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Si 2016 fut une année riche en jeu vidéo, 2017 s'annonce également bien fournie en titres de qualité, quelle que soit la plateforme. Voici les dix jeux que nous attendons le plus.
Tandis que PlayStation 4 comme Xbox One ont atteint leur vitesse de croisière et que le PC reste une plateforme de jeu vidéo solide, 2017 marque aussi le retour de Nintendo dans la course avec sa nouvelle Switch, attendue pour le 3 mars prochain. Une console une nouvelle fois en décalage avec ses concurrentes, qui ne peut qu'apporter un peu plus de diversité. On trouve d'ailleurs d'ores et déjà deux jeux Nintendo en bonnes places dans notre classement, qui accueille également trois exclusivités PlayStation 4. Voici donc, sans plus attendre, les dix titres qui nous font particulièrement de l'œil, à commencer par les trois jeux attendus pour le mois de mars et un quatrième qui vient d'être annoncé pour début mai.
Horizon Zero Dawn
C'est donc une exclusivité PlayStation 4 qui ouvre le bal. Horizon Zero Dawn, la nouvelle production du studio Guerilla Games (Killzone) est attendue pour le 28 février 2017. Ce jeu de type action-RPG nous séduits par son vaste monde ouvert post-apocalyptique dans lequel les machines ont remplacé les animaux et détruit la civilisation humaine. Le scénariste John Gonzalez, qui s'est déjà illustré avec le très bon Fallout : New Vegas, rassure par ailleurs quant à la qualité d'écriture à laquelle on peut s'attendre. S'appuyant sur une version améliorée du moteur de jeu de Killzone : Shadow Fall, Horizon Zero Dawn flatte lui aussi la rétine et devrait mettre en avant la puissance supérieure de la nouvelle PS4 Pro. Le gameplay mêlant action et exploration, mâtinées de quelques aspects "rôlistes", paraît également fort sympathique et les affrontements contre différentes créatures robotiques promettent une belle variété.
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Deux millions de voitures électriques sont actuellement en circulation dans le monde, soit cent fois plus qu'en 2010. Mais quels sont donc les critères qui poussent à l'achat d'un véhicule électrique ? L'écologie ? Les économies de carburant ? Une enquête réalisée au niveau européen analyse les usages et les motivations de ces conducteurs.
Petit à petit, la voiture électrique trace son chemin. En France, pas moins de 93 000 véhicules électriques circulent sur nos routes et ce type de véhicule représente maintenant 1,08 % des ventes d'automobiles neuves. C'est également le pourcentage atteint dans différents pays européens. Mais quelle motivation peut bien animer les conducteurs pour passer à l'électrique ? Conduisent-ils différemment ? Est-ce la fibre écologique ? Ce sont les quelques questions posées par NewMotion, fournisseur de solutions de charge intelligente, à 5 000 utilisateurs européens
L'enquête révèle que la majorité des conducteurs sont des hommes (82 %) âgés de plus de 41 ans (82 %), c'est-à-dire un peu plus jeunes que la moyenne (55 ans) des personnes acquérant un véhicule neuf de type combustion thermique. 92 % des utilisateurs d'une voiture électrique sont mariés ou en concubinage et 94 % vivent dans un foyer comprenant au moins deux personnes.
Une économie de carburant importante
Lorsque l'on interroge les possesseurs d'une voiture électrique sur leurs usages, 57 % d'entre eux affirment utiliser leur véhicule pour se rendre à leur travail. Malgré un surcoût à l'achat (hors installation d'une prise de courant dédiée), ces utilisateurs indiquent qu'ils gagnent de l'argent puisque 25 % des sondés estiment qu'ils économisent jusqu'à 60 % des frais de transport mensuels par rapport à un véhicule à essence. D'ailleurs, NewMotion a comparé point par point une Renault Clio IV 2017 essence (modèle Energy Intens 0.9 TCE 90) et une Renault ZOE (électrique). La différence est flagrante en ce qui concerne le coût du carburant, puisqu'à l'année, les pleins d'essence de la Clio reviennent à 1 145 €, contre 339 € de facture d'électricité pour la ZOE, soit un écart de 806 € en faveur de l'électrique.
