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Chrome : du lazy loading pour accélérer le chargement des pages
Dans la version Canary de son navigateur, Chrome, Google vient d'introduire deux options de chargement progressif des pages web. Le géant du Net espère ainsi réduire les temps d'affichage, en particulier sur mobile.
 

Actuellement, dans sa branche stable comme en bêta, Chrome charge l'intégralité du code d'une page avant d'afficher cette dernière (ce qui ne signifie pas pour autant que tout apparaît d'un coup à l'écran). Dans Chrome Canary, la mouture dédiée aux expérimentations du navigateur, Google vient en revanche de se mettre au lazy loading. Signifiant littéralement "chargement paresseux", ce terme désigne une approche intelligente des chargements en général dans le monde logiciel : on ne charge que les données dont on a besoin tout de suite avant de lancer un programme ou un processus. Appliqué à Chrome Canary ou à un quelconque navigateur, cela revient schématiquement à charger d'abord le haut de la page sollicitée. Si l'utilisateur poursuit sa lecture et "scrolle" (fait défiler) vers le bas de la page en question, le navigateur chargera alors les images placées plus loin dans le contenu, ou tout autre élément positionné en bas de page.  

Réduction des données téléchargées et du délai d'affichage

Pour l'utilisateur, l'intégration de cette technique directement dans le navigateur se veut synonyme d'une amélioration à l'usage, puisque les pages devraient s'afficher un peu plus vite à l'écran. Alors qu'ils commençaient à plancher sur cette fonction en début d'année, les développeurs de Google estimaient que le délai initial d'affichage pourrait être réduit de l'ordre de 18 % à 35 %, sachant que leur attention se portait avant tout sur le mobile. Par nature, le lazy loading est en outre un allié des consommateurs, dans la mesure où il limite le téléchargement de données inutiles.

Au sein de Chrome Canary, Google a introduit cette fonction par l'intermédiaire de deux options distinctes. Celles-ci peuvent être activées sur le panneau des "flags", les adresses précises étant les suivantes : chrome://flags/#enable-lazy-image-loading (pour les images) et chrome://flags/#enable-lazy-frame-loading (pour les iframe).

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La gamme Swift d'Acer se compose souvent de PC de très bonne qualité. Fnac.com propose aujourd'hui, et jusqu'à ce soir, un modèle de 15,6 pouces à 799,99 euros.

Ce Swift 3 de chez Acer propose une fiche technique particulièrement séduisante et semble un PC idéal pour travailler et se détendre dans d'excellentes conditions. Il se dote en effet de composants récents et performants : processeur Intel Core i7-8550U de 8e génération, 8 Go de mémoire vive, 256 Go de stockage en SSD ainsi qu'une carte graphique dédiée GeForce MX150. Il sera ainsi possible de jouer à quelques jeux récents et peu gourmands, à condition de faire quelques concessions sur le niveau de détails graphiques.

D'une diagonale de 15,6 pouces, l'écran de type IPS affiche, quant à lui, une définition Full HD. L'image est bien mise en valeur grâce à un cadre très fin autour de l'écran. Le PC en lui-même est assez compact et léger pour un 15 pouces, avec notamment une épaisseur de 1,89 cm et un poids de 1,8 kg. Du côté de la connectique, ce Swift 3 propose 3 ports USB 3, un port USB 2, un port USB 3.1 Type-C, une sortie HDMI et un lecteur de carte SD. À noter, enfin, que le clavier intègre un pavé numérique, ce qui n'est plus systématiquement le cas sur les PC portables au format 15 pouces.

Lire la suite : Bon plan – PC portable Acer Swift 3 avec Core i7 à 799,99 €


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Destinée à tous ceux qui passent de longues journées loin d'une prise électrique, la batterie RavPower de 20 100 mAh offre un maximum de capacité et de ports USB pour recharger plusieurs appareils en même temps. Voyons cela de façon plus détaillée en chiffres...

PRÉSENTATION

Après la très grosse artillerie de 26 800 mAh, c'est au tour de la batterie de 20 100 mAh de RavPower de passer dans nos labos. L'autre batterie haute capacité de RavPower ambitionne de rivaliser avec les modèles similaires de chez Anker et Aukey, et notamment la toute nouvelle batterie Anker pour Nintendo Switch.
 
La massive batterie de 20 100 mAh.
 
Vendue aux alentours de 40 €, la batterie arrive avec une housse, deux câbles micro-USB et un adaptateur micro-USB vers USB-C.

ERGONOMIE 


Si vous comparez les tailles des deux batteries RavPower qui sont présentes dans notre comparatif, vous vous rendrez compte d'un détail amusant : malgré leurs capacités complètement différentes, les deux accessoires affichent exactement les mêmes mensurations. Afin de faire des économies, le constructeur a en effet construit une seule coque pour ses deux batteries.
 
