?» Raconte !
Laurent semble gêné :
« Oui ……mais… excuse moi, mais….. Tu ne m’as pas présenté ta femme. C’est bien ta femme… enfin,   c’est bizarre….. »
Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps d’avaler pour ne pas m’étouffer.
Mon chéri, très à l’aise :
« Qu’est ce qui est bizarre ? »
« Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a…. »
« Il y a quoi ? «
« Non rien, mais bon c’est bizarre … et puis elle ne dit rien »
« Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. »
Curieusement, j’ai envie de tout sauf ça. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci !
J'écarte un peu plus les jambes et je remonte le devant de ma jupe le plus haut possible pour signifier à mon homme que je suis prête à faire tout ce qu'il veut.
Laurent reprend :
« Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? C’est un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?»
Mon homme opine :« Oui si tu veux. C’est un jeu à connotation sexuelle. »
Il ressert son invité
« Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à l’avance, d’obéir à tous mes ordres. Sans discuter. »
Je ne vois pas Laurent mais je sais qu’il me regarde. Incrédule.
« Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et qu’elle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ».
Mon chéri ne relève même pas.
« C’est ça ! Tu veux voir une démonstration ? »
Un ordre fuse :  « Mets-toi debout. »
« Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule.
« A quatre pattes et viens vers moi !»
D'accord ! Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. D’ailleurs, un ami ? c’est curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit.
« Oui Monsieur ! »
Je suis une bonne soumise obéissante : je pose les genoux puis les mains au sol et j’avance lentement à quatre pattes vers lui. Je prie pour que ma jupe couvre bien mes fesses.  Laurent est maintenant juste derrière moi. N’importe quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je n’ai pas le droit. Si elle s’est mal repositionnée, j’offre actuellement une vue sur mes fesses et ma chatte à un parfait inconnu. Un peu comme tout à l'heure avec les planchiste sauf que là, je suis à quatre pattes et que surtout, il est à moins d'un mètre de moi. S'il tendait la main, il pourrait...
Bon sang! Me voilà maintenant à m'imaginer me faire pelotter par un mec dont je n'ai même pas vu le visage.  
Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme.C’est le moment décisif. Si Laurent s’offusque, tout se termine là, mais j'en doute. Effectivement, il s'ébahit:
« Oui Monsieur ?   Woua !!! ça a l’air trop cool »
Ah ! ces mecs, ils sont tellement prévisibles.
La voix de mon mari: « Tu veux essayer ? »
Tu parles Charles. Bien sûr qu’il veut essayer.
Il se lance :
« Euh… Met-toi debout et  Euh….Lève une jambe !»
« Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais qu’on en est qu’au début.
Mon homme intervient :
« Enlève ton haut. Position n°1 ! »
Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je n’oublie pas de dire, puisqu’il s’agit de mes seins :
« Je suis une petite chienne »

J’ai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous  cas, il ne dit mot.
C’est la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari n’a pas cessé de me dire que j’étais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, j’ai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, j’ai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, d’aucun dirait que ma poitrine manque d’opulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je n’ai nul besoin et que je ne porte plus que très rarement.
Mon mari reprend le contrôle : "Mets-toi en mode privé ! et position n°3 !»
« Oui Monsieur ! »
Purée ! Là c’est autre chose. Le mode privé c’est entièrement nue.
Les seins d’accord, parce-que bon:  Il n’y a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que j’ai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de l’épilation intégrale. Plus nue c’est impossible. Mais bon ! J’ai signé.
Au moment de déboutonner ma jupe, une vague de chaleur me monte au visage.
Je suis folle, je vais le faire. Je fais glisser la jupe jusqu’aux chevilles, puis je me penche, jambes tendues, pour ramasser le vêtement que je dépose sur un fauteuil. Ca y'est, je suis complètement nue.
Position 3 : les bras croisés derrière le dos.
Je reprends lentement ma respiration. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, j’offre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas s’en priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un bon moment pendant que les hommes discutent.
« Alors Laurent, qu’est-ce que tu en penses ? »
« Ben…Elle est super belle ! »
« C'est-à-dire ? »
Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux.
« Ben…moi j’aime les seins pas trop gros alors…et puis elle est entièrement épilée, on voit tout »
Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à m’échauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à l’entre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire qu’il a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais !
"Que veux-tu dire par on voit tout?"
Laurent s'explique: "Ben... Avant, le sexe d'une femme, c'était principalement une touffe de poils à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c'est la petite bosse du mont de Vénus puis la fente avec le renflement des deux grandes lèvres et même un peu des deux petites qui dépassent en dessous"
En effet, rien ne lui échappe et 'entendre donner des détails aussi précis me donne des frissons sur tout le corps. Et puis cette émotion dans sa voix. On jurerait qu'il parle d'une oeuvre d'art. C'en est touchant. J'ai presque envie qu'il se mette à parler de mon clito.
Mon homme enchaîne:  « Position n°2 ! »
Je ne sais pas si c’est le cocktail ou la situation, mais j’ai l’esprit un peu embrumé. Heureusement, j’ai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :

