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FNAC Harry's House Exclusivité Fnac Vinyle Jaune





Harry's House Exclusivité Fnac Vinyle Jaune prix Album Vinyle Fnac FNAC 29.99 € TTC - Harry's House est le troisième album studio solo de Harry Styles et sa première sortie musicale depuis Fineline, son deuxième album sorti en 2019. Ce nouveau projet de 13 titres a été enregistré entre plusieurs villes du Royaume-Uni, ainsi qu’à Los Angeles et à Tokyo, de 2020 à 2021. Il a été écrit par Harry aux côtés de ses collaborateurs réguliers Kid Harpoon, Tyler Johnson et Mitch Rowland. As It Was est le premier single extrait de Harry’s House. Le clip est une collaboration entre Harry et la réalisatrice ukrainienne nommée aux GRAMMY Awards, Tanu Muino.

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Kalush Orchestra, candidat de l'Ukraine au concours Eurovision de la chanson 2022, se produit devant des réfugiés juifs ukrainiens lors d'un spectacle dans un hôtel de Jérusalem, le 5 avril 2022. AFP

Stéphane Resche, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)

Les élections présidentielles françaises sont à peine terminées et voilà que deux nouvelles échéances pointent le bout de leurs urnes. La première concerne les législatives, annoncées désormais par certains candidats malheureux comme un troisième tour, évidemment décisif, en vue du renouvellement des représentants des citoyens. Et l’évènement d’être d’ores et déjà autant relayé que les campagnes d’avril…

La seconde échéance est internationale : l’Eurovision Song Contest, anciennement Concours Eurovision de la Chanson, dont la 66? édition aura lieu cette année à Turin. La finale rassemblera médiatiquement environ 200 millions d’êtres humains. Elle reste pourtant reléguée aux faits divers de la dernière page culturelle de la partie congrue de la presse grand public.

Votes en stock

Certes, il pourrait sembler indécent surtout en ce moment de crises en escadrille de mettre en regard d’une part de vraies élections politiques (aux programmatiques enjeux sociétaux, économiques, écologiques où même les droits et les devoirs de chacun se voient mis en concurrence), et d’autre part le plus vieux télé-crochet de l’ère radio-télévisuelle (pour lequel on vote au mieux par fanatisme, mélomanie, ou pur plaisir de la moquerie). Néanmoins, on est en droit aussi de se demander pourquoi une retrouvaille d’une telle ampleur reste boudée par les grands titres et son public de lecteurs et auditeurs. L’ESC est en effet une caisse de résonance des enjeux internationaux majeurs : conflits latents ou en cours, modernité culturelle et puissance économique des sociétés, image des communautés issues des différentes diasporas au sein des pays du bloc européen occidental, représentativité des communautés LGBTQIA+ dans des pays plutôt hésitants sur la question, pour ne citer que quelques-uns des thèmes qui ont accaparé ces dernières années la littérature d’Eurovision.

Mais alors, pourquoi ne s’y intéresse-t-on pas ? Certains diront que l’ESC n’est qu’un pur divertissement et que la politique n’a rien à voir là-dedans, sanctionnant ainsi son inadéquation journalistique. Ne s’émeut-on pas pourtant lorsque l’équipe de football des États-Unis affronte celle de l’Iran aux Championnats du monde de Football, ou quand la Grèce dame le pion aux Allemands à l’Euro, ou encore lorsque les drapeaux ukrainiens flottent au-dessus des podiums des Jeux Olympiques d’hiver chinois, organisés sur neige artificielle en pleine période de désastre écologique ? De fait, l’Union européenne de radiotélévision – conceptrice et organisatrice de l’ESC – a été la première grande institution internationale à se positionner sur la brûlante question du conflit russo-ukrainien et sur le traitement à réserver aux délégations russes. Si la primeur ne fait pas le monopole, on peut tout de même remarquer, du moins en France, une différence de considération flagrante : d’un côté une institution populaire diffusée en mondovision, constamment ignorée, de l’autre n’importe quelle compétition de sport – tenez, les fléchettes par exemple ! – qui, malgré tout le respect qui lui reviendrait, est diffusée et commentée sur des chaînes dédiées.