Les 4 ports de la RavPower
 
Résultat, le modèle de 20 100 mAh est aussi encombrant que celui de 26 800 mAh alors qu'il aurait pu être plus petit. Un bon tiers de la batterie sonne creux et l'ensemble est bien plus encombrant que la PowerCore 20 100 mAhou la batterie pour Nintendo Switch. Un choix certes économique pour le constructeur, mais incompréhensible pour l'utilisateur.
 
Face à la batterie Anker pour Switch, la RavPower est nettement plus encombrante
 
Ceci dit, l'air qui comble cet espace vide ne pèse pas grand-chose. Malgré ses mensurations imposantes, la batterie n'est donc pas trop lourde (seulement 375 g). 15 grammes de plus à peine que l'Anker Switch Edition. Là où la batterie fait malgré tout bien mieux que le modèle d'Anker c'est sur la connectique puisque la RavPower a deux ports USB-A, un port USB-C et un port micro-USB pour la charge. De quoi recharger trois périphériques à la fois. 

Lire la suite : Test : RAVPower Turbo+ 20100 mAh : une bonne capacité et beaucoup d'USB


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Certes, l'apprentissage du code est entré dans les écoles, mais certains se demandent si cela a encore un sens avec les capacités que procure l'intelligence artificielle. Les Numériques vous propose deux avis contraires sur le sujet.

L'apprentissage du code est entré dans les écoles en 2016 pour répondre à la révolution numérique et aux nécessités de demain. L'Éducation nationale a fait de l'initiation au codage et aux algorithmes une priorité, mais avec l'émergence de l'intelligence artificielle (IA), le besoin en connaissances informatiques est-il toujours aussi primordial ? La machine va-t-elle créer les logiciels de demain à la place de l'humain ? Chris Wanstrath, le cofondateur de GitHub, l'entreprise de logiciels acquise à grands frais par Microsoft, n'y va pas par quatre chemins en déclarant que “le futur du code, c'est pas de code du tout”

Tandis que certains estiment que l'IA va tuer l'intérêt de l'enseignement du code et de la saisie de lignes de code à n'en plus finir, d'autres persistent à penser que ces compétences, et la culture numérique qui en découle, seront indispensables pour les générations à venir. Débat. 

Oui, l'intelligence artificielle rend l'enseignement du code inutile

“L'éducation a toujours les mauvais réflexes : en 2017, on veut généraliser l'apprentissage du code informatique de base au lieu d'apprendre aux enfants à raisonner sur l'information pour, notamment, dépister les ‘fake news'. C'est aussi décalé que de généraliser la sténo en 1970 au lieu d'apprendre aux enfants à rédiger (…) Les développeurs informatiques Bac+2 arriveront sur le marché du travail précisément au moment où le code informatique bas de gamme sera largement automatisé grâce à l'intelligence artificielle qui sera quasi gratuite (…) Codeur informatique bas de gamme sera un passeport pour Pôle emploi (…) Le codeur de l'avenir sera à la convergence de multiples savoirs. Droit, sécurité, gestion de la complexité, neurosciences : ce sera davantage un travail de polytechniciens passés par la Harvard Law School que d'amateurs bien intentionnés.” Autrement dit, seule la crème de la crème des développeurs s'en sortira, selon Laurent Alexandre, ancien fondateur de Doctissimo, neurobiologiste et auteur de La Guerre des intelligences (Éd. JC Lattès, extraits tirés des pages 165 à 167).

 

Non, l'intelligence artificielle ne remplacera pas l'enseignement du code

“Nous avons tort de considérer le code comme un métier d'ouvriers que l'on peut remplacer par de l'intelligence artificielle. Le code est une intelligence, une manière de réfléchir. C'est une façon de se former au numérique. C'est également le moyen de s'ouvrir à une nouvelle économie. C'est comme lorsque de grosses entreprises ont délocalisé dans des pays à main-d'œuvre moins chère. Elles ont perdu la main pendant des années sur le développement. Le métier de développeur web n'est pas quelque chose que l'on peut sous-traiter ou remplacer. Si une entreprise n'a pas en interne des personnes capables de coder, elle peut perdre en compétitivité. Tout le monde doit savoir le faire, d'autant plus avec les enjeux de sécurité. Il existe de très bonnes écoles en France qui forment de très bons développeurs. Nous avons une vraie qualité qui s'exporte, et c'est une très bonne chose. Il ne faut pas perdre ça”, selon Charlotte Bottemanne, Growth Manager de l'école Ironhack, spécialisée dans l'enseignement du développement web, interrogée par Les Numériques


Lire la suite : L’intelligence artificielle nuit-elle à l’enseignement du code ?


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