1 la tête. ( les mains sur la tête )
2 les seins. ( je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains )
3 le dos. ( bras croisés dans le dos )
4 la chatte. ( je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains )
5 les fesses. ( je me penche en avant et je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains )

Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y.
« Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces.
C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec des grelots. Quand je les porte, je les entends tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements, et quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon encore plus nette et j’adore ça. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur.
Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées.
« Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne ».
J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie.
« Position n° 4 ! »
Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte.  Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille.
Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte :
« Je suis une bonne petite salope »
Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt rentre facilement, je suis plus mouillée que je ne pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope.
Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est !  C’est les chutes du Niagara.
Quand il retire son doigt, il est trempé.
« Merci Monsieur »
« C'est bien ! Maintenant : finis ton cocktail »
« Oui Monsieur »
Il saisit mon verre sur la table basse et me donne à boire.
C'est le faire de boire tout en m'écartant les lèvres de mon sexe qui m'ont fait comprendre: Ca n'est pas le but de m’enivrer, il a une autre idée en tête.
Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte.
Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus :
« Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? »   
Mon homme explique :
« Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ».
« Et elle ? elle en a des fantasmes ? »
Elle y réfléchit
Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Etonnamment, ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit mâle Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes.
Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant d’hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque où le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer.
En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi.
Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ».
Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour m'emmener  à quatre pattes faire sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui.
Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans une gamelle pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. J’attends une pause dans la conversation et je dis :
« Je suis une petite pisseuse »
Laurent manque de s'étouffer avec un gâteau apéritif.
Mon homme doit sourire.
« Va chercher ta gamelle »
Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle j’ai mangé et bu pendant la troisième séance, je reviens et je m’installe debout devant mon homme.
« Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter »
Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses.
En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez et je m'apprêtais à me soulager comme la dernière des chiennes.
J'ai du mal à décontracter mes sphincters. Le regard des deux hommes est rivé sur ma chatte béante et c'est pour le moins embarrassant. Et si j'en mettais partout ? Je me rassure en me disant que le fait de bien séparer les lèvres avec les doigts devrait résoudre le problème.
J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues :  Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant ou on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même !
Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal.

Les hommes se taisent, captivés par le spectacle que je leur donne. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute.
Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne petite pisseuse » ensuite j’attends un ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous la chatte et les doigts mouillés de mon pipi.
Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter.
Au bout d'un moment: « Va ! »
Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent :
« Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? »
Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouse. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari.
J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon.
« Position n°5 ! »
Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4,   5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Mais tout à l’heure, pour faire ma pisseuse, il a souhaité que Laurent profite du spectacle, donc je me mets dos à eux deux, je me penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures.

Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente :
« Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? »
Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal :
« Oui moi aussi… Bla Bla ……   Bla Bla….. »  Et ce jusqu’à la porte , «  Bon ben  Salut » Le voilà parti.
Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses.
Et quand est-ce qu’il me baise ?..

