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Le dernier épisode de la série Gran Turismo se bonifie au fil des mises à jour et accueille régulièrement de nouveaux contenus, qu'il s'agisse de circuits, de voitures, d'éléments de personnalisation, voire parfois d'évolutions de modes de jeu. Pour ce mois de juillet, le studio Polyphony Digital continue sur sa lancée et ajoute gratuitement un nouveau circuit à son jeu de course. Vous roulerez ainsi sur six tracés de la piste d'asphalte de Sainte-Croix, longue de 10 km et qui fleure bon la lavande provençale.
Au menu également, sept nouvelles voitures : Daihatsu Copen Active Top '02, Ferrari 250 GTO CN.3729GT '62, Ford GT LM Spec II Test Car, Honda Beat '91, Honda S660 '15, Mazda 787B '91, et enfin Mercedes-AMG F1 W08 EQ Power+ 2017 en deux teintes différentes.
Du côté des modes de jeu, le gamer trouvera aussi de nouvelles épreuves dans le mode GT League, tandis qu'au niveau de la personnalisation, les casques et combinaisons pourront être décorés avec des autocollants.
Ce nouveau contenu est évidemment accompagné de plusieurs corrections de bogues et d'améliorations diverses que vous pouvez découvrir en détail dans les notes de version de cette mise à jour 1.23 de Gran Turismo Sport.
Puisqu'il fallait sans doute bien trouver un moyen de rentabiliser un peu plus toutes ces mises à jour, on apprend au passage qu'il sera possible, dès le 2 août, d'acheter des voitures avec de l'argent réel en passant par le PlayStation Store. Un moyen onéreux, mais plus rapide d'enrichir sa collection qu'en payant avec les crédits gagnés dans le jeu au fil des courses. Par exemple, il en coûtera 99 centimes pour une Mercedes-AMG GT S '15, que l'on peut acquérir habituellement contre 184 000 crédits. Seules les voitures coûtant moins de 2 millions de crédits seront toutefois proposées à l'achat sur le Store. Bien entendu, rien n'oblige à dépenser, le système d'achat avec les crédits gratuits du jeu restant inchangé.
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Certes, PUBG a lancé la grande mode des Battle Royale, mais il a aujourd’hui été dépassé par l’outsider Fortnite. Nonobstant, le jeu de PUBG Corp. a encore de beaux jours devant lui, comme en témoignent les ventes Steam du mois de juin.
PlayerUnknow's Battlegrounds, ou PUBG pour les intimes, est très loin d'avoir poussé son ultime bit de vie, malgré la domination de Fortnite sur le monde du Battle Royale. Au cours du mois de juin, le jeu de PUBG Corp. s'est vendu à hauteur de 4,7 millions d'exemplaires. Ainsi, PUBG signe son meilleur mois depuis octobre 2017, époque durant laquelle il avait établi son record absolu. Aujourd'hui, il peut se targuer d'avoir été commercialisé à 53 millions d'exemplaires.
Plusieurs facteurs expliquent cette excellente performance. Le prix, tout d'abord, PUBG étant vendu à 20 € au lieu des 30 € habituels, mais aussi l'apparition de nouveautés en jeu. PUBG a ainsi accueilli il y a peu une nouvelle carte qui s'inspire du concurrent Fortnite en réduisant drastiquement l'aire de jeu et en rendant les parties plus nerveuses.
Il faut cependant noter que malgré cette excellente performance, les joueurs continuent de déserter PUBG selon SteamChart, et ce depuis le mois de février. Une baisse qui s'explique par le désintérêt des joueurs, mais également par la volonté de PUBG Corp de bannir tous les tricheurs repérés sur les serveurs.
Malgré ses bonnes ventes, PUBG (qui, rappelons-le, a lancé presque à lui tout seul la mode du Battle Royale) reste loin derrière son concurrent Fortnite, totalement inarrêtable.Free-to-play, plus accessible, et surtout décliné sur quasiment toutes les plateformes, Fortnite est bien installé sur son fauteuil de leader du Battle Royale et continue à battre tous les records. À titre d'exemple, le jeu a été téléchargé plus de 100 millions de fois… sur iOS seulement.
Une popularité qui aiguise l'appétit de la concurrence puisque le mode Battle Royale est en passe de devenir la nouvelle norme. Si de nouvelles licences apparaissent, des sagas très porteuses vont également s'y mettre, comme Call of Duty ou Battlefield qui embarqueront ce mode dans leur prochain volet prévu à la fin de l'année.
Lire la suite : Face au mastodonte Fortnite, PUBG se défend encore bien
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Le Ceol N10 de Denon arbore un design pour le moins minimaliste et compact. Composé ou non d'une paire d'enceintes, il est proposé en trois coloris : gris mat, noir ou blanc. Son autre force principale réside dans les très nombreuses possibilités de connexion qu'il offre. On retrouve en effet une entrée analogique en double RCA, deux entrées optiques, une sortie subwoofer en RCA, une sortie casque, un port RJ45, un port USB, le Wi-Fi, le Bluetooth, un tuner FM/AM ainsi qu'un lecteur CD.
Les fonctionnalités en sans-fil ne manquent pas non plus. Les services de streaming musicaux (Spotify, Deezer, Amazon Music, Napster, SoundCloud, Tidal, etc.) et les webradios sont bien évidemment disponibles, tout comme l'accès à un NAS, le multiroom, mais aussi la compatibilité avec AirPlay 2. Denon surfe aussi sur la tendance des assistants vocaux intelligents en permettant la connexion avec Amazon Alexa. Le Ceol N10 est compatible avec les flux audio suivants : DSD, WAV, FLAC, FLAC HD, ALAC, AIFF, MP3, WMA et AAC.
Si vous choisissez l'ensemble complet, le Ceol N10 sera accompagné de deux enceintes, embarquant un woofer de 12 cm et un tweeter de 3 cm. Voici d'ailleurs les caractéristiques techniques partagées par le constructeur :
Le Ceol N10 arrivera sur le marché au mois d'août 2018 au prix de 299 € seul et 599 € avec les enceintes.
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En particulier, nous nous demandions quel crédit vous accordiez aux marketplaces qui s'ajoutent aux enseignes les plus en vue.
Vos votes traduisent une nouvelle tendance importante : en comparaison avec l'an dernier, les spécialistes en ligne perdent vos faveurs au profit des généralistes ayant pignon sur rue en plus de leurs rayons virtuels.
Seuls deux e-Shoper réussissent à progresser : CDiscount passe de 24 % des suffrages en 2017 à 26 % cette année et Priceminister, renommé Rakuten depuis peu, passe de 7 à 10 %. À l'inverse, Amazon perd 8 points, LDLC perd 14 %, Materiel.net dévisse de 15 % et RDC recule de 3 %.
Et les marketplaces dans tout ça ? Nous ne pouvons pas comparer avec l'an dernier, ils n'étaient pas proposés alors. C'était manifestement un tort : les lecteurs des Numériques font indubitablement un distinguo entre l'enseigne d'origine et son marketplace puisque, si 2 lecteurs sur 3 se disent prêts à commander via Amazon, la proportion chute à 1 sur 12 si l'expéditeur n'est pas Amazon lui-même. L'écart est plus spectaculaire encore entre FNAC Darty et leurs marketplaces, boudés. De fait, on comprend les réticences exprimées quand nous constatons l'attention qu'il faut porter aux pays d'expédition, aux délais extensibles de livraison, aux versions pas toujours européennes livrées, à la TVA qu'il faut soi-même déclarer dans certains cas, aux conditions de garanties variables, etc.
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