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Dans ses plus récents albums, Beyoncé s'engage fortement auprès de la culture africaine, et devient une véritable plateforme pour sa diffusion au grand public. Flickr

Comment Beyoncé a contribué à la diffusion des cultures africaines

Dans ses plus récents albums, Beyoncé s'engage fortement auprès de la culture africaine, et devient une véritable plateforme pour sa diffusion au grand public. Flickr
James Chikomborero Paradza, University of Pretoria

Beyoncé vient de sortir son septième album studio solo, intitulé Renaissance (2022). L’album, qui crée l’événement dans la culture populaire mondiale, est le premier d’un projet en trois parties. Son précédent opus, l’album visuel Black is King (2020), a été réalisé en collaboration avec de nombreux artistes africains.

La pochette de l’album Renaissance, sorti le 29 juillet 2022. Flickr

Renaissance rend hommage à la dance music noire et met à nouveau en vedette des artistes africains, dont l’autrice-compositrice-interprète nigériane Tems, qui connaît son propre moment de gloire.

Dans l’histoire, la Renaissance (XIVe siècle au XVIe siècle) se caractérise par la volonté de retrouver la grandeur culturelle du passé gréco-romain et le renouveau de l’érudition en Europe après une période de stagnation. Aujourd’hui encore, l’art (peinture, musique, mode) influence la façon dont les gens s’habillent et se comportent, ce qu’ils choisissent d’afficher et de dire, et la façon dont ils se perçoivent eux-mêmes et perçoivent la société.

Au cours des trois dernières décennies, Beyoncé a joué un rôle majeur dans le façonnement de la culture populaire mondiale. Elle n’a cessé de donner du pouvoir à ses auditeurs et de susciter des débats, et les paroles de ses chansons ont souvent été citées dans des discussions sur des questions de société. Son point de vue sur la monogamie dans l’album Dangerously in Love (2003), par exemple, offre un contre-récit à la représentation patriarcale de l’hypersexualité chez les femmes noires.

Sur Lemonade (2016), Beyoncé utilise des genres musicaux très divers, qui dépassent les stéréotypes associés habituellement à une artiste noire. Ce faisant, elle questionne les mécanismes de discrimination dont elle est victime. Sur Black is King, elle témoigne d’une renaissance des formes d’art africain à une époque où les normes culturelles dominées par la pensée occidentale sont en déclin et où l’Afrique est une étoile montante dans la culture populaire.

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Dans cet article, je souhaite démontrer que tout au long de sa carrière, Beyoncé a contribué à un renouvellement des récits dans la musique populaire et, ce faisant, s’est engagée de manière significative dans la culture et la musique africaines.

Collaborations africaines

Beyoncé a associé divers artistes africains à ses projets et les a souvent présentés au public international. Avant Black is King, on peut citer la poésie de Warsan Shire, originaire du Kenya, sur Lemonade, une citation de la romancière nigériane Chimamanda Ngozi Adichie sur

(2013) et une chorégraphie de Tofo Tofo, qui est un groupe de danse basé au Mozambique, dans la vidéo de
.

Bien que les cultures du continent africain ne soient pas aussi présentes que sur Black is King, Beyoncé a également fait appel à des artistes africains sur Renaissance, notamment sur la chanson « Move », dont le style s’inspire des Afrobeats et sur laquelle figurent P2J (Nigeria) et GuiltyBeatz (Ghana) en tant que producteurs, ainsi que Tems en tant qu’autrice et interprète.

Tems (Temilade Openiyi), une vocaliste polyvalente, s’est fait connaître après avoir collaboré sur

(2020) de la star nigériane WizKid. Sa discographie traverse différents genres, notamment le R&B alternatif, la néo-soul et l’afropop. Son premier single « Mr Rebel » (2018) montre ses talents de R&B (à la fois en tant que productrice et chanteuse), tandis que son featuring de 2021 sur
du rappeur canadien Drake montre sa capacité à transmettre des émotions à travers sa voix.

Le nom de Tems est sur toutes les lèvres depuis la sortie de la

du deuxième opus du film Black Panther, dans lequel elle reprend No Woman, No Cry de Bob Marley. Elle a contribué au populariser et renouveler notre perception de l’afropop et de la musique africaine commerciale.

