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Dans le cadre d'une étude menée par l'Agence nationale des fréquences (ANFR), Orange a activé le 11 janvier dernier un petit nombre d'antennes à faible puissance aux abords du lac d'Annecy. Ce dispositif, qui vise à "améliorer la couverture et la connectivité pour tous", pourrait être une réponse à l'explosion permanente de la consommation data.
Vous le savez, le réseau des opérateurs est constitué d'antennes, qui émettent sur différentes fréquences et s'appuient sur différentes technologies (2G, 3G, 4G). La forme de ces antennes, toutefois, varie assez peu : il s'agit en général de boîtiers blancs perchés sur des pylônes et dont la puissance suffit à garantir une portée qui se mesure en kilomètres — les obstacles environnants étant bien sûr une variable d'importance. On parle, pour désigner spécifiquement ces appareils, d'antennes "macro". Mais il existe aussi des antennes plus petites, moins puissantes. Et l'ANFR s'intéresse de près au potentiel de ces engins dans la perspective des futurs déploiements, notamment pour la 5G.
À partir de la semaine prochaine, Bouygues Telecom proposera donc une box 4G à tous les foyers éligibles, soit 10 millions, "dont la connexion Internet à la maison est trop lente". Il en coûtera 29.99 €/mois, plus 3 € de location de box. En outre, 19 € de "frais de mise à disposition" seront facturés. En cas de résiliation, 19 € supplémentaires vous seront réclamés. L'opérateur offre le premier mois à tous les clients. En cas de non-satisfaction dans la limite de ce premier mois de découverte de l'offre, les frais de résiliations sont gratuits.
C'est pourquoi Orange a lancé, le 11 janvier dernier, une expérimentation d'une durée d'un mois. L'opérateur a implanté cinq antennes 4G à faible puissance dans du mobilier urbain signé JCDecaux situé à Annecy, à proximité du lac. La portée de ces relais ? "De quelques dizaines de mètres à quelques centaines de mètres". L'ANFR explique que l'objectif premier est tout simplement "d'améliorer la couverture et la connectivité pour tous. [...] Il est en effet estimé que d'ici 2020, le trafic mobile en France sera multiplié par 8 à 10 environ". Mais le raccordement du mobilier urbain est aussi "un enjeu pour les collectivités locales". Pourquoi ? Parce qu'il s'agit d'un premier pas indispensable vers l'avènement de la ville intelligente.
Lire la suite : Orange teste un réseau d’antennes à faible puissance à Annecy
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Bouygues Telecom lance son offre box 4G destinée aux personnes ayant des difficultés à accéder à Internet par l'ADSL. Facturée 32.99 €/mois, l'offre single play s'accompagne d'une nouvelle box signée Huawei.
Comme promis, Bouygues Telecom lance enfin sa box 4G destinée aux particuliers situés dans des zones peu denses où l'ADSL n'est pas accessible. Auparavant, l'opérateur historique avait observé une période de tests de 3 mois (octobre à décembre 2016) dans huit villes de France.
À partir de la semaine prochaine, Bouygues Telecom proposera donc une box 4G à tous les foyers éligibles, soit 10 millions, "dont la connexion Internet à la maison est trop lente". Il en coûtera 29.99 €/mois, plus 3 € de location de box. En outre, 19 € de "frais de mise à disposition" seront facturés. En cas de résiliation, 19 € supplémentaires vous seront réclamés. L'opérateur offre le premier mois à tous les clients. En cas de non-satisfaction dans la limite de ce premier mois de découverte de l'offre, les frais de résiliations sont gratuits.
Une offre Internet uniquement
Cette offre 4G box est sans "fair use", c'est-à-dire que les clients ne sont pas limités en données dans leurs téléchargements. En revanche, pas d'accès à la téléphonie fixe ni à la télévision.
Toujours fabriquée par Huawei, la nouvelle box 4G se présente sous la forme d'un boîtier rectangulaire, haut de 11 cm et large de 7 cm pour une profondeur de 7 cm. Son poids est de 250 g. Dotée d'une connexion Wi-Fi 802.11 b/g/n (jusqu'à 32 connexions) et d'un port Ethernet RJ45, la box 4G offre des débits maximums (théoriques) de 115 Mb/s en téléchargement et 38 Mb/s en envoi.