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La DM1 Pro S fait dans la sobriété et adopte volontairement une forme assez classique, appréciée de nombreux utilisateurs. Le design de la souris est en revanche sans grande originalité, à l'exception de son câble tressé rouge et noir (1,8 m) et du logo rétroéclairé sur la coque.
Cette nouvelle venue sino-polonaise — conçue en Pologne, fabriquée en Chine — fait d'ailleurs furieusement penser à la Sensei du fabricant SteelSeries ! Une ressemblance troublante, car de la forme de la coque aux patins PTFE, en passant par le bouton de changement de sensibilité légèrement triangulaire, tout fait penser à une Sensei que l'on aurait légèrement modifiée pour en faire une autre souris. Ses dimensions sont même identiques : 126 x 68 x 39 mm. Un gabarit moyen qui convient cependant à toutes les prises en main.
Entièrement noire et mate sur notre modèle de test, la coque en plastique soft-touch est agréable au toucher. Elle ne propose en revanche aucun jeu de textures, puisque les tranches sont habillées du même matériau qui peut s'avérer un peu glissant et présente l'inconvénient de se salir assez vite dès que les mains sont un peu grasses.
Ce n'est toutefois rien en comparaison de la version noire brillante qui se couvre de traces en un rien de temps — mains propres ou pas. Les finitions sont pour leur part correctes, mais les ajustements perfectibles.
La DM1 Pro S Glossy, pour ceux qui aiment quand ça brille. Nous avons volontairement laissé la souris telle que l'on peut la trouver après quelques heures d'utilisation (avec les mains propres), à savoir couverte de traces de doigts. Le plastique brillant est néanmoins ici de qualité et ne fait pas toc.
Malgré l'absence de revêtement antidérapant sur les tranches, la préhension de la DM1 Pro S est bonne et il est aisé de soulever la souris. Elle est en effet très légère (85 g) et les tranches incurvées permettent une bonne position des doigts.
En revanche, si la DM1 Pro S reprend beaucoup d'éléments de la Sensei, jusqu'à sa forme parfaitement symétrique qui la rendrait théoriquement ambidextre, elle ne propose pas de boutons sur la tranche droite, négligeant donc les gauchers ! Ces derniers seraient de toute manière bien ennuyés, car Dream Machines ne propose pas de logiciel pour changer la fonction des boutons et il ne serait donc pas possible d'inverser les commandes facilement.
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Présenté en même temps que la souris Siege M04 qui s'inscrit dans la même gamme Sound BlasterX, le Vanguard K08 est le premier clavier mécanique de la marque Creative et se positionne assez clairement sur le haut de gamme.
Creative fait ici confiance au fabricant Omron pour les commutateurs de son clavier, comme l'a déjà fait Logitech dans le cadre d'un partenariat pour développer ses commutateurs Romer-G. Ces derniers possèdent d'ailleurs des caractéristiques identiques à celles des commutateurs utilisés sur le Vanguard K08, avec notamment un point d'activation à 1,5 mm sur une course totale de 3,5 mm, une force de 45 cN requise pour l'activation et une garantie de 70 millions d'activations.
Le rétroéclairage RGB est par ailleurs personnalisable et géré touche par touche. En revanche, contrairement à Logitech qui a choisi de n'illuminer que le sommet de la touche, bien aidé en cela par la très bonne directivité des commutateurs Romer-G/Omron qui accueillent la led en leur centre, Creative s'inspire de Razer et éclaire aussi la base des touches, pour un effet lumineux plus voyant.
En plus des 105 touches habituelles, le Vanguard K08 propose 5 touches macros sur le côté gauche, pour un total de 109 touches personnalisables — la touche FN est probablement exclue. Il intègre également des touches multimédias dédiées sur sa partie haute ainsi qu'une molette de réglage du volume sonore.
Question confort pour finir, le Vanguard est accompagné d'un repose-paumes amovible. Un port USB est également présent pour brancher une souris ou une clé USB, par exemple.
Le Sound BlasterX Vanguard K08 sera commercialisé au tarif conseillé de 179.99 € sur la boutique en ligne du fabricant, à une date encore non précisée
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