Franchir le pas : une soirée de soumise - Histoire Erotique

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Franchir le pas : une soirée de soumise - Histoire Erotique

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Arrivée sur le palier de l'appartement, je ne me donne pas le temps de réfléchir et je sonne tout de suite à la porte. Je sens les battements de mon coeur s'accélérer malgré moi, bien que j'essaie de contrôler ma respiration. Je ne sais pas trop s'il s'agit d'embarras à l'idée de ce que je suis en train de faire ou d'excitation pure. En tout cas, je ne peux plus reculer.

J'entends des pas lents et lourds s'approcher de l'autre côté de la porte mais rien ne se passe.. c'est peut-être mon imagination mais j'ai l'impression que l'homme s'est arrêté et attend devant sa porte au lieu de l'ouvrir tout de suite. Il veut me faire attendre, j'en suis sûre... il aimait déjà jouer avec moi en ligne mais évidemment là, face à face (ou presque), le jeu semble déjà plus intense... je baisse les yeux et prend l'air soumis qu'il aime voir sur mon visage ; je me dis qu'il regarde peut-être à travers le judas et qu'il se délecte de savoir que je suis là à attendre qu'il m'autorise à entrer... et pour quoi ? Pour me faire traiter comme une cochonne.

Il me laisse là encore un instant, comme si je n'avais pas qu'il menait le jeu dès le début. Je me force à ne pas bouger, je suis là pour être sa chose, s'il veut me faire attendre sur le pas de sa porte, je dois l'accepter et attendre.
Finalement, il décide d'ouvrir la porte, il me toise comme il sait si bien le faire, mais le voir me regarder de haut comme ça, "en réel" comme on dit, et plus par écran interposé, c'est autre chose. Même encore entièrement habillée, je me sens déjà exposée, et je sens ma chatte qui réagit déjà.

"Te voilà, cochonne. Tu as fini par céder, tu vois ? Je t'avais dit que tu finirais par vouloir t'offrir à moi pour de bon."
"Oui", je réponds, la voix un peu étranglée par la honte de m'entendre appeler de cette manière autant que par l'excitation que ça me procure toujours, malgré moi.

Il lève un sourcil "Oui, qui ? Tu te crois où ?"

Je réalise mon erreur et je la rectifie tout de suite "Oui, monsieur."

Il recule d'un pas pour me laisser entrer et puis se retourne et avance dans le couloir sans me regarder, il n'a pas besoin de vérifier ; je ferme la porte derrière moi, et je le suis immédiatement. "On va commencer par une bonne fessée déculottée, hein ? Histoire que tu comprennes que j'ai pas attendu aussi longtemps pour t'avoir chez moi et te voir te comporter comme une simple invitée. T'as là pour être ma salope, pigé ? On va pas boire un coup ensemble ou se faire une petite bouffe."

"Pardon monsieur, je n'ai pas oublié," je m'empresse de répondre, déjà imprégnée par l'ambiance. Je sais qu'il attend ce moment depuis longtemps. Je me suis promis de laisser de côté ma personnalité et mon ego et d'être humble et docile pour lui. Il a réussi à me soumettre et me faire faire bien plus de choses que je ne l'aurais jamais imaginé avant, quand nous communiquions uniquement en ligne, mais de franchir le cap et me retrouver là aujourd'hui me demande encore plus de lâcher prise... je veux le satisfaire.

Il s'arrête et claque ses doigts pour que je me place devant lui, près de la table de son salon. "On n'a pas longtemps, en plus, il faut que tu retournes chez toi, en bonne petite bourgeoise pour t'occuper de ton petit mari, hein ?"

"Oui, je suis désolée monsieur."

"Tu peux l'être. Mais si tu me satisfais, on s'arrangera différemment quand il partira en déplacement pro. Tu aimerais ça, ma salope ?"

"Ouii", je gémis déjà. L'idée d'être à lui toute une soirée, voire plus, m'excite tellement.

Il sourit, satisfait de l'effet produit. "Regarde-moi ça, déjà excitée et j'ai encore strictement rien fait. Quelle vilaine. T'as besoin d'une bonne correction, toi." Il attend.

"Oui, s'il-vous-plaît, corrigez-moi."

