Souvent associée au ténébreux Humphrey Bogart, avec qui elle formait un duo explosif et à Howard Hawks, qui lui a donné ses plus beaux rôles, l'actrice est décédée hier à l'âge de 89 ans dans son appartement de New York.

Les années noires : Le port de l'angoisse 

Laurent Bacall commence sa carrière comme icône du film noir dans les films d'Howard Hawks. Quand Le port de l'angoisse sort en 1944, le genre à le vent en poupe. Elle est repérée par la femme d'Hawks, envoûtée par sa beautée et par ses sublimes yeux verts. Le réalisateur va l'aider à se lancer, à se trouver un nom de scène et surtout, il va lui offrir un partnaire à sa hauteur : Humphrey Bogart. À la vie comme à la scène, les deux acteurs ont une présence électrique, et leurs prestations font des étincelles. Elle impose son style de femme sûre d'elle et représente toute une génération d'actrices qui ne veulent plus être des seconds rôles.

Le Grand Sommeil de Howard Hawks, © Rue des Archives/DILTZ

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Il y a cinquante ans, l’auteur des aventures de 007 nous quittait, laissant derrière lui un important héritage littéraire. Inspiration pour le cinéma, son personnage a été interprété par de nombreux acteurs. Retour sur toutes les facettes de Bond.

On ne vit que deux fois, © Rue des Archives/DILTZ

Sean Connery : le premier

À partir de 1962, c’est Sean Connery qui prête ses traits au célèbre agent. Il a décroché le job face à six cents candidats, allant même jusqu’à voler la veste de Bond au grand Cary Grant. Il embarque pour sept films (sans compter Jamais plus jamais, non officiel) : James Bond 007 contre Dr No, Bons baisers de Russie, Goldfinger, Opération Tonnerre, On ne vit que deux fois et Les diamants sont éternels. Connery devient Bond pendant plus de vingt ans. Fleming émettra des réserves sur son physique, qui ne correspond pas à ce qu’il «envisageait» pour son héros. Mais, dès qu’il le voit jouer, il est convaincu qu’il n’y avait pas meilleur choix. L’acteur écossais reste, pour beaucoup, le James Bond le plus emblématique et le plus charismatique de la franchise.

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Alors que les armées alliées progressent en France après le débarquement du 6 juin sur les plages normandes, la libération de Paris s’impose pour le Général de Gaulle comme un objectif militaire essentiel pour marquer la défaite allemande. 70 ans plus tard, Evene vous propose de revivre cet événement à travers cinq lieux clefs.

1. La Préfecture de Paris

Située au cœur de Paris, la Préfecture s’impose comme un véritable bastion de la résistance dans la capitale. Alors que les grèves se multiplient à l’appel du comité militaire national des Francs-tireurs et partisans, la police se joint à l’insurrection générale et apporte un nombre importants d’hommes au sein de la Résistance. Des barricades sont érigées et des combats acharnés opposent Allemands et Forces Françaises de l’Intérieur, qui regroupent les résistants. L’intervention des Alliés, d’abord écartée, semble alors inévitable. Dans la cour de la Préfecture tombe un papier avec un message de la 2e DB : « Tenez bon, nous arrivons ».

©Rue des Archives/Tallandier

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Vous voulez découvrir les lieux qui ont inspiré Degas, Cézanne ou Renoir? Plonger dans le cadre qui a inspiré les Nymphéas de Monet? Evene vous propose de vous balader au fil de l’eau et de découvrir le fief du célèbre mouvement.

Barbizon : le berceau des précurseurs

La commune de Barbizon, en Seine-et-Marne, est bien connue pour avoir été l’inspiration principale des pré-impressionnistes. Dès 1830, alors que le village est un hameau de bûcherons, les peintres (connus ensuite comme l’École de Barbizon) comme Millet et Théodore Rousseau s’y retrouvent pour peindre la nature, restée intacte. 
Le village propose aux visiteurs de découvrir l’atelier de Jean-François Millet et le musée départemental des peintres de Barbizon. Pour ceux qui désireraient se plonger dans des décors naturels,  un circuit découverte des peintres de Barbizon permet de se promener sur les pas des artistes de l’époque pré-impressionniste.

Pour plus d’information, rendez-vous sur le site de Barbizon

Les jardins de Giverny, ©Louis Monier/Rue des Archives

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L'acteur nous a quitté ce 11 août, de ce qui semblerait être un suicide. Tour à tour hilarant et émouvant, retour sur cinq rôles qui ont marqué la carrière de ce grand acteur.

Le premier rôle : Popeye

Issu de la télévision, Robin Williams commence au cinéma avec le rôle emblématique de Popey devant la caméra de Robert Altman. Il a alors fait ses armes dans le rôle de l'extra-terrestre Mork. Avec ce personnage excentrique, il développe son jeu comique, basé sur sa capacité à modifier sa voix et sur son comique de geste. Popeye est un film musical, qui tente de s'approcher au plus près du style du comic book. Un premier rôle parfait pour l'acteur.

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Animaux de compagnie, amis, âmes perdues, musiciens de jazz… Tout au long de l’histoire du septième art, les félins ont joué des rôles bien différents. Retour sur ceux qui ont crevé l’écran.

Diamants sur canapé, 1961

Adaptée de la nouvelle de Truman Capote, le chef d’oeuvre de Blake Edwardes met en scène Audrey Hepburn en flamboyante Holly Golightly. Quand son voisin Paul tombe amoureux d’elle, Holly, jeune new yorkaise fêtarde, se dérobe. Elle est avant tout une femme libre qui fuit en permanence, et elle refuse ses avances, préférant lui donner son amitié. Son chat, tout simplement nommé «Cat» agit dans le film comme son double : farouchement indépendant. Pourtant, quand elle le libère dans la rue, pensant se libérer elle-même en le ramenant à son rôle d’animal sauvage, elle le regrette et court le chercher sous la pluie. Un jeu de miroir poétique où l’animal joue un rôle clé.

Breakfast at Tiffany's, © Rue des Archives/DILTZ

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