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Par le

J’avais dit à Morgane que ce voyage professionnel à Brest serait l’occasion au retour de m’arrêter chez elle. Nous ne nous étions jamais rencontrés et ne nous nous connaissions que de par nos échanges sur un site libertin où il avait été essentiellement question que de notre passion commune pour le sexe. Nous nous étions virtuellement plu si cette expression a cependant un sens. J’avoue que ces photos en noir et blanc m’avait d’autant plus séduit qu’elle était d’un érotisme délicieusement subtil. C’est cependant à double tranchant car plus l’imagination travaille plus on peut être déçu par la réalité. Mais je faisais confiance à mon instinct. Il ne m’a jamais trompé. Restait donc à lui plaire pour espérer que nous partagions se sexe ensemble car c’était bien là le but. J’avais bien tort de m’interroger autant...

Nous étions convenus que j'appellerais dix à quinze minutes avant d'arriver. A peine étais-je garé devant chez elle que je recevais de Morgane un message me disant que je trouverais la porte ouverte. Elle me remerciait de la refermer à clé derrière moi. Aussi j'entrai dans la petite maison mitoyenne dont la baie vitrée donnant sur rue était occultée par un double voilage blanc. C'était la première fois que je me rendais chez Morgane. et j’avoue que j’étais tout aussi excité à l’idée de la découvrir que de percer les mystères de son intérieur. J’avais donc ce petit frisson, ce pincement au cœur que j’aime tant dans les premières minutes de ce genre de rendez-vous.

Sur le verso de sa porte d'entrée, elle avait écrit sur un post-il en lettres détachées : "Déshabille-toi ici et rejoins moi dans le salon, la première porte à droite...". Surpris et excité à la fois, j'enlevais rapidement mes vêtements, sous-vêtements et chaussures me retrouvant entièrement nu. Je regardais mon reflet de plein pied dans le miroir qui jouxtait un porte manteau bien chargé. Un peu trop de ventre à mon gout. Pour le reste, ça me paraissait convenir : torse imberbe plutôt encore pas mal pour mes quarante ans, des jambes sans grand intérêt et ma queue qui pendait, dilatée sous un petit ticket fraichement taillé le matin même. Même en club, je n'avais pas l'habitude de me présenter entièrement nu.

J'ouvris la porte sur le salon baigné d'une douce lumière d'une fin d'après-midi d'autonome. Morgane était bien là, allongée sur le canapé, dos offert, le visage caché par ses cheveux mi-longs bruns et blonds et ses bras ramenés sur son front. La vue de son dos cambré, de ses fesses rebondies au-dessus des chairs fermes de ses cuisses me firent bander d'un coup. Ma queue se gonfla instantanément se détachant de mes couilles déjà alourdies par le désir qui avait précédé cette rencontre.

Sans un mot, j'effleurais alors sa peau du bout des doigts sentant un long frisson parcourir son corps. Sa peau était d'une incroyable douceur. Je cheminais entre ses grains de beauté aussi nombreux que délicats. Ma bouche se posa sur ses épaules, puis sa nuque avant de descendre le long de sa colonne vertébrale. Alors que je m'apprêtais à embrasser ses fesses, Morgane se retourna m'offrant à contempler l'autre face de son corps. Je me retrouvais au-dessus de son ventre dont le léger creux du nombril était rempli par un petit bijoux qui semblait redonner encore plus de moelleux à sa peau. Mes mains se répartirent les tâches, l'une glissant vers son sexe rasé, l'autre remontant vers ses seins, deux petits monts insolents dont les pointes darder dans des directions opposées. Ce fut un délice que de les prendre en bouche mais je fus arraché par ses mains qui amenèrent sa langue avide de gouter la mienne. Nous nous embrassâmes chaudement à l'image que de ce que serait bientôt l'union de nos corps.

Morgane se redressa, essuya ses lèvres avec un regard complice et une bouche qui en disait long sur son désir. Elle me fixa et écarta les cuisses m'invitant à venir explorer son antre qui déjà ruisselait d'un nectar salé. Je la lapais, je la fouillais, j'étais affamé de son sexe. A chaque fois que je me rapprochais de son petit bouton, Morgane se redressait, jouissant bruyamment. Les yeux fermés je savourais ce nouvel Eden.

