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Je ne pensais pas que ça irait aussi loin. Mais parfois, le désir prend le dessus, et tout bascule.
Jérôme, un ami de mon mari, traversait une période compliquée. Sa femme l’avait quitté trois mois plus tôt, et depuis, il tournait en rond, à cran, nerveux. Il passait souvent à la maison, comme pour s’accrocher à un semblant de normalité. Mon mari l’aimait bien, et moi aussi. Il y avait toujours eu une certaine tension entre nous, mais rien de concret. Jusqu’à ce soir-là.
Mon mari m’a pris à part dans le salon, pendant que Jérôme fumait dehors.
— Il est à bout. Il n’a pas couché depuis des mois. Il m’a avoué qu’il n’en pouvait plus.
J’ai haussé un sourcil. Il me regardait sérieusement, presque complice.
— Je lui ai proposé un truc. Que tu l’aides un peu. À la main. Juste pour le soulager. Tu veux bien ?
J’ai mis quelques secondes à répondre. Mon cœur battait vite. L’idée était folle. Indécente. Et pourtant, elle m’a électrisée. Je me suis contentée de hocher la tête.
Quelques minutes plus tard, Jérôme et moi étions enfermés dans notre chambre. Il s’est assis au bord du lit, mal à l’aise, les jambes écartées. Je me suis approchée lentement, me mettant entre ses cuisses. Je l’ai déshabillé doucement, sentant sa respiration s’accélérer à mesure que mes mains exploraient son corps tendu.
Quand j’ai libéré son sexe, il était dur comme de la pierre. Je l’ai pris dans ma main, le caressant lentement, savourant chaque frémissement, chaque soupir qu’il laissait échapper.
Mais très vite, j’ai senti le désir monter en moi aussi. Cette tension, cette chaleur… c’était plus fort que prévu. J’ai baissé la tête, l’ai goûté une première fois. Il a gémi, a posé une main sur ma nuque, et je n’ai pas résisté. Je l’ai sucé lentement, puis plus profondément.
Puis il s’est redressé brusquement, m’a attrapée par les hanches, et m’a allongée sur le lit, sur le ventre. J’ai eu à peine le temps de réaliser ce qui se passait qu’il avait déjà remonté ma robe, baissé ma culotte. Il s’est allongé sur moi, haletant, et m’a pénétrée d’un seul coup.
J’ai gémi, surprise, prise entre le choc et le plaisir brut de la sensation. Il était en moi, fort, rapide, emporté par la frustration accumulée depuis trop longtemps. Ses mains tenaient mes hanches fermement, ses coups de reins étaient courts, puissants, désespérés.
Et en quelques secondes, je l’ai senti se raidir, pousser un râle rauque, et jouir en moi, profondément. Il est resté là, figé, le souffle coupé, son corps tremblant contre le mien.
On est restés en silence. Quelques secondes. Juste le bruit de nos respirations. Puis il s’est retiré lentement, m’a lancé un regard désolé, presque coupable… et on s’est rhabillés en silence.
Quand on est sortis de la chambre, mon mari était là, assis, un léger sourire au coin des lèvres. Il n’a rien dit. Il savait.
Et moi… j’étais encore brûlante de ce qui venait d’arriver.
Quelques jours plus tard, je ne m’attendais pas à le croiser ce jour-là. Encore moins à vivre ce qui allait suivre.
J’étais seule au centre commercial, un peu d’air après une matinée étouffante à la maison. J’avais mis une robe légère, rien de très travaillé, mais je sentais que j’étais désirable. Et quand je suis tombée sur Jérôme au détour d’un rayon, son regard me l’a confirmé. Il m’a dévorée des yeux. Un sourire à moitié contenu sur ses lèvres.
— Salut toi…
On a discuté quelques minutes, de choses banales. Mais il n’était pas comme d’habitude. Il me regardait fixement, presque fiévreux. Puis, sans prévenir, la voix basse, il a dit :
— J’ai envie de renifler ta culotte. Là. Maintenant.