Lire la suite : Bouygues Telecom : une box 4G à 32,99 € pour les zones peu denses
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Que proposent réellement ces robots ? De centraliser les commandes de divers appareils, de fournir à la demande des informations à l'utilisateur — arrivée de courriers électroniques, météo... — ou de lire des recettes de cuisine (oui, ce sont un peu les descendants plus évolués du lapin Nabaztag, en fait...), et aussi de commander les appareils et objets connectés de la maison de demain, en se passant de tablette ou de smartphone. Le développement d'assistants vocaux élaborés, tels Cortana de Windows, Siri pour Apple, Google Assistant ou encore Alexa d'Amazon permet le développement de ces robots. L'idée est par exemple de les interpeller pour leur demander d'allumer les luminaires connectés, d'ouvrir les volets électriques, de faire préchauffer le four connecté, de lancer un peu de musique... sans avoir à dégainer son smartphone et sans devoir ouvrir plusieurs applications. D'ailleurs, sans même évoquer ce type de robots assistants, lors du dernier CES, les assistants vocaux — notamment Alexa — avaient la cote, présents sur de nombreux stands et souvent embarqués dans des appareils électroménagers connectés.
Nous vous avons soumis une question pour savoir si vous vous sentiez prêts à adopter ce type de robots assistants. Vous êtes majoritairement tentés à l'idée de voir entrer un tel "compagnon" dans votre foyer. Vous êtes en effet plus de 60 % à nous avoir dit oui et pour être honnêtes, nous en sommes plutôt surpris.
Lire la suite : Sondage : adopter un robot assistant, pourquoi et à quel prix ?
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La branche gaming d'Asus, Republic Of Gamers (ROG), va accueillir sa nouvelle recrue au mois de février, le Centurion, une évolution du Strix 7.1 qui passe maintenant au sans-fil.
Le ROG Centurion se démarque d'emblée de ses acolytes par l'aspect bien plus discret de ses oreillettes. Ces dernières profitent aussi de deux jeux de coussinets, l'un en cuir, l'autre en tissu, et d'un rétroéclairage rouge (3 modes : statique, respiration et éteint). L'arceau semble toutefois très similaire ; il faudra certainement s'attendre au même problème de rigidité que celui que nous avions pointé lors des tests.
Ce casque circum-auriculaire communique en sans-fil, mais Asus n'a pas jugé bon de préciser l'autonomie de la batterie ni la manière précise de la recharger. En toute logique, ce sera certainement le rôle du socle casque fourni dans le pack. Le Centurion s'accompagne de sa fidèle carte son externe, qui profite cette fois d'un nouvel ampli casque ESS Sabre 9601, pour de meilleures performances audio. Elle propose toujours les commandes de volume indépendant par canaux, l'activation du 7.1, un boost d'amplification et 4 profils d'EQ. Contrairement aux modèles précédents, le Centurion bénéficie de l'application ROG pour plus de souplesse au niveau des réglages, notamment en ce qui concerne la partie égalisation. En outre, la fonction Sonic Radar Pro fait son entrée. Elle affiche la provenance de certains sons en jeu sous forme d'alertes visuelles. Nous profiterons du test pour savoir exactement de quoi il en retourne.
Comme les Strix, le Centurion mise toujours sur l'argument du "vrai" 7.1 avec ses 5 transducteurs dans chaque oreillette, chacun dédié à un canal (transducteurs de 40 mm pour le front, 40 mm pour le sub, 30 mm pour le center, 20 mm pour le back et 20 mm pour le side). Le micro rabattable et flexible profite toujours de la technologie de réduction de bruit initié par les modèles précédents : un petit micro, logé dans la carte son, capture les bruits indésirables afin de les réduire considérablement en les soustrayant au signal du microphone principal.
Lire la suite : ROG Centurion, le nouveau casque sans-fil 7.1 d'Asus