Dans les pas de JBL ou encore Sony, c'est au tour de Creative de se lancer sur le marché de l'enceinte portable lumineuse, avec la bien nommée Halo.
Avec ses rubans de leds RGB (16,8 millions de couleurs) encerclant ses haut-parleurs, la Creative Halo entend bien stimuler la vue autant que l'ouïe, promettant de produire différentes ambiances lumineuses.
L'enceinte peut être contrôlée via l'application mobile Xpectra, disponible sur iOS et Android. L'appli permet également de sélectionner l'une des douze animations lumineuses disponibles, à l'instar de ce que propose la JBL Pulse 3. Ces mêmes animations sauraient d'ailleurs se synchroniser automatiquement avec la musique diffusée par l'enceinte.
Puisque l'on parle de musique, ne manquons pas d'ailleurs d'évoquer la conception acoustique de cette enceinte : elle s'articule autour de deux haut-parleurs en stéréo, complétés par l'habituel radiateur de graves. Dotée d'une connectivité Bluetooth 4.2, l'enceinte n'est cependant compatible qu'avec le codec SBC via ce protocole. Un micro intégré lui permet d'être utilisé comme kit mains-libres et une entrée auxiliaire en mini-jack 3,5 mm répond également à l'appel.
Contrairement à la Pulse 3, la Creative Halo n'est en revanche pas submersible, ni même simplement étanche, sa couverture en nylon tissé n'assurant aucune protection contre les éclaboussures.
RED, la branche low cost de SFR, vient d'introduire deux options qui pourraient bien faire tourner quelques têtes. Leur particularité ? Elles cassent très clairement le prix du gigaoctet de data.
Le concept est on ne peut plus simple. Pour 2 € par mois, certains abonnés peuvent s'offrir un "boost", c'est-à-dire une rallonge, de 100 Go en sus de l'enveloppe data de leur forfait. Une variante existe : 50 Go pour 1 € par mois, ce qui revient au même prix par gigaoctet (2 centimes). Pour le moment, RED n'a pas communiqué à ce sujet ni mis à jour sa brochure tarifaire, ce qui induit un certain flou quant aux conditions d'éligibilité. À l'exception des détenteurs du "petit" forfait de la gamme (5 heures, 50 Mo), toutefois, tous les abonnés semblent bien avoir accès à l'une, l'autre ou les deux options (non cumulables), sachant qu'il suffit de passer par l'espace client pour en avoir le cœur net.
Comme pour les forfaits associés, la souscription à ces options est sans engagement. Valables en France métropolitaine, les "boosts" prennent effet à la prochaine date de facturation suivant la date de souscription dans l'espace client. En cas de consommation totale de l'enveloppe (forfait + option), ce sont les conditions du forfait qui s'appliquent. Cela signifie, concrètement, que le débit peut être réduit ou qu'une (modeste) recharge peut être automatiquement facturée. Dans tous les cas, le volume de données non consommé ne sera pas reporté sur le mois suivant.
Certes, les fabricants sont de plus en plus nombreux à proposer des lave-linge connectés sur le marché. Mais pour autant, vous, consommateurs, êtes-vous intéressés par la connectivité ? Et l'utiliseriez-vous ? Nous vous avons interrogés.
Selon les chiffres que nous fournissait le GIFAM (Groupement interprofessionnel des fabricants d'appareils d'équipement ménager) lors de sa conférence de presse annuelle, les ventes d'électroménager connecté avaient bien progressé en 2016 : +132 % (en valeur) en 2016 dans le domaine du gros électroménager, par rapport à 2015 — et 88 % dans le cas du petit électroménager.
Cela dit, le GIFAM tempérait ce propos en précisant que malgré cette croissance, le poids de l'électroménager connecté par rapport au marché global de l'électroménager demeurait très modeste : 1,7 % de parts de marché seulement par rapport aux ventes de gros électroménager (et 2,4 % pour le petit électroménager).
Nous pouvons compléter ces chiffres en expliquant que dans ces ventes, les lave-linge sont plutôt bien représentés. Lors du dernier salon MEDPI à Monaco, GfK donnait quelques éléments lors d'une conférence de presse dédiée à la connectivité dans le monde de l'électroménager. Selon le cabinet, quelques grandes familles tirent leur épingle du jeu mieux que d'autres : les appareils de petit électroménager culinaire fournissant des conseils de "i-coaching", comme les nomme GfK (robots cuiseurs multifonctions, autocuiseurs, friteuses, balances de cuisine...), les lave-linge et les réfrigérateurs.
Du côté des assistants domotiques, c'est un peu l'Arlésienne. Cela fait trois ans maintenant qu'Amazon a présenté l'Echo, son enceinte connectée dopée à Alexa, son Intelligence Artificielle. Google a bientôt suivi, créant la surprise en présentant la Home, son propre assistant, avec Google Assistant comme porte-voix. D'autres géants ont suivi dont Apple, Harman Kardon et plus récemment Xiaomi. Le premier à rejoindre nos contrées hexagonales n'est autre que Google Home. Celui-ci est commercialisé aujourd'hui au prix de 149,99 € sur le Google Store ou en précommande sur les sites de la Fnac et de Darty.
Fiche d'identité
Google Home est la solution domotique du géant du Web. Elle se présente sous la forme d'une enceinte connectée embarquant Google Assistant, l'intelligence artificielle de Google. Google Home inaugure donc Google Assistant et on n'est pas peu fier d'assister aux premiers pas francophones de l'assistant virtuel de la firme de Mountain View, dans la mesure où il peine toujours à débarquer sur les terminaux Android. Google Home se revendique comme cœur de la maison connectée : système de divertissement, d'assistance et de pilotage des objets connectés, capable de répondre aux demandes vocales de l'utilisateur. En outre, il permet d'accéder à tous les services proposés par le géant du Web.
Google Home est doté de trois haut-parleurs et de deux micros omnidirectionnels. La partie supérieure de l'appareil accueille une surface tactile qui, d'un simple effleurement, permet l'activation du système ou le réglage du volume sonore. Les leds embarquées ici permettent également à l'utilisateur de savoir si l'assistant est à l'écoute ou non. À l'arrière de cette enceinte, nous retrouvons une seule et unique touche physique, qui permet de désactiver le micro. Si l'on en croit les dires de Google, l'assistant n'est à l'écoute de son utilisateur que lorsque l'on prononce les phrases-clés — et un peu rébarbative — "Ok Google", "Hey Google" ou encore "Dis Google".
Vous vous demandez sûrement à quoi bon ajouter une touche pour désactiver le micro dans ce cas ? Vraisemblablement pour rassurer les utilisateurs un peu suspicieux quant à l'utilisation des données personnelles.
Design épuré, ergonomie bien pensée
Contrairement à ce que les photos du constructeur laissent penser, la Google Home est une petite enceinte aux dimensions assez mesurées. L'assistant domotique de Google mesure seulement 14 cm de haut et 9 cm de diamètre. Son poids de 480 g est également contenu et même une petite main, plus ou moins costaude, peut le soulever aisément. Ironie du sort ou volonté du constructeur, elle ressemble à n'importe quelle autre enceinte cylindrique.
D'un design parfaitement épuré, la Google Home peut facilement trouver sa place dans n'importe quel environnement. L'assistant est divisé en deux parties. Il est possible de démonter la base pour entrevoir le cœur du produit, les haut-parleurs. Nos premières impressions sur le design sont assez bonnes ; les finitions sont de belle qualité, autant que l'assemblage des différentes parties. Le positionnement haut de gamme de l'objet se fait ressentir et, malgré sa petite...
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