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En 2014, Facebook officialisait le rachat du service de messagerie WhatsApp, à la grande surprise d'un monde technologique alors médusé par le montant de la transaction de 19 milliards de dollars. Il n'en fallait alors pas plus pour déclencher de nombreuses railleries, aussi bien de la part de professionnels que du plus grand public, qui voyait surtout là un paquet d'argent balancé par la fenêtre. Quatre ans plus tard, WhatsApp a dépassé le 1,5 milliard d'utilisateurs, mais doit maintenant faire rentrer un peu de cash dans les caisses de la firme de Mark Zuckerberg. Le premier levier de monétisation est le plus simple de tous soit... la publicité. Celle-ci s'insèrera, courant 2019, dans les "status", l'équivalent sur WhatsApp des "stories" de Snapchat, Instagram ou Facebook.
Tirer profit des besoins des professionnels
Mais ce n'est pas tout. Car avant cela, l'entreprise compte aussi dégager de l'argent en allant chercher dans les portefeuilles des professionnels. À l'heure actuelle, 3 millions d'entreprises utiliseraient l'application pour communiquer avec leurs clients. Désormais, elles pourront acheter de la publicité sur Facebook, la réclame pouvant alors ouvrir une discussion WhatsApp entre un "prospect" — comme on dit dans la com' — et l'entreprise elle-même. En outre, si les discussions restent gratuites, elles ne le seront plus qu'en cas de réponse dans un délai de 24 heures. Au-delà, il faudra là encore passer à la caisse. Pour couronner le tout, WhatsApp disposera de nombreuses autres options (notifications, confirmations, rappels) là aussi payantes, mais toujours et exclusivement pour les entreprises. Les utilisateurs lambda peuvent donc respirer.
Lire la suite : Facebook prépare de prochains services payants sur WhatsApp
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CARACTÉRISTIQUES
- ProcesseurIntel Core i5-8300H
- Chipset graphiqueNVidia GeForce GTX 1060
- RAM8 Go
- Ecran15.6 pouces, 1920 x 1080 pixels
- Disque dur1.2 To
- Lecteur optique
PRÉSENTATION
Pour cibler les joueurs, Dell dispose de sa marque Alienware, qui propose des ordinateurs aussi chers que puissants. Pour séduire les portefeuilles plus modestes — et les allergiques aux châssis à néons —, Dell propose également des PC de jeu dans sa gamme Inspiron à partir de 900 €.
Le modèle testé aujourd'hui est donc l'Inspiron G5 de 15 pouces. S'il ne propose pas une très grosse configuration, sa GTX 1060 et son Core i5 promettent tout de même des performances honorables en jeu.
CONSTRUCTION
Le Dell Inspiron G5 prend à contre-pied le modèle Alienware pour proposer un design sobre et élégant, loin des lignes agressives des PC gaming haut de gamme. Seules les grilles d'aération tranchées et les touches écarlates témoignent d'une volonté de séduire les joueurs. Pour le reste, Dell propose un châssis en plastique et aluminium de très bonne facture et surtout très joli.
Dell réussit donc à offrir un PC alliant à la fois sensation de puissance et sobriété, nouvelle tendance des constructeurs. Si les néons et les formes agressives ont toujours été rois dans le domaine, il semblerait que puissance ne soit plus forcément synonyme de leds à tous les étages.
La partie clavier se montre extrêmement bien finie sur le Dell Inspiron G5, le PC offrant un clavier chiclet dont la course est certes longue, mais dotée d'une certaine résistance pour plus de confort en jeu. Il dispose d'un simple rétroéclairage blanc (sur trois niveaux) et s'accompagne d'un trackpad de bonne facture, chose relativement rare sur les PC gaming.
Du côté de la connectique, Dell propose quelque chose d'assez complet. L'Inspiron G5 est doté d'un port USB Type-C compatible Thunderbolt 3, de trois ports USB 3.1, d'un port HDMI 2.0, d'un port RJ45 et d'un lecteur de cartes SD, en plus du traditionnel port mini-jack.
Dell a fait du très bon travail sur son châssis. Sobre et complet côté connectique, il maîtrise aussi parfaitement sa chaleur. Lors de notre protocole de test habituel (benchmark de Metro Last Light pendant une heure), le PC est monté à 46 °C au-dessus du clavier et 47 °C sous le châssis. Une chauffe bien contenue et surtout sans contrepartie. En effet, l'Inspiron n'émet que 45 dB lorsqu'il est mis à l'épreuve. Si le souffle s'entend en jeu, il n'est cependant pas assourdissant et se montre tolérable.
Lire la suite : Test : Dell Inspiron G5 : un ordinateur gaming équilibré
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C'est au détour d'une info publiée dans la newsroom de Facebook que l'on vient d'apprendre ce déploiement dans les prochaines versions des applis d'Instagram et Facebook.
Cachés dans les menus de paramétrage, ces outils permettront d'afficher un tableau de bord du temps de connexion quotidien ainsi que différents récapitulatifs. Il sera même possible de demander l'envoi d'une alerte en cas de dépassement d'un certain temps prédéfini. Enfin, pour ceux qui veulent bloquer simplement et rapidement les notifications de leur appli sociale — par exemple pour se concentrer sur un travail important —, sans pour autant bloquer d'autres notifications indispensables (emails, agenda...), ces outils prévoient une coupure temporaire et paramétrable (de 15 minutes à 1 heure) des notifications de Facebook ou Instagram.
Le développement de ces outils fait suite à ceux des Google et Apple qui avaient déjà fait des annonces en ce sens pour répondre à une préoccupation croissante du corps médical envers l'addiction aux réseaux sociaux, et plus généralement aux écrans, qui isolent socialement de plus en plus d'adolescents ou génèrent des troubles (insomnie, dépression, anxiété...). Ces outils ont d'ailleurs "été développés en collaboration avec des experts de la santé mentale" déclarent dans ce communiqué Ameet Ranadive (Directeur du management produit chez Instagram) et David Ginsberg (Directeur de recherche chez Facebook).
Lire la suite : Des outils pour contrôler le temps passé sur Facebook et Instagram
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C'est donc au tour du printemps de montrer ses bourgeons dans Forza Horizon 4. Rappelons que le prochain jeu de course arcade de Playground Games nous fera profiter d'un terrain de jeu anglo-saxon sous différentes conditions météorologiques propres aux quatre saisons de l'année. Chaque semaine, le jeu changera de saison, incitant les joueurs à adapter leur conduite et à privilégier certains véhicules plutôt que d'autres.
Cette quatrième vidéo est l'occasion de découvrir également la ville d'Édimbourg, tranchant avec les environnements très campagnards du jeu. On peut constater au passage une belle variété de paysages, mis en valeur par un moteur graphique toujours aussi impressionnant. Les développeurs abordent par ailleurs la bande-son du jeu et présentent la McLaren Senna et le jeu en équipe.
Lire la suite : Quatre heures de vidéo pour autant de saisons de "Forza Horizon 4"