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Actuellement, dans sa branche stable comme en bêta, Chrome charge l'intégralité du code d'une page avant d'afficher cette dernière (ce qui ne signifie pas pour autant que tout apparaît d'un coup à l'écran). Dans Chrome Canary, la mouture dédiée aux expérimentations du navigateur, Google vient en revanche de se mettre au lazy loading. Signifiant littéralement "chargement paresseux", ce terme désigne une approche intelligente des chargements en général dans le monde logiciel : on ne charge que les données dont on a besoin tout de suite avant de lancer un programme ou un processus. Appliqué à Chrome Canary ou à un quelconque navigateur, cela revient schématiquement à charger d'abord le haut de la page sollicitée. Si l'utilisateur poursuit sa lecture et "scrolle" (fait défiler) vers le bas de la page en question, le navigateur chargera alors les images placées plus loin dans le contenu, ou tout autre élément positionné en bas de page.
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La gamme Swift d'Acer se compose souvent de PC de très bonne qualité. Fnac.com propose aujourd'hui, et jusqu'à ce soir, un modèle de 15,6 pouces à 799,99 euros.
Ce Swift 3 de chez Acer propose une fiche technique particulièrement séduisante et semble un PC idéal pour travailler et se détendre dans d'excellentes conditions. Il se dote en effet de composants récents et performants : processeur Intel Core i7-8550U de 8e génération, 8 Go de mémoire vive, 256 Go de stockage en SSD ainsi qu'une carte graphique dédiée GeForce MX150. Il sera ainsi possible de jouer à quelques jeux récents et peu gourmands, à condition de faire quelques concessions sur le niveau de détails graphiques.
D'une diagonale de 15,6 pouces, l'écran de type IPS affiche, quant à lui, une définition Full HD. L'image est bien mise en valeur grâce à un cadre très fin autour de l'écran. Le PC en lui-même est assez compact et léger pour un 15 pouces, avec notamment une épaisseur de 1,89 cm et un poids de 1,8 kg. Du côté de la connectique, ce Swift 3 propose 3 ports USB 3, un port USB 2, un port USB 3.1 Type-C, une sortie HDMI et un lecteur de carte SD. À noter, enfin, que le clavier intègre un pavé numérique, ce qui n'est plus systématiquement le cas sur les PC portables au format 15 pouces.Lire la suite : Bon plan – PC portable Acer Swift 3 avec Core i7 à 799,99 €
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Certes, l'apprentissage du code est entré dans les écoles, mais certains se demandent si cela a encore un sens avec les capacités que procure l'intelligence artificielle. Les Numériques vous propose deux avis contraires sur le sujet.
L'apprentissage du code est entré dans les écoles en 2016 pour répondre à la révolution numérique et aux nécessités de demain. L'Éducation nationale a fait de l'initiation au codage et aux algorithmes une priorité, mais avec l'émergence de l'intelligence artificielle (IA), le besoin en connaissances informatiques est-il toujours aussi primordial ? La machine va-t-elle créer les logiciels de demain à la place de l'humain ? Chris Wanstrath, le cofondateur de GitHub, l'entreprise de logiciels acquise à grands frais par Microsoft, n'y va pas par quatre chemins en déclarant que “le futur du code, c'est pas de code du tout”.
Tandis que certains estiment que l'IA va tuer l'intérêt de l'enseignement du code et de la saisie de lignes de code à n'en plus finir, d'autres persistent à penser que ces compétences, et la culture numérique qui en découle, seront indispensables pour les générations à venir. Débat.
“L'éducation a toujours les mauvais réflexes : en 2017, on veut généraliser l'apprentissage du code informatique de base au lieu d'apprendre aux enfants à raisonner sur l'information pour, notamment, dépister les ‘fake news'. C'est aussi décalé que de généraliser la sténo en 1970 au lieu d'apprendre aux enfants à rédiger (…) Les développeurs informatiques Bac+2 arriveront sur le marché du travail précisément au moment où le code informatique bas de gamme sera largement automatisé grâce à l'intelligence artificielle qui sera quasi gratuite (…) Codeur informatique bas de gamme sera un passeport pour Pôle emploi (…) Le codeur de l'avenir sera à la convergence de multiples savoirs. Droit, sécurité, gestion de la complexité, neurosciences : ce sera davantage un travail de polytechniciens passés par la Harvard Law School que d'amateurs bien intentionnés.” Autrement dit, seule la crème de la crème des développeurs s'en sortira, selon Laurent Alexandre, ancien fondateur de Doctissimo, neurobiologiste et auteur de La Guerre des intelligences (Éd. JC Lattès, extraits tirés des pages 165 à 167).
“Nous avons tort de considérer le code comme un métier d'ouvriers que l'on peut remplacer par de l'intelligence artificielle. Le code est une intelligence, une manière de réfléchir. C'est une façon de se former au numérique. C'est également le moyen de s'ouvrir à une nouvelle économie. C'est comme lorsque de grosses entreprises ont délocalisé dans des pays à main-d'œuvre moins chère. Elles ont perdu la main pendant des années sur le développement. Le métier de développeur web n'est pas quelque chose que l'on peut sous-traiter ou remplacer. Si une entreprise n'a pas en interne des personnes capables de coder, elle peut perdre en compétitivité. Tout le monde doit savoir le faire, d'autant plus avec les enjeux de sécurité. Il existe de très bonnes écoles en France qui forment de très bons développeurs. Nous avons une vraie qualité qui s'exporte, et c'est une très bonne chose. Il ne faut pas perdre ça”, selon Charlotte Bottemanne, Growth Manager de l'école Ironhack, spécialisée dans l'enseignement du développement web, interrogée par Les Numériques
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