Puis ce fut son tour de s'occuper de mon dard dressé, turgescent, le gland presque écarlate. Elle s'affairait avec un soin chirurgical, sur chaque veine et le relief de mes couilles. Puis je fus englouti entre ses lèvres, dans sa gorge chaude, tandis que je sentais couler sa salive hors de sa bouche. Elle ne s'interrompait que pour sortir sous son adorable petit nez mon gland qu'elle faisait glisser sur le petit piercing qui décorait son visage entre sa lèvre inférieure et son menton. C'était une sensation étrange que cette petit pointe qui semblait vouloir le rayer.

J'étais de plus en plus enfiévré, sans un état second et je ne me souviens plus très bien comme je me suis retrouvé ses cuisses sur mes épaules à la besogner longuement, son cul majestueux posé sur le canapé. Je sais qu'elle vint sur moi comme je vins sur elle et que c'est au terme d'une frénétique levrette que j'ai brutalement déchargé toute ma semence dans le creux de son dos. Vidé au sens propre comme au sens figuré, je me suis laissé choir, le souffle coupé, sur le tapis. C'est alors qu'elle se leva et se posa à califourchon sur moi. Ses cheveux balayaient mon visage. Elle était à quelques centimètres de mon nez, me fixant les yeux grands ouverts : "Si tu crois que c'est terminé, on ne fait à peine que commencer !".

ut ainsi avec Morgane notre première fois. Il y en eu tant d'autres à la faveur de weekends ou vacances passés ensemble. C'était elle et moi, parfois nous étions trois, parfois c'était avec un homme, parfois avec une femme et souvent Morgane aimait me laisser la regarder jouir de ses partenaires de passage. Mais ce sont d'autres histoires...

Retrouvez cette Histoire sur Voissa.com : Ma première rencontre avec Morgane, une jeune libertine