Un laboratoire sociopolitique insoupçonné

L’ESC pourrait constituer un lieu d’expérimentation idéal pour repenser le vivre ensemble dans un monde globalisé. À l’heure où revient sur le devant de la scène la question de la gouvernance exécutive de l’Europe communautaire (déjà unifiée par la monnaie, son parlement et ses divers conseils, et dont on dit qu’elle ferait bien d’être militarisée), on peut déceler dans l’ESC des manières innovantes d’appréhender les modalités d’expression et de sélection de représentants à l’échelle continentale.

Prenons par exemple le vote du concours au sens large : il nous invite à relire nos affinités électives. Nous pourrions comparer la finale de l’ESC à une élection à proprement parler, élection qui rassemble une bonne quarantaine de nations. Sans revenir sur l’histoire haletante des modalités de vote du concours, qui ont beaucoup changé au cours des décennies, précisons seulement qu’aujourd’hui que le scrutin est équilibré en tant qu’il est pondéré par deux types d’électeurs : le gagnant est en effet désigné à 50 % par la somme des notations conjointes de jurys nationaux et à 50 % par un savant calcul issu exclusivement des préférences du public international du programme.

Et si cette modalité était appliquée à une élection politique, par exemple européenne ? On pourrait ainsi élire de la sorte une Présidente de l’Union ? Ou à l’inverse, le Président français, en offrant 50 % de la puissance du vote aux pays voisins et frontaliers directs ? Ou simplement appliquer cet équilibre moitié-moitié à notre contrée, en constituant un jury présélectionné. Cette option serait probablement interprétée comme un retour en arrière, car on voit bien que les discussions actuelles autour de la proportionnalité – notamment lors des législatives – penchent plutôt en faveur d’une correspondance stricte entre les préférences exprimées et les représentants sélectionnés.

Vent nouveau

Finalement, c’est en amont du concours que l’on peut flairer un souffle réformateur. Peut-on imaginer que le vote qui aura lieu samedi 14 mai 2022 a en réalité été précédé d’une multitude de tours de chauffe à l’échelle nationale ?

En effet, les clubs OGAE (Organisation générale des amateurs de l’Eurovision) de chacun des pays membres de l’UER qui participent au concours réalisent chaque année au printemps leurs previews. Il s’agit d’une sorte de répétition générale du décompte fatidique de la finale, où chaque Eurofan, tel un juré haut placé, jauge ses préférences à l’aune des réalités artistiques et de la dynamique de groupe. C’est un peu comme si, avant le premier tour de la présidentielle, et dans chaque région française, on demandait à des personnes engagées politiquement, dans un parti ou juste localement, de se prêter à un jeu d’autorévélation.

Ainsi, imaginez qu’on propose, au hasard, à un fervent révolutionnaire de se mettre dans la peau d’un conservateur invétéré, ou à un écologiste chevronné dans celle d’un progressiste saint-simonien, le temps d’une journée. Leur mission déguisée ? Écouter l’ensemble des programmes des candidats à l’élection et, en fonction de leur nouvelle et provisoire identité politique, leur donner une note, une voix, avant de dépouiller l’ensemble des avis et d’en discuter autour d’un verre de l’amitié. Voilà donc ce que font les Eurofans aguerris dans chaque pays eurovisionnesque ce qui, en plus de donner du grain à moudre aux bookmakers qui font leur blé sur l’issue de l’ESC, les entraîne à penser comme l’autre, à aimer comme son voisin et, finalement, à l’écouter.