Black is King

« Je crois que lorsque les Noirs racontent leurs propres histoires, nous pouvons changer l’axe du monde et raconter notre VRAIE histoire de richesse générationnelle et de richesse d’âme qui n’est pas racontée dans les livres d’histoire. »

Black is King, le précédent album de Beyoncé, est une célébration des traditions africaines avec une touche moderne. Dans cet album visuel, elle adopte une optique d’inspiration panafricaine et intègre des éléments provenant de plusieurs pays africains. Elle s’associe à divers acteurs, réalisateurs, designers, chorégraphes et musiciens africains, mettant ainsi en lumière la diversité culturelle du continent.

Image issue de l’album visuel Black is King. Flickr

Les téléspectateurs sont exposés à des éléments allant de genres musicaux comme l’afrobeats (Nigeria) et le gqom (Afrique du Sud) à des styles de danse populaires comme le

(Ghana) et le
(Nigeria). Elle montre aussi des paysages venant de tout le continent.

Il ne faut pas attribuer à Beyoncé l’invention de ces éléments, ni même lui attribuer tout le crédit pour les avoir popularisés. Ils existaient et étaient appréciés bien avant qu’elle ne commence à les montrer. Cependant, on ne peut nier le rôle déterminant que Beyoncé a joué dans la mise en avant de ces éléments dans la culture populaire mondiale, grâce à son statut de star internationale.

En outre, l’album visuel donne une représentation plus fidèle du continent africain et de sa diversité que d’autres œuvres qui s’inspirent des cultures africaines dans la culture populaire mondiale. Black is King a introduit un renouveau de l’image de l’Afrique dans les médias populaires et a donné du pouvoir à de nombreux Africains et Noirs, qui se sentent enfin mieux représentés dans la culture populaire dominante.

Renaissance

Beyoncé a une fois de plus incorporé un élément de renouveau dans Renaissance. À travers les 16 titres de l’album, elle emmène les auditeurs dans un voyage avec l’intention déclarée de créer un espace sûr, exempt de jugement, de perfectionnisme et de réflexion excessive. Les auditeurs sont exposés à la musique du Studio 54, issue de l’ère disco des années 1970, avec des transitions sans effort vers des genres plus contemporains (pop, R&B et house).

Les débuts du disco ont été influencés par le funk, la soul et le jazz de la fin des années 1960, et ont combiné ces styles avec des technologies telles que les synthétiseurs, les enregistrements multipistes et les boîtes à rythmes. Cela a donné naissance à une forme somptueuse et décadente de musique pop axée sur la danse, caractérisée par un rythme régulier et des voix proéminentes, haut perchées et associées à des effets de réverbération. Le genre a connu son apogée entre 1975 et début 1979, avec des artistes tels que Donna Summer et Gloria Gaynor qui dominaient le palmarès musical.

Sur le titre bien nommé Renaissance, Beyoncé a remis ce style au premier plan de la culture pop, le faisant découvrir à de nombreux jeunes auditeurs. Dès le premier single Break My Soul, les auditeurs sont exposés à l’omniprésence du style dance-pop et house de l’album. Beyoncé intègre avec succès des genres musicaux tels que la pop, la house électronique, l’afrobeats, la trap et la soul, pour n’en citer que quelques-uns, en combinaison avec diverses influences disco. Les paroles de l’album dépeignent un sentiment général d’amour de soi et de fierté. Cela ressemble à la musique de l’une des artistes pop les plus importantes d’Afrique du Sud et du continent, Brenda Fassie (1964-2004).

Tout au long de sa carrière, Fassie, l’une des reines de la pop africaine, a fait de la musique disco et pop influencée par son expérience dans les ghettos noirs. Sa musique emblématique racontait l’histoire des Sud-Africains noirs à l’époque de l’apartheid.

Le travail de Beyoncé, tout au long de sa carrière, sert de plate-forme aux artistes africains sur la scène mondiale, en utilisant divers genres musicaux pour contrer les stéréotypes liés aux musiciens noirs et renouveler les récits associés à leurs réalités. Son dernier album continue dans cette voie en présentant aux nouveaux auditeurs un renouveau du disco avec une touche contemporaine.


Cet article a été traduit par Eléonore Roussel.

James Chikomborero Paradza, Doctor of Music Candidate, University of Pretoria

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

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La rappeuse Shay dans son clip « Da ». 

Les femmes dans le rap sont-elles enfin Validées ?

La rappeuse Shay dans son clip « Da ». Youtube
Marie Sonnette, Université d'Angers

Validé, Nouvelle école, Reines, Diana Boss ou encore Salam ! : durant la saison médiatique 2021-2022, le grand public a pu découvrir un grand nombre de séries et documentaires mettant en scène des rappeuses. Dans les fictions, ce sont des artistes aguerries qui tiennent les rôles. Lalpha (Validé, saison 2, Canal+) est interprétée par Original Laeti, Malika (Diana Boss, France TV Slash) par Moon’A.