Par le

J’ai rencontré Maya sur un célèbre site internet de plan d’un soir. Elle avait 28 ans et cherchait, comme moi, à s’amuser l’instant d’une nuit. Elle était asiatique mais je ne pourrais pas vous dire de quel pays exactement.
Elle n’avait pas vraiment de forme, un bonnet 80 A, 1m55 pour 45kg et elle avait les « fesses plates » comme elle m’avait dit par messages. Sont corps lui donnait quelques complexe, c’est pourquoi elle m’avait demandé que si l’on venait à se rencontrer, nous ferions l’amour dans le noir.
Elle avait les cheveux marron clair qui allaient bien avec ses yeux noisettes mis en valeurs par de petites lunettes. Elle avait la tête d’une première de la classe, toute sage et toute timide.
Après de nombreux messages échangés on avait fini par s’entendre sur une date pour se voir et elle avait posé quelques condition. Le faire dans le noir, le faire chez moi, elle voulait un jeu de soumission soft et être la dominante, mais le plus important elle souhaitait un contact naturel donc pas de préservatifs. Il était donc convenu d’apporter un test de moins d’une semaine le jour de notre rencontre.
Le soir en question quelqu’un à frappé tout doucement à ma porte, si bien que j’avais à peine entendu. Quand j’ai ouvert la porte, j’y ai vu sur le palier un tout petit bout de femme toute réservée légèrement fuyante du regard. Je l’ai faite entrer et l’ai inviter à me remettre son long manteau noir qui lui descendait jusqu’aux genoux.
Elle portait des toutes petites chaussures beiges de pointure 35, un jean slim lui couvrait les jambes et un léger pull à marinière blanc et bleu finissait de l’habiller. Elle n’avait aucun maquillage, ce qui renforçait l’effet petite écolière modèle. Ses cheveux long jusqu’à ses épaules étaient surmontés d’une petite queue de cheval.
La nuit tombait, mais la chambre n’était pas entièrement plongée dans l’obscurité, nous avons donc patienté un bon quart d’heure autour d’un verre tout en discutant un peu de tout et de rien.
La nuit étant bien tombée nous nous sommes dirigés vers ma chambre.
Une fois dans la chambre et dans l’obscurité la plus complète, je lui ai murmuré à l’oreille que j’étais à ses ordres à présent.
- Déshabilles toi et guide moi à ton lit.
Je me suis exécuté et pendant que je me déshabillait complètement, j’entendais qu’elle faisait de même. Une fois tout les deux dépourvus de vêtements, je l’ai prise dans mes bras et l’ai allongée délicatement sur le lit puis je me suis glissé à coté d’elle. Je n’ai pas eu de mal à la soulever avec son petit poids plume. Alors que j’allais poser mes mains sur son corps pour le découvrir j’ai été stoppé par son ordre de m’occuper d’elle.
- Viens me lécher la chatte.
Sans rechigner je suis descendu jusqu’à son sexe. Je lui ai relevé les jambes et j’ai commencé à doucement la lécher. Sous mes coups de langue je découvrais un tout petit sexe avec de toute petites lèvres super fermes. Pour essayer d’en apprendre un peu d’avantage sur ce petit sexe, j’ai laissé mes doigts se balader le long. Ses lèvres étaient toute douces, parfaitement épilées mais tout le reste était entièrement poilu au naturel.
C’était excitant de ne pas voir et de simplement imaginer grâce au toucher. Après avoir quelque peu exploré avec mes doigts, je suis retourné m’occuper d’elle avec ma langue. Tout en restant très ferme son sexe est rapidement devenu très humide.
- Mets moi un doigt.
Sans m’arrêter de la lécher, j’ai glissé mon majeur en elle. Elle mouillait beaucoup et mon doigt n’a pas peiné à glisser dans son vagin ultra serré.
Mes mouvements étaient lent et doux, je savourais tout autant qu’elle ce cunnilingus.
- Mets en un deuxième.
Mon index est venu accompagner mon majeur. Plus je la doigtais et plus elle devenait expressive, poussant de petits gémissements de plaisir. Mais j’avais beau la doigter avec deux doigts, je ne sentais pas son sexe se détendre, il restait ultra serré et ultra lubrifié.
Après quelques minutes et alors que j’avais accéléré le mouvement, ses jambes se sont resserrées d’un coup sec sur ma tête dans un petit cri étouffé. Je me suis arrêté et après quelques petit tressaillement de son corps, elle à relâché l’étreinte de ses cuisses sur ma tête.
- Prends moi.