J’ai senti une chaleur immédiate monter entre mes cuisses. J’aurais pu le gifler. Mais je n’en avais aucune envie. Il y avait dans son ton quelque chose de brut, de direct, qui m’a électrisée. J’ai hésité, le souffle court. Puis j’ai dit oui.
On s’est éclipsés dans les toilettes du centre, côté parking souterrain. Les lieux étaient presque déserts. Il a verrouillé la porte de la cabine, s’est mis à genoux devant moi sans attendre. Je tremblais. Il a levé ma robe, lentement, en prenant le temps de savourer chaque centimètre.
— Laisse-moi faire, murmura-t-il.
Il a posé son visage entre mes cuisses, contre ma culotte chaude, imprégnée. Il a inspiré profondément, comme si c’était de l’oxygène. J’ai gémi doucement, surprise par l’intensité du moment. Puis il a glissé mes sous-vêtements sur le côté, découvrant ma toison abondante, humide, palpitante. Il a continué à renifler, longuement, comme en transe.
Et soudain, j’ai senti sa langue. Un coup. Puis deux. Lents. Précis. C’était doux, presque révérencieux. Il ne cherchait pas à me faire jouir. Il voulait juste goûter. S’imprégner. Il a continué encore quelques secondes, puis s’est arrêté, haletant.
Il s’est relevé, a rajusté ma robe, et nous sommes sortis sans un mot. Le silence entre nous était lourd, chargé de tout ce qui venait de se passer.
En rentrant chez moi le soir, je l’ai trouvé là. Assis dans le salon avec mon mari, comme si de rien n’était. Il avait été invité à dîner. Mon cœur a bondi. J’étais rouge, nerveuse, mal à l’aise. Je suis allée dans la cuisine, les mains tremblantes.
Pendant le repas, je n’arrivais pas à soutenir son regard. Il ne disait rien. Mon mari non plus. Tout semblait normal. Et puis, entre deux bouchées, comme portée par une force intérieure, j’ai posé ma fourchette, pris une grande inspiration… et j’ai parlé.
— Il faut que je vous dise quelque chose. À tous les deux.
Le silence est tombé net. Mon mari a levé les yeux, curieux. Jérôme, lui, s’est figé.
— Je l’ai croisé au centre commercial tout à l’heure. Il m’a dit qu’il avait envie de sentir ma culotte. Et je l’ai suivi. Dans les toilettes.
J’ai vu leurs regards se croiser. Mon mari n’a pas dit un mot. Je continuais, la voix tremblante :
— Il s’est mis à genoux. Il a reniflé… puis il m’a léchée. Pas longtemps. Mais il l’a fait.
Silence. Puis mon mari a pris une gorgée de vin, calmement, et a dit :
— Tu vois, Jérôme… t’aurais dû attendre ce soir. Je comptais te la proposer moi-même.
J’ai écarquillé les yeux. Jérôme aussi. Et puis, lentement… un sourire a glissé sur les lèvres de mon mari.
Le silence après les mots de mon mari était presque irréel. Jérôme et moi nous sommes figés, incapables de répondre. C’est lui qui a brisé le moment.
— Tu… savais ?
— Je m’en doutais, répondit mon mari. Et puis… je connais ma femme.
Il a tourné les yeux vers moi. Il n’y avait ni colère, ni reproche. Juste une lueur chaude, presque fière.
— Et si on arrêtait de faire semblant ? Vous en avez envie. Moi aussi.
Il s’est levé, a pris mon verre, l’a rempli à nouveau, puis m’a tendu la main. J’ai mis quelques secondes à réagir, puis je l’ai suivie. Jérôme est resté assis, le regard troublé, hésitant. Mon mari s’est tourné vers lui.
— Tu viens ou tu préfères rester là à regretter ?
Il a mis à peine une seconde de plus pour se lever.
Dans notre chambre, je sentais mes jambes trembler, mais une chaleur m’envahissait tout entière. Une envie puissante, partagée, qui allait enfin s’exprimer pleinement.
Mon mari s’est assis sur le bord du lit. Moi, je suis restée debout, entre eux deux. Je les regardais. J’étais leur centre, leur lien.
— Déshabille-toi, a murmuré mon mari.