Il pose sa main sur ma nuque et me penche sans rien ajouter d'autre sur la table de son salon. "On peut pas commencer gentiment avec les cochonnes dans ton genre, faut tout de suite passer par la case punition, sinon tu prends tes aises et des airs, hein ? Excuse-toi."

Je sens la pression de sa main sur ma nuque qui me colle contre la table. "Pardon, monsieur."

Il se pose à côté de moi et pose sa main sur ma croupe cette fois, en me faisant attendre encore. Il sait à quel point je me sens toujours honteuse quand je suis en position d'attendre une fessée, mais - encore une fois - c'est une toute autre affaire de m'avoir sous sa main ce soir, que de me voir me mettre en position à travers un écran.

Il soulève ma jupe et la retrousse, il prend son temps pour la mettre en place, comme si ça nécessitait une attention particulière. Je pense qu'il va me déculotter lui-même mais, évidemment, il sait que m'obliger à le faire pour lui est bien plus humiliant pour moi. "Baisse ta culotte, vilaine. Fais le doucement pour exposer ton cul à claquer. Baisse là à mi-cuisses."

Je m'exécute en me contorsionnant un peu, ce qui est évidemment le résultat qu'il cherchait à obtenir. Bien que je ne puisse pas trop le voir, la tête penchée sur le côté, je sens son regard qui scrute chacun de mes mouvements et je me sens déjà exposée. Je finis de baisser ma culotte à mi-cuisses, comme ordonné. J'attends. Encore. Il s'éloigne un peu et me laisse dans cette position. Puis je l'entends qui revient et je devine plus que je ne vois les photos qu'il prend avec son portable.

"Pour faire profiter les potes de Voissa," ajoute-t-il, "ce serait dommage de garder ça uniquement pour moi." Je ferme les yeux en imaginant les photos qui vont circuler. Il m'avait prévenue qu'il avait parlé de cette soirée autour de lui et qu'il avait l'intention d'en faire profiter d'autres.

Quand il a pris les photos qu'il veut et, j'imagine au vu du temps qu'il prend, qu'il en a posté quelques unes, déjà, il pose son portable à côté de ma tête "pour les prochaines". Il se tient maintenant derrière moi, et je pousse un petit gémissement de surprise quand, sans me prévenir, il rentre un doigt dans ma chatte. "Tu mouilles déjà, salope." À son ton, je comprends bien qu'il n'est pas surpris. Il veut juste que je l'entende le dire. "T'es vraiment une gourmande, toi, un rien t'excite, hein ?"

Je sais que je dois lui répondre, je m'empresse de le faire, "Oui, monsieur, je mouille déjà pour vous."

"Et oui, tu peux pas t'en empêcher." Sans autre avertissement, il me frappe d'un grand coup. "Et c'est pour ça qu'une bonne fessée, ça va un peu te remettre à ta place, peut-être."

Parfois il me fait compter, d'autres il me fait m'excuser à chaque coup que je me donne pour lui à travers l'écran, le micro capturant le son de chaque claque sur mon cul de soumise. Cette fois il n'exige rien, il se contente de me claquer le cul sans me laisser le temps de rien dire. La fesse droite, la fesse gauche au début, puis il change de rythme et je n'arrive plus trop à suivre.

Je sens mon cul chauffer à chacune de ses claques, et je sens ma moule qui semble se tendre elle-même de plaisir coupable. Je ne sais pas pourquoi les fessées et l'humiliation qu'elles me procurent m'excitent autant mais c'est peine perdue d'essayer de me contrôler. Je gémis, je bouge ma croupe sans pouvoir rien y faire.

Il m'assène d'insultes en même temps qu'il m'assène de coups sur mon cul offert et exposée de vilaine. Le salaud (même si je n'oserais jamais, au grand jamais, le dire à haute voix) sait à quel point il fait mouiller sa cochonne en me traitant de cette manière. Puis il s'arrête d'un coup. Il se place derrière moi, et je sens sa queue déjà tendue à travers son pantalon. Il ne fait rien d'autre que me coller comme ça, comme pour m'indiquer ce qui m'attend tout à l'heure.

Je vois sa main passer devant mon visage, récupérer son portable. "Un cul rouge pareil, ça va plaire !" Il reprend quelques photos. "Tu iras répondre aux commentaires ce soir, quand ton mari dormira. J'irai vérifier, compris ?"