Dans les documentaires, on retient également la visibilisation de rappeuses – comme les auteures-interprètes du

dans Reines, pour l’amour du rap et comme l’incontournable Diam’s dans le très attendu Salam ! qu’elle a présenté à Cannes après plusieurs années de retrait de la vie publique. Enfin, c’est le télé-crochet Nouvelle École (Netflix), qui fait une petite mais notable place aux candidates féminines.

De quoi cette visibilisation est-elle le nom ? Présage-t-elle une nouvelle place de tête d’affiche des femmes dans le rap ou est-elle le signe d’un intérêt accru d’acteurs extérieurs au secteur professionnel du rap pour une question souvent débattue : où sont les femmes dans le rap ?

Le rap est-il une musique par et pour les hommes ?

Pour répondre à cette question, il faut regarder la construction de l’image sociale du rap durant ses quarante années d’existence en France. Comme nous l’écrivons avec Karim Hammou au sein de l’ouvrage 40 ans de musiques hip-hop en France paru en juin 2022, l’exploitation des musiques hip-hop au début des années 1990 a fonctionné selon des logiques de division sexuée du travail artistique. Parmi les genres musicaux rattachés aux musiques hip-hop, le rap parait être une musique d’hommes tandis que le RnB serait une musique de femmes :

« Ce phénomène s’explique notamment par des considérations liées aux hiérarchies normatives caractéristiques des contre-cultures musicales […]. Le rap français est associé à la contestation, à l’anticonformisme, mais aussi à la virilité, tandis que l’image du RnB renvoie à la séduction, à la « culture des sentiments », et à la féminité. »

Des processus de dévalorisation des femmes et du féminin, associés au mainstream, affectent alors les artistes et les œuvres. Ils s’observent dans les discours des amateurs des musiques hip-hop, comme le montrent les travaux de Paulo Higgins sur le soupçon de manque de compétence des publics femmes et queer de rap mais aussi dans les représentations véhiculées par la critique musicale comme l’a montré Karim Hammou en comparant la réception critique de Diam’s et de Booba.

Une surreprésentation des hommes en déclin ?

Mais alors, factuellement, quelle est la part des femmes dans le monde du rap ? L’enquête sur les pratiques culturelles des résidents en France de 1997, menée par le ministère de la Culture, indique une surreprésentation des hommes dans les publics du rap.

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Cependant, cette surreprésentation décline comme le montrent Karim Hammou et Stephanie Molinero. En 1997, 70 % des personnes qui déclarent écouter du rap sont des hommes, en 2018, ce chiffre est de 57 %.

Les artistes de rap eux, demeurent très majoritairement des hommes, et plus ils rencontrent du succès commercial, plus cette masculinisation se confirme.

De 1990 à 2004, on comptait sur la production totale d’albums de rap moins de 5 % d’albums publiés par des rappeuses, et cette tendance ne semble pas avoir été profondément remise en cause dans les vingt dernières années comme le relève Karim Hammou dans un article à paraître « “J’suis une femme d’affaire/viens m’faire le café”. L’articulation des rapports de pouvoir dans la mobilité sociale des rappeuses françaises des années 1990 », (Biens Symboliques/Symbolic Goods, 2022).

Sur les quelque 1 450 artistes les plus primés et invités au sein de médias culturels généralistes identifiés dans nos travaux, les deux tiers sont des hommes, tous genres musicaux confondus (variétés, chanson, pop, rock, rap, RnB…).

Du côté du rap, la grande majorité des artistes sont des hommes : 83 % pour les rappeurs anglophones, 89 % pour les rappeurs francophones.

La féminisation du monde professionnel du rap semble donc relativement plus faible que celle du reste du monde de la musique. Cependant, ce dernier est lui-même fortement inégalitaire et la présence des femmes à des positions visibles et valorisées est marginale dans l’ensemble des professions musicales comme nous le faisions déjà remarquer avec Severin Guillard en 2020.

Médiatiser les carrières de femmes dans des mondes masculins

L’intrigue de la série Diana Boss explore cet enjeu : comment les femmes peuvent-elles faire carrière au sein de milieux professionnels masculins, que ce soit en tant qu’avocate dans le monde juridique ou en tant qu’artiste dans le monde du rap ?

Série Diana Boss, France TV Slash.

