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Après les jolies victoires au jeu de Go, le géant américain a décidé de s’en prendre à l’iconique jeu de stratégie en temps réel de Blizzard : Starcraft 2. Mais plutôt que de passer de longues années sur le dossier, ce sont les chercheurs et passionnés qui vont s’atteler à la tâche.
Toujours bien présent quand il s'agit de développer des intelligences artificielles, Google a décidé de s'associer au développeur américain Blizzard afin d'aller plus loin dans la recherche en ce domaine. Les deux sociétés ont ainsi œuvré de concert sur l'API de Starcraft 2 afin de permettre le développement d'IA développées pour l'occasion en s'appuyant sur le célébrissime Deepmind. Comme souvent dans ces cas là, un socle commun a été créé avec une IA capable de comprendre des situations basiques et qu'il est possible d'améliorer. En gros, Google propose un peu de sa technologie célèbre pour ses victoires au jeu de Go et souhaite que la communauté en profite pour montrer de quel bois elle se chauffe. Et si l'initiative est fort louable, on peut quand même se demander quel est l'intérêt de la firme de Mountain View dans tout cela.
S'adapter, et vite
D'abord, et c'est évident, faire parler d'elle en tant qu'acteur innovant, stratégie que Google cultive depuis toujours et qui fonctionne particulièrement bien. Ensuite, il s'agit sans doute réellement d'améliorer Deepmind dans un secteur complètement différent de celui qu'elle a connu avec le jeu de Go. Car si ce jeu ancestral est d'une infinie complexité, il est particulièrement bien adapté aux IA en offrant la possibilité d'analyser des situations sur le temps long. Or un jeu comme Starcraft 2 demande tout au contraire une adaptation ultra rapide à des contextes fluctuants à la seconde près. Dans la version de base de base créée par Google, l'IA comprend le brouillard de guerre (en résumé, le joueur ne voit à l'écran que ce que l'unité voit elle-même sur la carte) et l'importance d'effectuer des reconnaissances, mais s'adapte en revanche très mal aux attaques éclair et autres stratégies singulières.
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AMD est bel et bien de retour dans la course aux processeurs. Après avoir réussi à recoller aux pattes d'Intel sur le segment des processeurs classiques avec sa très bonne série Ryzen, le challenger revient à la charge avec la Ryzen Threadripper, une série très haut de gamme qui intègre des processeurs dotés de nombreux cœurs.
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Le X7 II opte pour un design plus anguleux qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler celui de son petit frère, le X5 III. Pas de changement au niveau de la finition, toujours en alliage d'aluminium, ni même au niveau de l'écran. Le X7 II conserve en effet son écran en dalle IPS de 4” d'une définition de 480 x 800 px. Le nouveau baladeur de Fiio propose des boutons de lecture/pause, de navigation entre les pistes, un bouton de verrouillage/mise en tension et hors tension ainsi qu'une molette pour le contrôle du volume. Au vu de la similarité très prononcée avec le X5 III, il faudra certainement s'attendre à la même expérience d'utilisation à ce niveau.
En matière de connectique, le X7 II offre une sortie asymétrique casque/ligne/coaxiale/optique en mini-jack 3,5 mm, une sortie casque symétrique en submini-jack en 2,5 mm et un port micro-USB pour la recharge ou pour l'utiliser en tant que DAC sur un ordinateur (192 kHz/24 bits). Ladite connectique est en réalité intégrée au module AM3A qui est généralement commercialisé et livré avec le baladeur. La connexion sans-fil est représentée par le Wi-Fi ainsi que par le Bluetooth (4.1, aptX low latency). Par rapport au X7 Mark I, le X7 II dispose de 64 Go de mémoire interne contre 32 Go et il bénéficie d'un second emplacement pour carte microSD (2 x 256 Go max). La conception modulaire est toujours d'actualité.
Il y a du changement aussi en interne. Le DAC ESS Sabre 9018S laisse place au ES9028 Pro (384 kHz/32 bits) couplé à deux OPA926 et deux OPA1612 pour la partie amplification. Android 4.4.4 laisse place à Android 5.1 et 2 Go de RAM sont maintenant intégrés. La partie processeur n'a pas bougé avec la présence d'un Cortex A9 quadricœur. Le Fiio X7 II propose un EQ 10 bandes, avec 9 modes de pré-EQ, les Viper Effects, la fonction de recherche, de Gapless, une gestion de la bibliothèque musicale, et des informations sur les fichiers (ID3 Tag, illustrations…). Mauvaise nouvelle pour l'autonomie en revanche : contrairement au Fiio X7 I qui annonçait 9 heures d'autonomie, le X7 II n'en promet que 8. Voici les informations techniques sonores qui sont communiquées par Fiio :
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BenQ vient d'annoncer la sortie d'un nouveau moniteur panoramique incurvé de 35 pouces UWQHD, supportant une fréquence de rafraîchissement de 100 Hz, le FreeSync et même le HDR.
Le moniteur BenQ EX3501R embarque une dalle VA incurvée 8 bits de 35 pouces affichant une définition UWQHD de 3 440 x 1 440 px. Elle supporte une fréquence de rafraîchissement de 100 Hz et elle est compatible FreeSync entre 48 et 100 Hz. Le constructeur annonce un contraste de 2500:1, des angles de vision de 178°, un temps de réponse de 4 ms, un couverture de 100 % de l'espace colorimétrique sRGB et une luminosité maximale de seulement 300 cd/m². Ce nouveau moniteur de BenQ est compatible HDR, mais le fabricant ne précise pas les standards supportés (HDR10, HLG, Dolby Vision, etc.). Comme le moniteur Dell S2718D que nous avons testé, le BenQ devrait bien supporter les sources HDR comme la Xbox One S, la PS4 Pro ou encore les lecteurs Blu-ray Ultra HD, mais l'apport devrait être quasiment inexistant. En effet, pour profiter pleinement du HDR, il faut une dalle 10 bits permettant d'afficher des couleurs étendues, un pic lumineux d'au moins 700 à 800 cd/m² et un système de rétroéclairage performant (Full Led avec local dimming ou encore mieux, Oled). La dalle 8 bits, le pic à 300 cd/m² et le système de rétroéclairage probablement Edge-Led réduisent à néant les promesses d'une image HDR de qualité.Pour le reste, le moniteur dispose d'un pied réglable en hauteur sur 6 cm et en inclinaison entre -5° et +20°. La connectique se compose de deux entrées HDMI 2.0, d'une entrée DisplayPort 1.4, d'une sortie casque, de deux ports USB 3.0 et d'un port USB-C. Ce dernier permet d'envoyer le signal vidéo et de récupérer les périphériques USB connectés à l'écran, mais BenQ n'a pas intégré la recharge. Ce moniteur ne peut donc pas servir de station d'accueil pour les portables équipés d'un port USB-C.
Le moniteur BenQ EX3501R devrait être disponible dans le courant de l'été. Le tarif n'a pas encore été communiqué, mais il ne faut pas espérer acheter cet écran pour moins de 900 €, comme les Acer Predator Z35P et AOC Agon AG352UCG équipés de la même dalle VA 100 Hz.
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