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Rappel : un statut Facebook ne peut pas protéger vos données
Sur Facebook, le début d'année a été synonyme du retour d'un grand classique, à savoir les statuts interdisant au réseau social l'exploitation des données personnelles. La Cnil le rappelle : ces messages ne servent à rien.
 
On y avait déjà eu droit en 2012, 2013, 2014, 2015... Il était sans doute naïf de croire que 2017 serait épargné. Depuis le début du mois, on voit fleurir sur Facebook des statuts qui reprennent peu ou prou le même texte. Il est question, en résumé, d'aviser le réseau social qu'il lui est interdit de faire usage des photos et informations personnelles publiées par l'utilisateur, car "la violation de la vie privée peut être punie par la loi". Certaines variantes du texte précisent même que le défaut de déclaration équivaut à un accord tacite pour une exploitation des données. Sauf que... non. Un tel statut n'a strictement aucune valeur.  

La Cnil, gendarme des données personnelles sur la toile, vient elle-même de le rappeler. "Ce type de message n'a aucune valeur juridique et ne garantit en rien la protection de vos données, de vos créations, de vos photos publiées sur Facebook. Il ne sert donc à rien de le partager sur votre mur".

Elle recommande, par contre, de "bien lire les conditions générales d'utilisation d'un réseau social avant de l'utiliser", car ce sont ces dernières qui régissent en pratique le traitement des données. Elle suggère, également, de "régulièrement vérifier vos paramètres de confidentialité", de "ne pas publier d'informations trop personnelles" et de ne pas hésiter à "exercer les droits prévus par la loi informatique et libertés".

Précisons que Facebook, en particulier, ne peut en aucun cas se déclarer propriétaire des contenus publiés par ses membres. Tout au plus, l'utilisateur accorde une licence pour la diffusion de ses créations protégées (propriété intellectuelle) lorsqu'il publie lesdites créations sur sa page. Cette licence, toutefois, expire dès l'instant où le contenu est supprimé.


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Mots de passe : 123456 reste la pire des solutions
Il y a tout juste un an, l'éditeur SplashData nous expliquait que le mot de passe le moins sécurisé de 2015 n'était autre que "123456". En 2016, les choses n'ont guère changé — ces six caractères sont toujours le premier passe-partout des hackers.
 
Cette fois, l'étude est à mettre au crédit de l'éditeur Keeper Security, qui a toutefois procédé de la même manière que ses homologues les années précédentes. L'examen a porté sur 10 millions de mots de passe rendus publics tout au long de l'année 2016. Et la première conclusion fait peur : près de 17 % des comptes compromis l'année dernière étaient protégés par un simple "123456". Bien sûr, cela ne veut pas dire qu'un internaute sur six a recours à ce bien piètre sésame. Il s'agit, après tout, d'un échantillon a priori particulièrement vulnérable. Mais cela reste inquiétant à plus d'un titre.
 

En effet, on ne peut que constater à quel point certains internautes prennent leur sécurité à la légère. Mais on observe, également, que les administrateurs de sites — pourtant familiers avec l'informatique — peuvent être tout aussi laxistes. Alors, naturellement, il serait absurde d'attendre d'un forum dédié à la pêche à la mouche qu'il impose des mots de passe de 15 caractères avec trois types de caractères distincts — ce qui serait, par contre, tout à fait indiqué pour le site d'une banque. Mais une suite aussi simple que "123456" ou "123456789" ne devrait jamais pouvoir faire office de mot de passe. Et il en va de même pour les grands classiques que sont "qwerty", "azerty" et consorts. Keeper Security le rappelle : avec un logiciel dédié, il ne faut que quelques secondes à un hacker pour faire sauter un verrou aussi faible. Or, sur les 10 millions de comptes compromis pris en compte pour l'étude, "plus de 50 %" étaient simplement protégés par des sésames de cet acabit (le top 25 2016).

Sans plus de cérémonie, voici le classement. Notez que les quelques mots de passe à l'air robuste sont attribués, non pas à des particuliers, mais à des bots, qui les utilisent a priori de manière systématique pour ouvrir des comptes notamment destinés au spam. C'est ce qui explique le nombre d'occurrences suffisant pour faire une percée au palmarès.


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Les mesures théoriques ont été réalisées à l'aide de CrystalDiskMark 3.0.4. Les mesures pratiques d'écriture et de lecture de gros fichiers ont été réalisées à l'aide d'un RAMDisk de 29 Go. Nous avons utilisé un lecteur Sandisk Extreme PRO UHS-II SD connecté sur un port USB 3.0.
 
 

Dans l'absolu, les résultats obtenus lors du test théorique sous CrystalDiskMark se révèlent légèrement en dessous des promesses, mais avec 258,6 Mo/s en lecture et 235,7 Mo/s, il faudrait être fine bouche pour se plaindre. Surtout, cette Toshiba se révèle 100 Mo/s plus rapide en lecture qu'une Lexar Professionnal 1000x SDXC UHS-II 256 Go et la distance totalement en écriture, ce qui est le plus important au regard des usages considérés.

Sur les exercices pratiques de la copie d'un dossier de 6,04 Go contenant 801 photos, puis la copie d'un fichier unique de 27 Go, cette Exceria Pro continue à tenir son rang et se révèle très satisfaisante, même si elle décroche nettement par rapport aux tests synthétiques. Elle saura néanmoins affronter sans peur et sans reproche les tournages vidéo les plus exigeants d'autant plus que, et il faut le souligner, elle est la seule carte SD 256 Go passée dans notre laboratoire à ne pas avoir rencontré de problème de surchauffe entraînant une dégringolade des débits après quelques minutes. Malgré tout, compte tenu des capacités considérées, il faudra quand même plus de 33 minutes pour copier l'intégralité des 238 Go de données contenus dans la carte sur votre disque dur ; ce dernier risquant même d'être le goulot d'étranglement. 


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Le téléviseur Oled papier peint présenté par LG au CES de Las Vegas s'affiche déjà dans les boutiques en ligne américaines à un tarif de "seulement" 8 000 $.

Lors de la présentation de son nouveau téléviseur papier peint, LG a sciemment omis de communiquer le prix et la date de commercialisation de son nouveau modèle. Pourtant, certaines boutiques américaines référencent déjà la bête. C'est le cas de Best Buy qui affiche le téléviseur Oled LG 65W7 — dans sa version 65 pouces donc — pour la modique somme de 7 999 $. Ce prix n'est pas forcément étonnant puisqu'il s'agit tout simplement du tarif du téléviseur LG Signature 65G6V à son lancement l'année dernière. Le W7 vient remplacer la série G sur le segment haut de gamme. Si ce prix est confirmé, le nouveau LG Signature 65G7V devrait donc être vendu un peu moins cher. Le téléviseur LG Oled 65W7 sera également décliné en version 77 pouces — le LG 77W7 — à un tarif qui devrait largement dépasser les 20 000 €.

Rappelons que le téléviseur LG 65W7 est le plus fin du marché. La dalle Oled mesurant seulement 2,57 mm d'épaisseur vient se coller au mur à l'aide d'un système magnétique. Une fine nappe blanche permet de relier la dalle à la barre de son Dolby Atmos de 60 watts qui embarque toute l'électronique du téléviseur ainsi que la connectique (quatre ports HDMI 2.0a, trois ports USB, une entrée composite, une entrée composante, Wi-Fi, Ethernet).


Lire la suite : Le nouveau téléviseur papier peint Oled LG 65W7 déjà en précommande


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