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Sur le site de production de la marque du Groupe SEB, situé à Rumilly (14) et où travaillent 1 750 employés (dont 60 dédiés à la R&D) et où sont fabriqués quotidiennement 200 000 produits, nous avons pu jeter discrètement un œil sur le prototype d'Assisteo Connect, la future poêle connectée que lancera Tefal fin 2017. Interdiction de faire des photos, mais pas de poser des questions !
Assisteo Connect sera, selon Bénédicte Simond, directrice innovation articles culinaires chez Tefal, dédiée aux "personnes peu expertes en cuisine". Grâce à une application à travers laquelle il sera possible de sélectionner une recette (200 au lancement), la poêle intelligente équipée d'un module Bluetooth devrait guider l'utilisateur dans la réalisation de son plat.
On imagine qu'Assisteo Connect ressemblera peu ou prou à Assisteo — que nous avons pu photographier — et dont Tefal prépare le lancement dans les prochains jours. Elle aussi équipée d'un module électronique amovible, cette nouvelle poêle inaugure chez le constructeur une nouvelle gamme dédiée aux "Beginners" (les débutants) ou pour ceux que Tefal surnomme les "Dutiful" (grosso-modo : les personnes pressées avec enfants qui ont besoin de faire plusieurs choses à la fois).
Ainsi, grâce à un ingénieux système de capteur de température placé dans le fond de l'ustensile au plus près de la surface de cuisson et relié à la poignée, le petit module interprétera les informations qui lui seront remontées et indiquera par un signal sonore si la température de la cuisson est trop faible, adéquate ou trop élevée. De quoi éviter de faire brûler le steak… Alors qu'Assisteo sera lancée à 39,99 € (format 24 cm) et à 79,99 € (en set de deux poêles), Tefal assure que, de son côté, Assisteo Connect ne "devrait guère être plus chère".
Lire la suite : Téfal prépare sa première poêle connectée
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La traditionnelle cafetière-filtre s'invite dans les foyers français depuis 50 ans maintenant, ce qui semble inspirer Russell Hobbs dont la nouvelle gamme est résolument "Retro". Si, à première vue, la Retro 21702-56 semble se démarquer uniquement par son look d'antan, cet appareil ne fait pas l'impasse sur certaines fonctions et notamment sur le système d'extraction relativement innovant. En effet, la "douchette" embarquée est — selon le constructeur — "une technologie avancée qui agit pendant la phase d'extraction, afin d'améliorer le processus et l'arôme du café". Commercialisée aux alentours de 79 €, cette cafetière-filtre de milieu de gamme embarque un réservoir d'eau d'une contenance de 1,25 l capable d'assurer la préparation de 10 grandes tasses et 15 petites, un porte-filtre amovible mais non pivotant, un système anti-goutte ainsi qu'une fonction de maintien au chaud jusqu'à 40 minutes.
Certains apprécieront le look rétro de cette cafetière, d'autres diront qu'elle en fait peut-être trop. Entre les deux, notre cœur balance. Nous apprécions toutefois ses dimensions relativement compactes qui lui permettent d'intégrer facilement les cuisines les plus exiguës. Son poids plume lui permet également de trôner sur une étagère. Néanmoins, l'usage du plastique à outrance lui donne un petit côté dînette. Nous nous interrogeons sur la pérennité de tous les éléments soumis aux nombreuses manipulations sur le long terme. En effet, certains d'entre eux craquent un peu lorsque nous les sollicitons, ce qui est particulièrement le cas du capot de la machine, recouvert d'un plastique noir.
Le réservoir d'eau réparti sur les deux côtés de la machine profite d'une contenance de 1,25 l assurant la préparation de 10 grandes tasses et 15 petites. Ce dernier est bien gradué — autant que la verseuse en verre d'ailleurs —, ce qui permet à l'utilisateur de visualiser rapidement le niveau d'eau. Son remplissage s'effectue assez aisément en soulevant le capot noir.
Lire la suite : Test : Russell Hobbs Retro 21702-56 : un look vintage, une configuration classique
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Bien sûr, SFR n'a pas écopé de reproches étalés de manière homogène sur tous les fronts. Du côté de la mobilité, les réclamations n'ont bondi "que" de 72 % en un an. C'est donc sur le front du fixe, en particulier, que le mécontentement a explosé : +166 % selon les chiffres de l'Afutt. L'opérateur a par ailleurs quelques spécialités. Pour ce qui est des dénonciations de clauses contractuelles illicites, par exemple, il cumule à lui seul 73 % des plaintes du secteur. 68 % des réclamations visant un service client sont en outre tournées vers le sien. Enfin, les deux tiers (66 %) des litiges nés à la suite d'offres promotionnelles sont à mettre à son crédit.
Rappelons qu'en octobre dernier, 60 Millions de Consommateurs s'est pour sa part penché sur le niveau de satisfaction des clients SFR. Il est ressorti de l'étude que 38 % des abonnés étaient peu ou pas du tout satisfaits des prestations fournies, et que seulement 4 % se disaient très satisfaits, à des lieues des statistiques affichées par la concurrence.
Lire la suite : SFR : le nombre de plaintes a bondi de 120 % en 2016
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Vertu promet également une "acoustique exceptionnelle" obtenue grâce aux haut-parleurs stéréo et au traitement du son surround virtuel Dolby Digital Plus. Attention cependant, d'après nos collègues de la rubrique Audio, l'intérêt du Dolby Digital Plus sur un smartphone n'est pas prouvé. Mélomanes fortunés, prudence, donc ! Les performances multimédias devraient se situer dans le haut du panier : animé par une puce mobile quadricœur Qualcomm Snapdragon 820 cadencée à 2,15 GHz et 4 Go de RAM, le Constellation doit rendre la navigation et les jeux fluides. Photos, son et applications sont stockés sur la mémoire interne extensible de 128 Go. Quant à la batterie de Li-ion de 3 320 mAh rechargeable par induction, elle paraît taillée pour de longues journées d'utilisation.
Lire la suite : Vertu dévoile son smartphone de luxe Constellation à 4100 €