Je l’ai fait lentement. D’abord la robe, qui a glissé le long de mes hanches. Puis mon soutien-gorge, que j’ai détaché d’un geste, libérant mes seins. Et enfin ma culotte, humide de l’après-midi, que j’ai laissée tomber à mes pieds.
Jérôme me regardait, les yeux brillants. Mon mari aussi. Ils se sont levés, l’un derrière moi, l’autre devant. Deux présences masculines, chaudes, puissantes.
C’est mon mari qui m’a embrassée la première, m’attirant contre lui, ses mains caressant mon dos nu. Puis j’ai senti les doigts de Jérôme sur mes hanches, remontant lentement, effleurant la courbe de mes fesses. Il a posé ses lèvres sur ma nuque, l’a embrassée avec une tendresse animale.
J’étais prise entre eux, respirant leur excitation. Mon mari a glissé sa main entre mes cuisses, a trouvé mon sexe gonflé, trempé. Il a souri.
— Elle n’attend que ça.
Jérôme s’est mis à genoux derrière moi, exactement comme dans les toilettes. Mais cette fois, il a pris tout son temps. Il a écarté mes fesses, a enfoui son visage contre ma toison. Sa langue m’a effleurée, puis plongée entre mes lèvres. Il m’a léchée longuement, doucement, en gémissant. Mon mari m’embrassait pendant que son ami me dévorait. Je n’étais plus qu’un corps en feu, offert, célébré.
Puis ils ont échangé de place. Jérôme s’est relevé, son sexe dressé frottant contre ma cuisse. Mon mari s’est agenouillé à son tour, a glissé deux doigts en moi, puis trois. Il me regardait, avec fierté, avec désir. Il adorait me voir perdre le contrôle.
— Prends-le en bouche, m’a-t-il soufflé.
J’ai obéi. J’ai saisi le sexe dur de Jérôme dans ma main, puis entre mes lèvres. Je l’ai sucé lentement, profondément, pendant que mon mari me caressait, me léchait, me préparait. J’étais leur jouet, leur déesse, leur terrain de jeu.
Puis il m’a prise à quatre pattes, derrière Jérôme. D’un coup de rein ferme, mon mari s’est enfoncé en moi. Je me suis arquée, gémissante, sentant son sexe me remplir pendant que j’avais celui de Jérôme dans la bouche. Le rythme était parfait. Ils se répondaient. Ils me possédaient à deux.
Je me suis mise à jouir, violemment, criant leur prénom, le corps secoué de spasmes incontrôlables. Mais ils n’ont pas arrêté. Ils m’ont portée, traversée, encore et encore.
Mon mari a joui en moi en premier, gémissant contre ma nuque, les doigts plantés dans ma chair. Il s’est retiré, haletant, puis m’a laissée à Jérôme.
Ce dernier m’a allongée sur le lit, m’a entrouverte d’un regard, et m’a pénétrée avec une lenteur presque religieuse. Il me fixait, le visage tendu. Quelques coups de reins plus tard, il a gémi à son tour, et a joui en moi, les yeux rivés aux miens.
Nous sommes restés là, enchevêtrés, nus, tremblants.
Et cette fois, aucun mot n’était nécessaire.
Le silence dans la chambre n’était troublé que par nos respirations. La chaleur de nos corps encore mêlés flottait dans l’air, dense, presque sacrée.
Jérôme s’est allongé à ma gauche, mon mari à ma droite. Tous deux apaisés, le visage détendu, les regards encore pleins de cette intensité qu’on venait de vivre ensemble.
Je me suis glissée entre eux, nue, comblée, vidée et pleine à la fois. Mon corps portait encore les traces de leur passage : le sperme chaud en moi, le goût de leurs peaux, les frissons sous ma peau.
Mon mari m’a passé un bras autour de la taille, Jérôme a glissé une main sur ma hanche. Je me suis laissée aller, nichée entre eux, bercée par leur chaleur, leur souffle… leur présence.
Et sans un mot de plus, le corps lourd et l’âme tranquille, je me suis endormie entre les deux hommes… nue, offerte, aimée… au centre de leur désir.
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