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Samsung a annoncé avoir mis au point un écran de smartphone "incassable" qui pourrait peut-être à terme se retrouver sur les mobiles haut de gamme de la marque.
Véritable arlésienne du monde de la téléphonie mobile, l'écran de smartphone incassable est un véritable rêve pour tous ceux qui se sont déjà fait des frayeurs en laissant échapper leur appareil. En 2015, une étude commandée par Motorola estimait qu'au moins 21 % des utilisateurs de smartphone avaient un écran cassé. Pour tenter de remédier à ce problème, Samsung a donc mixé deux technologies, l'écran Oled flexible et le "plastique renforcé".
Plutôt que d'utiliser une couche de verre au-dessus de la dalle comme cela se fait la plupart du temps aujourd'hui, Samsung utilise un plastique de sa conception qui est " léger, profite d'une bonne transmissivité et est particulièrement résistant ", d'après Hojung Kim, directeur général de la communication chez Samsung Display. Le plastique a en effet l'avantage d'être plus flexible lors de choc, et donc moins facilement cassable que le verre — même le verre de saphir devenu à la mode ces dernières années.
Si l'idée d'un écran incassable est plutôt très séduisante, il est peu probable que ce type de technologie arrive tout de suite sur le marché. La production de masse n'est pas annoncée et l'intégration sur des appareils grand public ainsi que les phases de test peuvent prendre de longues semaines. Il est donc très peu probable que le futur Note 9 qui sera présenté dans une dizaine de jours utilise ce genre de technologie. Même le futur S10 qui doit d'ores et déjà être dans les tuyaux de Samsung pourrait faire l'impasse sur cette technologie.
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Sorti il y a près d'un an, Hellblade: Senua's Sacrifice a été salué par la critique pour son parti pris narratif et a par ailleurs rencontré un joli succès avec un million de ventes en moins d'un an. Récemment racheté par Microsoft, son studio créateur Ninja Theory annonce une compatibilité prochaine avec les casques de réalité virtuelle pour PC.
Hellblade: Senua's Sacrifice est un jeu d'action-aventure, dans lequel une jeune femme part à la recherche de son amour disparu, en s'enfonçant dans ce qui semble un enfer viking. Dès les premiers instants, on comprend que l'on s'apprête à vivre une expérience forte, et surtout au plus près de l'héroïne. Jeu très narratif évoquant aussi bien la mythologie que la maladie mentale, Hellblade est un titre marquant, qui pourrait bien avoir encore plus d'impact en réalité virtuelle. Et ça tombe bien, puisque Ninja Theory annonce qu'il sera compatible avec le HTC Vive et l'Oculus Rift, grâce à une mise à jour gratuite pour les possesseurs du jeu, à partir du 31 juillet.
En développement depuis 2015, cette version en réalité virtuelle devrait proposer une expérience très immersive, mais à la fois confortable, et nous sommes surtout curieux de découvrir comment le travail sur le son binaural dans le jeu d'origine sera transposé. Le PlayStation VR ne semble a priori pas concerné par cette annonce, ce qui peut s'expliquer à la fois par le récent rachat de Ninja Theory par Microsoft, mais aussi par la carte graphique recommandée pour faire tourner le jeu à 90 images par seconde (probablement une GeForce GTX 1080 ou une Radeon RX 580 si l'on en croit la fiche Steam).
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Après le Fusion 300 (USB et mini-jack), le Fusion Wireless (sans-fil 2,4 GHz avec dongle USB) et le Fusion 500 (USB uniquement), Asus ROG revient avec le Strix Fusion 700. Ce modèle conserve pratiquement toutes les caractéristiques présentes sur le Fusion 500, que nous avons d'ailleurs testé il y a peu. On retrouve toujours le même look, les oreillettes circum-auriculaires avec rétroéclairage RGB (compatible Aura Sync), le contrôle tactile, les deux paires de coussinets (en similicuir et en tissu), le 7.1 virtuel et le micro rétractable. Sur le papier la seule différence se situe au niveau de la connexion. En plus de la connexion filaire en USB sur PC/PS4, ce modèle offre la connexion sans fil via Bluetooth 4.2. On ne sait pas quels codecs sont compatibles ou s'il est possible de faire une connexion multipoint.
(crédit : Asus ROG)
L'autonomie promise en sans-fil serait de 15 heures, une valeur dans la moyenne de ce que peut proposer la concurrence. Dans la pratique, on espère que cette référence proposera une tout autre expérience en matière de confort et d'expérience, deux points sur lesquels le Strix Fusion 500 pêche tout particulièrement.
(crédit : Asus ROG)
Le casque gaming Asus ROG Strix Fusion 700 est disponible en précommande au prix de 249.90 €.
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Après la série Extreme 510 et Extreme 900, SanDisk inaugure donc une série Extreme "tout court" dans sa gamme de SSD externes. Un peu plus grands que les premiers, mais moins larges (9,6 x 4,9 x 0,9 cm), les nouveaux modèles de cette série héritent de la certification IP55. Il ne s'agit donc pas de SSD externes étanches, mais résistants à l'eau et à la poussière. Ils pourront donc résister au déversement d'une tasse de café ou tomber dans la poussière sans que leur fonctionnement n'en soit altéré une fois nettoyés. En revanche, on ne doit pas les oublier dans une poche de vêtement, car un passage en machine leur serait fatal.
La coque de l'Extreme Portable SSD est en plastique de bonne facture et celle-ci est recouverte d'une gomme au toucher doux sur l'intégralité des contours ainsi que sur la face arrière. Au sommet, une encoche permet de relier le SSD portable à une dragonne ou un porte-clé. La liaison avec un périphérique ou un ordinateur se fait au moyen d'un câble USB Type-C. SanDisk en fournit un d'environ 16 cm et livre avec un adaptateur Type-A, permettant donc de le relier à un appareil démuni de port USB Type-C. On regrette néanmoins que ni l'adaptateur ni le câble ne puissent être fixés ou enroulés sur l'appareil. La firme ne livre pas non plus de petite besace pour transporter le tout.
Une fois ouvert — la face avant se déclipse assez simplement —, on se trouve face à une construction interne assez commune avec un SSD M.2 2280 classique enfiché sur une carte contrôleur dont le rôle est de transformer le signal SATA du SSD en un signal USB. Le SSD embarque un contrôleur Marvell 88SS1074 ainsi que 4 puces de 512 Go de mémoire SanDisk dont la nature exacte n'est pas spécifiée. Il devrait néanmoins s'agir de mémoire 3D TLC. Le contrôleur USB est pour sa part un ASMedia ASM235CM (déjà vu sur le WD MyPassport SSD et le Samsung T5) qui apporte une compatibilité USB 3.1 Gen2 — une compatibilité superflue, puisque l'Extreme Portable SSD est donné pour 550 Mo/s au maximum, ce qui est bien loin du débit maximal supporté par l'USB 3.1 Gen1 (625 Mo/s théoriques).
Globalement, on se trouve donc face à un système extrêmement proche du Western Digital MyPasseport SSD (WD et SanDisk étant désormais la même société) dont les contrôleurs sont identiques. Il ne serait d'ailleurs pas étonnant que le SSD soit simplement un SanDisk Ultra 3D (ou WD Blue 3D, ce sont des frères jumeaux) au format M.2.
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