Du pouvoir des réseaux sociaux

L’Eurovision manque peut-être de considération, mais les fans du concours sont eux remarquables dans leur propension à consolider leur identité de groupe. Comme un cas d’école, ils promeuvent et symbolisent à la fois le crédo qui les porte : « Celebrate Diversity »… ou « Building Bridges » c’est selon, comme le montre l’évolution des slogans des commerciaux d e la marque Eurovision qui a pris un tournant évident il y a une dizaine d’années. Les réseaux sociaux reflètent à leur tour cette politisation de l’ouverture à l’autre, comme en témoigne le hashtag #EurofansAreBeautiful qui s’est imposé cette année comme un espace de revendication clair de la validité autoproclamée de l’appréciation du concours, devenue à son tour un moyen d’affirmation de soi. C’est d’ailleurs un créneau similaire qu’ont pris certains médias autonomes – webradios, podcasts, revues en ligne. Aux côtés de sites spécialisés comme eurovision-quotidien.com figurent désormais des formats audio réguliers comme 12points, l’un des premiers podcasts francophones qui mêle tonalité caustique, précisions historiques et approche scientifique, en accord avec ce qu’est devenu fièrement le Concours Eurovision : une fête cosmique où le monde devient village, un exutoire bon enfant où railler son voisin n’est en réalité qu’un moyen de mieux apprécier ses différences, le tout en chantant.

Stéphane Resche, PRAG (PhD) / Associate researcher, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

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FNAC The Rolling Stones Live At The El Mocambo Édition Limitée Coffret





The Rolling Stones Live At The El Mocambo Édition Limitée Coffret prix Album Vinyle Fnac FNAC 87.99 € TTC - Lorsque les Rolling Stones s’empare de la scène du club El Mocambo à Toronto les 4 et 5 mars 1977, les 300 personnes de l’assistance en reste médusées. Le concert tenu secret jusqu’à l’apparition du groupe sur scène fait la une et relance la tournée mondiale en cours. Du Live au El Mocambo nous ne connaissions que les 4 titres présents sur Love You Live, voici pour la première fois le set complet où l’on retrouve le groupe au sommet de son art, avec un répertoire de premier ordre et les classiques au rendez-vous.

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FNAC Scorpions Rock Believer Edition Deluxe





Scorpions Rock Believer Edition Deluxe prix CD Album Fnac FNAC 19.99 € TTC - En février 2022, Les rockers légendaires de Scorpions reviennent avec un nouvel album studio « Rock Believer », composé dans leur studio à Hanovre, durant le confinement. L’album a été écrit et composé avec, plus que jamais, l’envie de coller à l’ADN du Scorpions des débuts, avec des compositions de Schenker et Maine au cœur de ce nouvel opus. « Nous sommes vraiment revenus à l’essence musicale de ce qui a défini Scorpions dès la première heure. », confie Klaus Meine, chanteur du groupe. Les nouveaux titres ont été composés dans une ferveur folle, une énergie nouvelle : « Nous avons enregistré l’album tous ensemble, live, dans une seule pièce comme nous le faisions dans les années 80. Nous avons hâte de commencer à le jouer en live pour nos fans, à nouveau ! ». Le son de ce nouvel album transpose une énergie énorme et inchangée, un réel shoot d’adrénaline et une qualité sonore intransigeante.

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L’album se dévoile à travers de petites histoires, des poèmes en prose, aux sonorités somptueuses se démarquant par la signature musicale des années 80 propre à Scorpions, avec les moyens de productions de 2020.

Loin de se reposer sur ses lauriers, le quintette d’Hanovre n’a jamais oublié de rendre visite aux Français, synonyme de tournées, souvent « sold out » , qui sont toujours passées par de nombreuses villes et festivals de l’Hexagone. Cette fois, le groupe s’arrêtera en France pour 7 dates à Toulouse, Lille, Nice, Amnéville, Clermont-Ferrand et Paris où ils joueront une nouvelle fois à l’Accor Arena, salle où ils avaient été le premier groupe de rock à se produire en 1984.

Les Scorpions feront également une halte à Clisson, en tête d’affiche du Hellfest.

Baptisés « Rock Believer », ce nouvel album et cette nouvelle tournée ne pouvaient porter un meilleur nom.