"Oui, monsieur, je le ferai," je reconnais à peine ma voix. Je déteste autant que j'aime ce sentiment de ne plus m'appartenir ou de ne plus tout à fait me reconnaître. J'aimerais pouvoir résister au plaisir honteux d'être traitée comme une cochonne, de résister plus longtemps aux hommes qui m'utilisent pour me rabaisser et se donner du plaisir à eux-mêmes grâce au spectacle que j'offre. Les faire travailler un peu plus pour m'amener à mouiller, à gémir, à me laisser aller, mais ma nature est telle qu'une simple série de claques sur le cul (et, ce soir, du partage de cette correction pourtant assez simple) suffit à me mettre en chaleur.

Il malaxe mes fesses rougies et déjà un peu sensibles. "Écarte un peu les cuisses, traînée". Je m'exécute, et il rentre deux doigts dans ma chatte et fait quelques vas et vient, il tire sur mon clito. Je couine. "Tu sais quoi, je voulais te faire jouir avec ma queue dans un de tes trous mais je crois que je veux te voir jouir juste de mes claques sur ce bon cul de salope pour commencer. Tu prendras ma queue après. Tu en dis quoi ?"

Je mords mes lèvres, je savais qu'il allait dire ça. "Je veux être votre jouisseuse comme vous le voulez, monsieur."

Il m'assène une énorme claque, qui résonne dans la pièce. "Comme si tu avais le choix, bourgeoise." Je sens sa main agripper mes cheveux et me tirer en arrière, "Relève- toi. T'es trop habillée, tu vas changer ça". Je suis ses ordres, me relève et me tourne face à lui. Ma jupe retombe ; je sens ma chatte gonflée et trempée dessous, mon cul rougit et sensible.

Il reprend son portable, le met en position face à moi. "Retire ta jupe, cochonne". J'obéis et la fais glisser jusqu'à mes chevilles, avant de la retirer et la mettre de côté du pied. Il n'a rien dit pour ma culotte, je la garde donc à mi-cuisses, et je me relève pour lui faire face. "C'est bien. Une chatte de femelle, ça doit être exposée, non ?"

"Oui, monsieur."

"Et maintenant, on va s'occuper de tes nichons, hein ?" Il ne me laisse pas le temps de répondre et sans un mot de plus, il déboutonne ma chemise et ouvre les pans pour exhiber mon soutien-gorge - mais ils ne tiennent pas en place, le tissu étant trop fluide, il la retire alors brusquement, me faisant tourner pour retirer les manches d'un coup sec. Il me remet face à lui.

Je rougis de honte autant que d'excitation d'être dans une telle position : culotte à mi-cuisses, chatte déjà gonflée à l'air et offerte, cul nul et rougi, en soutien-gorge. Je sais que mes mamelles vont vite être exposées. "Mets tes mains sur la tête." J'obéis. Il prend mon soutien-gorge mais ne le dégrafe pas. À la place, il le retrousse un peu et le relève pour qu'il passe au-dessus de mes nichons, les faisant pendre.

"Voilà, faut déballer tes mamelles devant tes propriétaires." Il pince mes pies "J'en étais sûr, tu pointes déjà. Mais pas étonnant, tu m'as souvent dit que tes pies pointaient juste en voyant mon nom arriver dans tes notifications sur Voissa, pas vrai ?"

"Oui, monsieur, c'est plus fort que moi".

"Tu m'étonnes, une cochonne pareille. Là, tu as une bonne excuse pour pointer, salope. Allez, on va te changer un peu de position, penche toi bien, que tes loches pendent, et prends appui sur le mur avec tes bras tendus : je veux que ton cul soit bien présenté et que tes mamelles pendent...  voilà, c'est ça." Je suis en position. "Écarte les cuisses, une cochonne ça garde les cuisses ouvertes". Je m'exécute, et encore une fois je le vois me prendre en photo sous toutes les coutures. "Ça va nous en amener des commentaires, tu vas faire plaisir à plein de mecs. Ma cochonne va bien leur servir à se palucher, c'est clair. Remercie-moi."

"Merci de me partager avec tous ces hommes, monsieur." Je sens ma chatte qui se contracte à l'idée d'être matée par tous ces hommes, et sans être touchée, je sens tout mon corps qui tremble de plaisir.