Elle s’est allongée sur le coté et après une toute petite masturbation pour finir de bien durcir mon sexe j’ai pris place derrière elle. J’ai frotté mon gland contre son clito pour le lubrifié un peu et je suis aller me plonger en elle.
Elle était trempé d’excitation, je n’ai pas eu de mal à me glisser en elle. Et heureusement qu’elle mouillait beaucoup car son sexe était vraiment très serré.
- Oh mon dieu elle est si grosse.
C’est vrai qu’elle n’avait pas pu juger de la taille de mon sexe auparavant étant donné que nous étions dans le noir et qu’elle ne m’avait pas fait de fellation ni de branlette.
J’ai commencé doucement à faire des vas et viens en elle tout en allant lui attraper un sein. Il était tout petit et comme son sexe vraiment ferme.
Je ne suis pas très grand ni une montagne de muscle, mais en la serrant contre moi j’avais la sensation d’avoir une petite chose toute frêle à ma merci alors que non, ça serait elle la maîtresse de la partie.
Au fur et à mesure que j’accélérais mes vas et viens j’entendais ses gémissements s’intensifier mais c’était comme si elle serrait des dents en même temps.
- je ne te fais pas mal ?
- Non continus c’est vraiment bon.
J’ai posé ma main sur sa fesse et j’ai repris mes coups de reins. J’ai accéléré jusqu’à trouvé une vitesse de croisière ni trop rapide, ni trop lente le tout en mettant de la puissance dans mes coups de reins.
Nos corps bouillant collés l’un à l’autre ne faisaient plus qu’un et une odeur de mandarine émanait du sien.
J’ai retiré ma main de sur sa fesse et le bruit de claquement de nos deux corps est venu couvrir celui de ses gémissements. Son sexe était devenu trempé si bien que je sentais des éclaboussures de mouille me sauter dessus à chaque impact de nos deux corps.
Elle était tellement mouillée que j’en ai glissé et mon sexe en est sorti du sien.
- Laisses moi goûter à ton sexe.
Je me suis allongé sur le dos la laissant s’installer en 69 au dessus de moi. A peine installés, elle à englouti mon sexe trempé de sa mouille. Sa bouche était comme son sexe, serrée. Mais ça ne l’a en rien dérangé pour me sucer goulûment.
D’une main elle s’est mise à me masser les boules et à me caresser le périnée. D’abord sceptique et quelques peu stressé qu’elle s’approche si près de mon anus mais je me suis rapidement détendu quand j’ai compris qu’elle ne le toucherait pas.
- Lèches moi le cul.
Pendant qu’elle continuait à me sucer goulûment en enfonçant mon sexe que légèrement plus loin que le gland, je me suis mis à faire tourner ma langue autour de son anus. Et comme le reste de ses attributs, son anus était ultra ferme.
On avait parlé de sodomie dans nos messages, mais sa bouche et son vagin étant si serré que j’en venais à me demander si j’allais pouvoir lui prendre les fesses.
Cette sensation de son anus sous ma langue était divine. Je ne voyais pas ce qu’il se passait et ça décuplait toute ces sensations.
Alors qu’elle s’affairait à me sucer tout en laissant frotter mon sexe le long de ses joues, j’ai commencé à faire un peu le forcing pour y faire entrer ma langue tout en lui écartant les fesses à deux mains. Je sentais sa mouille me couler sur le torse. Et c’est juste quand ma langue à réussi à bien entrer dans son petit cul qu’elle s’est arrêtée de me sucer et qu’elle s’est redressée sur moi.
Elle à fait demi tour et s’est agenouillée au dessus de mon visage.
- Tires la langue et ne bouge plus.
Je me suis exécuté et elle est venue frotter sa petite chatte bouillante sur ma langue. Mes mains sur ses fesses accompagnaient ses mouvement et en quelques instant j’avais le visage trempé de sa mouille.
Ses mains appuyées sur mon torse elle s’est mise à accélérer tout en appuyant plus fermement sur ma langue. Ses petits gémissement ressemblaient à des petits couinement.
Après quelques minutes ainsi, elle s’est arrêtée, est venue m’embrasser et me lécher le visage avant de m’ordonner de la reprendre en cuillère mais cette fois ci face à face. Elle à passé ses bras autour de moi tandis que je lui agrippais les fesses tout en me glissant en elle.
- Mets moi un doigt dans le cul.
J’ai fais tourner mon majeur autour de son petit trou pour récupérer la mouille qui s’était répandue pendant qu’elle s’était frottée sur ma langue avant de commencer à le lui enfoncer dans son petit trou.