La mise en parallèle de ces deux secteurs est convaincante : la place des femmes n’est jamais acquise dans les professions socialement valorisées.

La double ou triple stigmatisation dont certaines font l’épreuve (en tant que femmes, non blanches, voire issues de classe populaire) rend particulièrement difficile leur existence à une place publique et consacrée.

C’est ce que reproche par exemple la rappeuse Le Juiice dans le documentaire Reines, pour l’amour du rap (Canal+) :

Coller à une image

Les rappeuses rapportent les efforts demandés par les maisons de disques par exemple coller à une image perçue comme féminine que les professionnels de l’industrie imaginent être attendue par les publics.

Le style vestimentaire est travaillé avec des stylistes et le genre esthétique peut être imposé par les directeurs artistiques. C’est ce que met en scène et interprète le réalisateur et comédien Franck Gastambide dans la série Validé : son personnage de producteur refuse, dans un premier temps, de participer à la création d’un album de rap pour une femme.

Selon lui, Lalpha devrait chanter « un truc plus pop, plus entraînant, un peu plus féminin » (épisode 3). À nouveau, tout indique que le rap serait pour les hommes tandis que le chant tendance RnB reviendrait aux femmes. La tentative de « lissage » de Lalpha, y compris physique, avec un look « ni trop sexy, ni trop street » (épisode 2), décrit grossièrement les injonctions auxquelles les femmes doivent faire face dans le monde du rap.

En visibilisant les femmes du rap, ces séries ne représentent certainement pas la réalité du monde social mais ont eu le mérite – au moins – du publiciser quelques obstacles récurrents que les femmes rencontrent lorsqu’elles souhaitent faire carrière.

Nouvelle école et vieilles rengaines

En juin 2022, les publics du rap ont pu être heureux de (re)découvrir des rappeuses en suivant le télé-crochet à succès Nouvelle école (Leys, Soumeya, KT gorique et d’autres), ainsi que de suivre Shay, une des seules femmes certifiée disque d’or, en tant que membre du jury.

Le programme diversifie, pour une fois, la représentation du rap performé par des femmes, qui n’est pas réduit à un seul parangon, comme cela a pu être le cas au sein de projets chorales antérieurs, qui soit ne s’embarrassaient pas des femmes, soit n’en convoquait qu’une seule.

Toutefois, les vieilles antiennes reviennent au galop : des extraits particulièrement parlant indiquent que ni la production, ni les acteurs du programme n’ont eu une attention particulière à positionner les femmes dans un rapport paritaire et égalitaire.

Dans l’épisode 1, la production organise l’audition de la rappeuse Leys en extérieur au cœur d’un grand ensemble de la ville d’Évry, face à deux jurys, une quinzaine d’auditeurs et un autre candidat, tous masculins. Alors que la rappeuse performe un couplet dans cette ambiance intimidante, le membre du jury Niska la met en garde :

« Je suis surpris quand même. Tu sais, on voit pas beaucoup de femmes dans le rap, mais franchement l’assurance, la technique, la musicalité est là. Là où ça va être difficile pour toi, tu le sais, c’est un milieu de requin, c’est très masculin malheureusement, donc il va falloir faire la différence. C’est bien le rap, mais il va falloir proposer d’autres couleurs. »

Le conseil se fait prophétie autoréalisatrice : le programme semble regretter une situation qu’il produit lui-même. Par la suite, les rappeuses sont mises en position de concourir entre elles pour le titre de meilleure rappeuse et non pas de meilleur?e artiste de rap : SCH dira à la rappeuse KT Gorique « tu vas donner du fil à retordre à ta concu’ féminine » et se verra répliquer « pas qu’à la concu féminine » par la candidate soutenue par Shay.

Enfin, les spectateurs n’auront pas manqué de relever la présence de Niska, un des trois membres du jury, pourtant accusé de violences conjugales.

Comme dans tous les autres milieux professionnels, le rap ne semble ni échapper à son #MeToo, ni à l’absolution accordée à une partie des hommes accusés de violences sexistes et sexuelles.

Si cette séquence médiatique ne se conclut pas par le succès dans l’industrie du disque de nombreuses rappeuses, elle met au jour les entraves qui leur sont faites. Et surtout, elle a participé à la découverte grand public de nombreux profils à suivre et écouter : Turtle White, Chilla, Vicky R, Bianca Costa, Davinhor, et toutes les rappeuses déjà citées ici.

Marie Sonnette, Maîtresse de conférences en sociologie, Université d'Angers

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

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