"Si je pouvais t'offrir à tous ces mecs... peut-être que je proposerai une petite séance, après tout ? J'en aurais, des volontaires. Ils feraient la queue pour te la mettre profond." Il rit de sa blague mais je ne peux que gémir en réponse. Il me tire une tétine violemment. "Interdiction de jouir tout de suite salope !!"

"Pardon monsieur, je suis tellement excitée."

"T'es vraiment une traînée. Heureusement que je te dresse pour essayer de canaliser tout ça, hein ?"

"Oui, monsieur, merci de dresser la femelle que je suis."

"C'est bien. Tu vas pouvoir jouir dans pas longtemps, de toute façon. Je vais te foutre encore une bonne séries de claque à en faire balancer tes loches et tu jouiras comme une bonne chienne. Ensuite tu me serviras de repose pieds le temps que je boive un coup, et je m'occuperai de tes trous plus sérieusement après. Et tu pourras ensuite retourner à ta petite vie de bourgeoise. Ça te va comme programme, ma femelle ?"

"Ouii, monsieur, merci monsieur."

Il rit de me voir dans cet état. "T'inquiète, ça vient, va. Je vais juste chercher une règle, comme les bonnes petites vilaines de l'époque, hein ?"

Je reste en position le temps qu'il aille chercher sa règle ; il me l'a déjà montrée à plusieurs reprise en cam, elle est en bois, assez large, et j'ai toujours pensé qu'elle ferait une grande impression sur mon cul. À la première claque, je crie : oui, entre la force qu'il met et mon cul déjà bien fessé, la règle me chauffe encore plus le cul.

ll me claque quelques fois puis la laisse tomber avant de reprendre à la main "C'est bien la règle, mais sentir ton cul sous ma main c'est mieux. Et bouge ta croupe à chaque fois que je t'en fous une, femelle, je veux que ces loches se balancent. Et si ça peut t'aider à jouir, je te filme comme une bonne videuse de couilles en train de bosser. Alors pense à ton audience."

Évidemment, entre les coups de mon maître, le fait de devoir moi-même faire bouger mes mamelles et d'imaginer que tout est filmé et que de nouveaux hommes pourront mater cette séance de fessées, je sens mes pies qui gonflent encore plus, et ma chatte qui fait de même. Je sens mon bas ventre qui me brûle et je sais que je ne pourrai pas résister longtemps.

Soudain, il me relève et tout en me frappant le cul d'une main, il claque mes nibards de l'autre "Allez pétasse, jouis pour moi, et jouis pour tous ceux qui te regarderont ce soir. Allez, vas-y !!"

C'est une vague de chaleur qui monte dans tout mon corps et même s'il me l'ordonnait, je crois que je ne pourrais pas m'empêcher de jouir. Je viens avec abandon en gémissant comme une garce, sans pudeur, ma chatte est si chaude, trempée, et elle pulse et c'est comme si je la sentais dans tout mon bas ventre.

Quand j'ai fini, je me tiens contre le corps de mon maître, qui rit et parle à la caméra "Et ben, ça c'est une bonne jouisseuse. Imaginez ce que ça va donner quand elle aura pris ma queue dans un de ses trous !" Il fait pression sur mes épaules. "Va jusqu'au canapé à quatre pattes et reste dans cette position devant, je vais me prendre une bière et tu vas me servir de repose pieds pendant que tu calmeras tes ardeurs."

Je me baisse jusqu'à être à quatre pattes, et je fais les quelques mètres qui me séparent du canapé dans cette position, consciente de l'image que je donne. Je me tiens toujours dans la même position, tête baissée, à essayer de me calmer. J'entends mon propriétaire ouvrir le frigo et se servir ce que je pense être une bière avant de l'entendre revenir vers moi.

"Ecarte toi un peu pour que je puisse m'asseoir, femelle". Je m'exécute puis je prends position pour lui servir de repose pieds. "Voilà une bonne esclave. Encore une photo qui va plaire, pétasse. Maintenant, pense à toute la honte que tu devrais ressentir de te laisser traiter comme ça pendant que je bois ma bière, et prépare toi à prendre ma queue." Il prend une gorgée. "Tu vas prendre cher."

Mes pies tendues, ma chatte qui dégouline et, le poids de ses jambes qui reposent sur ma croupe, j'imagine déjà la suite de la soirée...

(à suivre...)

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