Tellement absorbé par les sensations de son anus se refermant sur mon doigt, je n’avais même pas recommencé mes vas et viens en elle. C’est donc elle qui à commencer à onduler son bassin le long de mon sexe.
J’ai du forcer un peu le passage pour arriver à entrer mon majeur complètement en elle mais à peine était il entré complètement qu’elle m’a demandé d’en glisser un second.
Un peu étonné j’ai retiré mon majeur de son anus pour aller lui glisser majeur et index dans la bouche pour qu’elle me les lubrifient un peu.
Une fois lubrifiés je suis aller les glisser dans son petit cul. Je me suis glissé en elle demi centimètre par demi centimètre et une fois mes deux doigts bien en elle j’ai repris mes coups de reins.
Je sentais parfaitement mes doigts le long de mon sexe, comme si tout était dans son vagin.
- Mets toi sur le dos.
Sans me retirer d’elle je nous au fait rouler pour que je sois sur le dos et elle sur moi. D’un bras je l’ai plaquée contre moi alors qu’avec l’autre je n’ai pas quitté son anus. Elle s’est écarté les fesses et je me suis mis à la pilonner avec fougue.
Ses petits gémissement du début se transformaient de plus en plus en petit cris de plaisir sous mes assauts puissants.
Lors d’une pause pour reprendre mon souffle, elle en à profité pour me faire glisser hors d’elle et elle à commencé à se frotter le clito le long de mon sexe. Je lui ai agrippé ses petits seins tout le temps qu’elle se frottait à moi.
Elle se frottait de plus en plus vite si bien que dans une dernière accélération et un long gémissement de sa part, j’ai senti un jet de mouille partir tandis qu’elle s’écroulait sur moi toute tremblante tremblante.
Une fois la tension tombée elle s’est redressée pour se retourner et venir s’asseoir sur mon sexe. Elle était dos à moi et s’était penchée en avant pour mener la danse. Dès que j’ai pu je lui ai remis un doigt dans son petit cul pour continuer à le dilater un maximum.
Elle faisait rouler son bassin sur mon sexe de tout son long, amenant presque mon gland à en sortir.
Elle à fait sortir mon sexe d’elle et s’est reculée sur moi pour un nouveau 69. Elle à glissé mon sexe en bouche alors je me suis mis à la lécher de partout en insistant bien sur son anus durant de longues et bonnes minutes.
- Prends moi en levrette.
Elle s’est mise à quatre patte et je suis allé me glisser derrière elle. A peine je m’étais glissé en elle qu’elle m’a ordonné de lui prendre son petit trou.
J’ai posé mon gland sur son anus et je l’ai laissée s’empaler dessus à son rythme. Ça forçait énormément sans pour autant vouloir entrer.
- T’es sure de vouloir que je te prenne par derrière ?
- Discutes pas et mets la moi.
J’ai glissé deux doigts dans sa petite chatte pour récupérer un peu de mouille et lui lubrifier son petit cul. J’ai fais pareil avec mon sexe et je me suis replacé devant son anus.
Doucement je me suis mis à forcer pour entrer jusqu’à ce qu’après quelques tentatives mon gland s’engouffre en elle comme s’il avait été happé alors qu’au même moment elle à poussé un cri.
- Je t’ai fais mal ?
- Oh nan, c’est trop bon continu.
J’ai fais quelques petits vas et vient en elle mais j’avais plutôt l’impression que c’était son anus qui s’enfonçait plutôt que moi qui m’enfonçait en elle.
Je suis ressorti pour lubrifier à nouveau mon sexe avant de retourner dans son anus. Du premier coup je me suis enfoncé en elle dans un nouveau petit cri.
- Encore, c’est trop bon.
Je suis de nouveau sorti de son anus, j’ai frotté mon gland contre avant d’y replonger.
J’ai fais ça une bonne quinzaine de fois avant que son anus s’offre complètement à moi. Une fois prêt je me suis mis à la pénétrer doucement. Étonnamment je le sentais guère se détendre mais je m’enfonçais un peu plus à chaque pénétration.
Plus je la prenais et plus elle se mettait à crier de plaisir alors que mon sexe était à présent totalement dans son cul. Jamais j’aurais imaginer pouvoir la sodomiser ainsi vu comment elle était serrée.
Ça faisais que quelques instant que je lui prenais les fesses assez rapidement quand elle s’est mise à répéter toute haletante
- Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouir !

