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MySpace a eu son heure de gloire et a permis à certains artistes d'exploser à l'international. Son retour sur le devant de la scène est moins glorieux : tous ses contenus vieux de plus de trois ans ont été effacés au cours d'une opération technique.
De l'aveu des techniciens de la plateforme, il ne sera pas possible de récupérer les données perdues, y compris les contenus collectors d'artistes majeurs issus de cette “génération MySpace”, des Arctic Monkeys à Lily Allen. Évidemment, tout le monde, ou presque, avait oublié l'existence de MySpace avant que cette information ne surgisse. D'ailleurs, il est cocasse d'apprendre que cette migration malheureuse a eu lieu l'an dernier, mais que les responsables de MySpace n'ont pas jugé bon de communiquer plus tôt sur cette erreur et ses conséquences. Peut-être attendaient-ils de voir s'ils étaient en mesure de restaurer une partie des contenus supprimés…Lire la suite : MySpace perd tout le contenu mis en ligne avant 2016
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La toute dernière version de Firefox 66, d’ores et déjà disponible, propose quelques nouveautés intéressantes, dont le blocage sonore des vidéos qui se lancent automatiquement sur le web.
Lire la suite : Lancement du navigateur Firefox 66 : qu'est-ce qui change ?
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La start-up française Stanley Robotics vient de mettre en service Stanley, son robot voiturier, à l’aéroport de Lyon-Saint Exupéry. Son terrain de jeu est le parking où il déplace et range les véhicules à la manière des briques dans le jeu Tetris.
Tous les voyageurs se rendant à l'aéroport en voiture ont la même hantise : rater leur avion. Mais à cette angoisse vient s'en ajouter une autre : trouver une place de parking, si possible à la bonne taille du véhicule. À l'aéroport de Lyon-Saint Exupéry, on a trouvé la solution. Il s'agit de faire appel à Stanley, un robot voiturier fabriqué par la start-up française Stanley Robotics. Stanley fait son office dans le parking longue durée P5+ où une douzaine de boxes attendent les voyageurs et leurs voitures ayant effectué la réservation en ligne. Sur place, ils garent leurs véhicules dans un des boxes, récupèrent leurs affaires, verrouillent les portes non sans avoir tiré le frein à main au préalable. Ensuite, c'est à l'un des quatre robots voituriers d'intervenir.
Actuellement, les quatre robots voituriers Stanley gèrent jusqu'à 500 places, mais la start-up compte bien atteindre le cap des 2 000 places d'ici la fin de l'année, l'objectif final étant fixé à 6 000 emplacements. Quant au prix, on ne le connaît pas. On sait juste que le service est un peu plus cher. À titre de comparaison, le service à l'essai à Roissy coûtait entre 5 et 10 €.
Pour Stanley Robotics, il s'agit du premier contrat à long terme signé avec un aéroport (concessionnaire Vinci Airports) et qui, s'il s'avère concluant, devrait en amener d'autres (Vinci Airports gère quarante-cinq aéroports dans une douzaine de pays). On se souvient qu'en avril 2017, Stanley faisait ses premiers tours de roues à Roissy CDG au parking du terminal 2E/2F pour une période d'essai de six mois. On ne sait pas ce qu'ADP a prévu par la suite. Un autre essai s'est également tenu à l'aéroport de Düsseldorf (Allemagne), tandis que Londres-Gatwick est dans l'attente d'un test.
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C'est l'un des jeux en réalité virtuelle les plus populaires du marché et il s'apprête à arriver sur le nouveau casque autonome d'Oculus. Beat Saber est en effet annoncé sur le Quest pour le printemps.
Le jeu musical Beat Saber est indéniablement l'un des meilleurs ambassadeurs de la réalité virtuelle, le genre de titre qui peut, à lui seul, vous faire acheter un casque. Pour rappel, il s'agit de découper en rythme des cubes qui arrivent depuis le fond l'écran, en utilisant deux contrôleurs à reconnaissance de mouvements modélisés sous la forme d'un sabre laser dans le jeu. Pourvu d'une playlist de qualité faisant la part belle aux morceaux "electro", Beat Saber délivre un plaisir immédiat tout bonnement démentiel, que seul l'usage de la réalité virtuelle permet.
Déjà disponible sur PC (Rift, HTC Vive, Windows Mixed Reality) et PlayStation VR, Beat Saber va pour la première fois arriver sur un casque autonome. L'Oculus Quest, prévu pour le printemps, n'a en effet pas besoin de se connecter à un PC ou à un smartphone pour fonctionner, puisqu'il intègre un écran, un processeur, de la mémoire vive, du stockage et une batterie. Un principe analogue à celui de l'Oculus Go, avec toutefois ici une bien meilleure captation de la position de la tête dans l'espace et l'ajout de deux contrôleurs qui permettront d'effectuer des mouvements précis dans toutes les directions. Pratiquer Beat Saber sans aucun câble autour de soi et avec, on l'espère, une aussi bonne reconnaissance de mouvements que sur PC ou PlayStation 4 est en tout cas alléchant.
Pour rappel, l'Oculus Quest devrait sortir accompagné d'une cinquantaine de jeux, parmi lesquels Superhot VR, Moss ou Robo Recall.
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