Je me suis arrêté de la prendre, lui ai glissé deux doigts dans le vagin et me suis mis à la doigter vigoureusement. Encore une fois elle s’est mise à gicler de la mouille un peu partout jusqu’à ce qu’elle s’écroule en jouissant.

- Reprends moi par derrière.

Elle est restée allongée sur le ventre, s’est écarté les fesses et m’a laissé m’y engouffrer complètement.

Pas d’état d’âme, je me suis mis à la prendre avec puissance. Nos corps claquaient sous les impacts et je sentais mes boules devenir de plus en plus mouillée à chaque fois qu’elle venaient frapper sa petite chatte.

Elle s’était mise à crier de plaisir juste avant que je lui glisse mes doigts trempé dans sa bouche laissant ainsi ses cris se transformer un nouvelle fois en petits couinements.

Ses mains m’ont stoppées quand elle s’est de nouveau mise à jouir dans un cri de plaisir intense que même mes doigts n’ont pu retenir.

J’ai retiré mes doigts et d’une voix haletante et à peine audible elle m’a dit :

- Encore, elle est si grosse, c’est si bon.

Ni une ni deux j’ai recommencer à la prendre comme avant en l’attrapant par sa queue de cheval jusqu’à ce que ce soit mon tour de jouir.

Ma main gauche toujours en train d’agripper sa queue de cheval, je me suis retiré et branlé de la droite pour lui recouvrir le dos et les fesses de ma semence dans un râle de plaisir et de libération. J’ai senti un jet de sperme lui atterrir jusque dans les cheveux.

J’ai décris quelques cercle de mon gland sur ses fesses et ne débandant pas je me suis de nouveau glissé dans son petit cul. J’entrais et sortais doucement avant de recommencer à la prendre sauvagement la faisant à nouveau crier de plaisir.

Après quelques minutes et à bout de force je me suis retiré.

- Laisses moi finir de te nettoyer.

Elle s’est mise une nouvelle dois en 69 sur moi pour me sucer lentement jusqu’à ce que mon sexe débande complètement et même une fois débandé elle à continuer à le sucer et le lécher doucement.

- Fais moi jouir une dernière fois.

Sans changer de position je lui ai mis deux doigts dans le vagin et j’ai commencé à la doigter fougueusement de bas en haut dans une symphonie de bruit et giclées de mouille accompagnée de cris de plaisir.

Elle s’est mise à jouir m’arrosant de nombreux jets de mouille avant de finir par s’écrouler sur moi toute essoufflée mais sans lâcher mon sexe.

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L'actrice et réalisatrice évoque son image de sex-symbol, la manière dont elle aime faire l'amour et sa bisexualité.

Comment va le sexe en 2020?

Pas de sexe cette année, alors ça ne va pas très bien?! Je n'ai pas envie, je n'ai pas rencontré quelqu'un qui me plaît… Et puis moins tu le fais, moins tu veux le faire. Je ne me masturbe même pas. Ça a dû être difficile le confinement pour les gens qui n'étaient pas en couple ou qui ne vivaient pas ensemble. Mais je pense aussi avec horreur au confinement avec un amant. Je n'aime pas habiter avec mes amants. Je dois habiter seule. La vie en couple, c'est une horreur. Pendant le Covid, je n'imagine pas que des gens aient voulu s'échapper de la réalité grâce au sexe. Pour bien faire l'amour, il faut être relâché?! S'abandonner dans le corps, dans la tête.

Pourquoi est-ce une horreur d'habiter à deux?

 

J'habite avec mes trois enfants. Amener un mec qui n'est pas leur père et qui va se révéler un cauchemar comme tous les hommes… non.

La première scène érotique que tu aies vue?

Je voyais beaucoup les films de mon père (Dario Argento – ndlr), qui avaient quelque chose de sexy et de violent. Quand j'étais petite, il y a ce film qui est sorti, Le Lagon bleu avec Brooke Shields, très jeune, et un mec. Ils habitaient une île sauvage. A un moment, ils se poursuivent dans l'eau, ils jouent et la caméra filme au fond de la mer et on voit la bite du jeune.

Je me rappelle que ma nounou et ses copines faisaient des rewinds en riant?! Moi, j'étais bouleversée. Et aussi, en Italie, il y avait des émissions tard le soir où des filles enlevaient leurs brassières ou montraient leurs fesses… mes parents n'étaient pas souvent là donc je regardais aussi des soft porn. J'ai su très jeune beaucoup de choses à propos du sexe.

Une icône érotique quand tu étais ado?

Mike Tyson?! J'avais toutes ses photos autour de mon lit. C'était mon rêve. Je voulais être son amante. Je devais avoir 12-13 ans. Il était très beau, et j'adorais sa petite voix que je trouvais très sexy. Cette voix féminine avec son corps masculin. Vers 17 ans, j'ai commencé à faire de la boxe pour lui.

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